À quarante ans et des poussières, Cornelia Weber-Tejedor est commissaire à la criminelle dans la ville de Francfort et, bien que certains de ses collègues misogynes doutent de ses capacités, elle n’a plus à faire ses preuves. Si au premier abord, on rencontre une femme déterminée, calme et indépendante, on découvre au fil du roman qu’elle n’en est pas moins fragile et un peu névrosée. En effet, son mari l’a abandonnée pour pouvoir « se retrouver » en faisant le tour de l’Australie à moto, elle est obsédée par les maladies en tout genre et sa mère ne cesse de lui téléphoner au mauvais moment, ce qui l’empêche de regarder sa série préférée : Les Simpson.
Dans cette enquête, qui la plonge au cœur de la communauté espagnole et des problèmes liés à l’immigration, elle est finalement plus affectée qu’elle ne veut bien l’admettre, car même si elle ne renie pas ses racines espagnoles, elle leur a tout de même préféré la nationalité allemande. Ce conflit intérieur refait donc surface et l’ambivalence du personnage de Cornelia reflète alors parfaitement le titre du roman : Entre deux eaux.
Dans cette enquête, qui la plonge au cœur de la communauté espagnole et des problèmes liés à l’immigration, elle est finalement plus affectée qu’elle ne veut bien l’admettre, car même si elle ne renie pas ses racines espagnoles, elle leur a tout de même préféré la nationalité allemande. Ce conflit intérieur refait donc surface et l’ambivalence du personnage de Cornelia reflète alors parfaitement le titre du roman : Entre deux eaux.
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