Évidemment que mon regard sur la traduction a changé depuis un mois. Avant mon intégration au master, j’ignorais tout de la traductologie, et n’avais aucune organisation spécifique dans l’élaboration de mes traductions. Mes connaissances se limitaient à ce que j’avais pu apprendre en cours de thème et version en licence et master 1, c’est-à-dire essentiellement à l’analyse grammaticale du texte, et non pas à son sens profond.
Je me pose à présent beaucoup plus de questions sur ma propre démarche, sur le choix de tel ou tel mot dans un contexte bien précis, mais je ne sais pas si ce sont toujours les bonnes questions au bout moment. La limite de la prise de liberté, tout comme Julie, me semble difficile à discerner, car je suis tiraillée entre l’envie de « modifier » le texte d’origine, pour le rendre plus cohérent et lisible en français, et la peur de trop m’en éloigner. En tout cas je réalise désormais, grâce aux cours de traductologie et aux ateliers d’écriture, que l’une des tâches du traducteur est de rendre l’âme du texte, et non pas juste les mots.
Comme tous mes « collègues », j’ai pris conscience de mes nombreuses lacunes dans ma propre langue maternelle, chose qui me frustre énormément lorsque je me retrouve face à un élément que je n’arrive pas à retranscrire en français, par manque de vocabulaire. Les cours de stylistique française nous permettent de combler ces lacunes, mais il est certain que la majorité de nos progrès ne peuvent se faire que par un travail personnel acharné tout au long de cette (courte) année. Alors au boulot !
Je me pose à présent beaucoup plus de questions sur ma propre démarche, sur le choix de tel ou tel mot dans un contexte bien précis, mais je ne sais pas si ce sont toujours les bonnes questions au bout moment. La limite de la prise de liberté, tout comme Julie, me semble difficile à discerner, car je suis tiraillée entre l’envie de « modifier » le texte d’origine, pour le rendre plus cohérent et lisible en français, et la peur de trop m’en éloigner. En tout cas je réalise désormais, grâce aux cours de traductologie et aux ateliers d’écriture, que l’une des tâches du traducteur est de rendre l’âme du texte, et non pas juste les mots.
Comme tous mes « collègues », j’ai pris conscience de mes nombreuses lacunes dans ma propre langue maternelle, chose qui me frustre énormément lorsque je me retrouve face à un élément que je n’arrive pas à retranscrire en français, par manque de vocabulaire. Les cours de stylistique française nous permettent de combler ces lacunes, mais il est certain que la majorité de nos progrès ne peuvent se faire que par un travail personnel acharné tout au long de cette (courte) année. Alors au boulot !
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