par sebastien banuls
Vous vous en souvenez certainement, nous avons parlé, au début de l'année, de la nécessité face à laquelle le traducteur se trouvait souvent de "vendre" le livre qu'il a repérer et dont il aimerait assurer la traduction, pour le faire connaître et apprécier en France… "Vendre", c'est-à-dire en l'occurrence savoir bien en parler à l'éditeur, pour le convaincre de le publier, aux commerciaux, pour les convaincre de le mettre en avant auprès des libraires, éventuellement aux journalistes et au lecteur lambda…, pour les convaincre que c'est celui-là et pas un autre.
La question est la suivante : nos apprentis traducteurs ont-ils cette aptitude-là, voire ce talent… pour embraser leurs interlocuteurs ? Réponse la semaine prochaine, puisqu'Alexis, premier à relever le défi, nous vantera les mérites du dernier livre qu'il aura lu. 10 minutes, chrono en main, minimum. Des consignes ? Oh non, aucune… beaucoup plus drôle sans filet. À partir de ce test et de la noyade de notre cobaye volontaire, nous apprendrons comment travailler cet aspect bien difficile de notre métier.
La question est la suivante : nos apprentis traducteurs ont-ils cette aptitude-là, voire ce talent… pour embraser leurs interlocuteurs ? Réponse la semaine prochaine, puisqu'Alexis, premier à relever le défi, nous vantera les mérites du dernier livre qu'il aura lu. 10 minutes, chrono en main, minimum. Des consignes ? Oh non, aucune… beaucoup plus drôle sans filet. À partir de ce test et de la noyade de notre cobaye volontaire, nous apprendrons comment travailler cet aspect bien difficile de notre métier.
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