Nathalie m'a suggéré il y a quelques jours l'idée suivante : chacun choisirait un fragment particulièrement difficile de sa traduction longue et la soumettrait au groupe pour voir ce que le travail collectif habituellement si productif pourrait apporter. Or figurez-vous que c'est exactement ce que nous avons fait avec Brigitte et Olivier lors de notre dernière séance d'atelier tutoré et ce que nous avons prévu de faire lors de la prochaine. Nous nous occupons de traiter une page pour mettre en place le fameux "système interne", celui qui conditionne l'architecture de notre stratégie de traduction, et ensuite nous passons à la partie la plus ardue : le récurage des casseroles ? De quoi s'agit-il ? Les casseroles… vous savez ces mots, ces phrases… que vous laissez derrière vous parce que vous ne trouvez pas de solution ou, carrément, parce que vous n'y entendez goutte… Les casseroles ou le noir complet, le cauchemar du traducteur. Vous les traînez derrière vous pendant des jours, des semaines, voire des mois et ça fait gling glong gling glong dans votre sillage, partout où vous allez… quand vous dormez parfois. Voilà, vous voyez ce que je veux dire. Donc, pour l'heure attaquons-nous ensemble à la première phase : une petite aide sur un passage qui a besoin des lumières de Tradabordo. Il va de soi que cet exercice-là, plus qu'un autre, demande la participation de tous… Pour que ce soit viable, il faut que l'aide soit réciproque. Ça s'appelle un échange de bons procédés.
J'attends par conséquent, le premier fragment, avec – si nécessaire – quelques mots de contextualisation.
J'attends par conséquent, le premier fragment, avec – si nécessaire – quelques mots de contextualisation.
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