Le Popol Vuh
par Laure L.
par Laure L.
Le Popol Vuh, aussi appelé Pop Wooh, le livre du temps, est l’Histoire sacrée des Mayas quichés. Cette « bible » précolombienne relate l’origine du monde à travers sa mythologie.
Le manuscrit d’origine a été rédigé entre 1554 et 1558. Cette première version anonyme rédigée en maya-quiché a disparu. Le manuscrit considéré comme original de nos jours et conservé à la Newberry Library of Chicago, est une copie en quiché accompagnée de sa traduction en espagnol. Le Popol Vuh dont l’origine serait très ancienne aurait donc été retranscrit par des religieux mayas afin de ne pas perdre leur mythologie, et découvert au Guatemala par fray Francisco Ximenez, qui le transcrit et le traduit ; ce qui permettra en 1861 à Charles-Etienne Brasseur d’en faire la traduction en français et de la publier sous le titre de Popol Vuh. Le livre sacré et les mythes de l’Antiquité américaine.
La première partie du Popol Vuh est ce que les occidentaux s’accordent à appeler une genèse. Elle décrit la création de l’homme après celle de la terre, des montagnes, de la flore et de la faune, d’abord à partir de la glaise, ce qui se révéla infructueux, puis à partir du bois, mais ces hommes étaient frivoles, paresseux et vaniteux et cela poussa les Dieux à les faire disparaître dans un déluge. La dernière tentative, à partir du maïs, se révéla être la bonne et l’homme prit sa substance du végétal.
La seconde partie relate les exploits de deux héros mythologiques Hun Ahpu et Xbalamque et de leur famille.
La troisième partie est surtout historique et généalogique et retrace la vie des descendants des premiers hommes jusqu’aux souverains du peuple Quiché. Elle rapporte aussi les origines des peuples du Guatemala, leurs migrations, leurs conquêtes et le processus de leur développement politique.
Le Popol Vuh est un texte fondateur de la littérature Nahuatl dont il existe de nombreuses traductions tant en français qu’en anglais, espagnol ou allemand.
Le manuscrit d’origine a été rédigé entre 1554 et 1558. Cette première version anonyme rédigée en maya-quiché a disparu. Le manuscrit considéré comme original de nos jours et conservé à la Newberry Library of Chicago, est une copie en quiché accompagnée de sa traduction en espagnol. Le Popol Vuh dont l’origine serait très ancienne aurait donc été retranscrit par des religieux mayas afin de ne pas perdre leur mythologie, et découvert au Guatemala par fray Francisco Ximenez, qui le transcrit et le traduit ; ce qui permettra en 1861 à Charles-Etienne Brasseur d’en faire la traduction en français et de la publier sous le titre de Popol Vuh. Le livre sacré et les mythes de l’Antiquité américaine.
La première partie du Popol Vuh est ce que les occidentaux s’accordent à appeler une genèse. Elle décrit la création de l’homme après celle de la terre, des montagnes, de la flore et de la faune, d’abord à partir de la glaise, ce qui se révéla infructueux, puis à partir du bois, mais ces hommes étaient frivoles, paresseux et vaniteux et cela poussa les Dieux à les faire disparaître dans un déluge. La dernière tentative, à partir du maïs, se révéla être la bonne et l’homme prit sa substance du végétal.
La seconde partie relate les exploits de deux héros mythologiques Hun Ahpu et Xbalamque et de leur famille.
La troisième partie est surtout historique et généalogique et retrace la vie des descendants des premiers hommes jusqu’aux souverains du peuple Quiché. Elle rapporte aussi les origines des peuples du Guatemala, leurs migrations, leurs conquêtes et le processus de leur développement politique.
Le Popol Vuh est un texte fondateur de la littérature Nahuatl dont il existe de nombreuses traductions tant en français qu’en anglais, espagnol ou allemand.
1 commentaire:
c'est literature maya, pas nahuatl.
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