La maison d’hiver à laquelle je pense est une petite bâtisse juchée sur la hauteur d’une montagne enneigée, représentant la destination finale d’un voyage tortueux en voiture.
Cette maison habite quelques recoins de ma mémoire. Y vivaient ma tante Carmen et ses enfants, Gwénaël, Antoine et Bill. Moi, je n’y étais que de passage, le temps d’une semaine. Je n’y suis allée qu’en saison de ski.
J’y ai sûrement bu du chocolat chaud, porté des pulls, et dormi sous des couettes bien chaudes, je ne m’en souviens pas. Je ne me souviens pas de la façade de la maison ; je ne pourrais pas la dépeindre comme on décrit une carte postale. Je ne me souviens pas s’il y avait une cheminée pour nous réchauffer. Par contre, je me souviens que les murs étaient en pierre et qu’il y avait un escalier en bois. Voilà tout.
Je ne me souviens pas de grand-chose, à vrai dire, car mes meilleurs moments étaient dehors, quand ma tante, mes cousins et moi parcourions, chaussés de nos skis et équipés de nos bâtonnets, le sol d’un blanc éphémère. Avant et après le ski, nous étions dans cette maison d’hiver. C’était autre chose que mon appartement de ville. J’avais autour de sept ans. Je n’étais qu’une enfant. Alors pardonnez-moi de ne pas être capable de vous en dire davantage. J’aurais bien plus de choses à dire, en revanche, sur la maison de Patou.
Cette maison habite quelques recoins de ma mémoire. Y vivaient ma tante Carmen et ses enfants, Gwénaël, Antoine et Bill. Moi, je n’y étais que de passage, le temps d’une semaine. Je n’y suis allée qu’en saison de ski.
J’y ai sûrement bu du chocolat chaud, porté des pulls, et dormi sous des couettes bien chaudes, je ne m’en souviens pas. Je ne me souviens pas de la façade de la maison ; je ne pourrais pas la dépeindre comme on décrit une carte postale. Je ne me souviens pas s’il y avait une cheminée pour nous réchauffer. Par contre, je me souviens que les murs étaient en pierre et qu’il y avait un escalier en bois. Voilà tout.
Je ne me souviens pas de grand-chose, à vrai dire, car mes meilleurs moments étaient dehors, quand ma tante, mes cousins et moi parcourions, chaussés de nos skis et équipés de nos bâtonnets, le sol d’un blanc éphémère. Avant et après le ski, nous étions dans cette maison d’hiver. C’était autre chose que mon appartement de ville. J’avais autour de sept ans. Je n’étais qu’une enfant. Alors pardonnez-moi de ne pas être capable de vous en dire davantage. J’aurais bien plus de choses à dire, en revanche, sur la maison de Patou.
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