mercredi 29 septembre 2010

Version de CAPES, 8

Los domingos en la mañana los mistis iban a buscar a don Braulio en su casa. Le esperaban en el patio, dos, tres horas, hasta que el principal se levantaba. Junto a una pared había varios troncos viejos de eucalipto; sentados sobre esos palos se soleaban los mutis mientras don Braulio acababa de dormir. El principal no tenía hora para levantarse; a veces salía de su cuarto a las siete, otras veces a las nueve y a las diez también; por eso los mistis se iban a visitarle según su alma; unos eran más pegajosos, más sucios, y tempranito estaban ya en el patio para hacerse ver por los sirvientes de don Braulio; otros, de miedo nomás iban, para que el principal no les tomase a mal; llegaban más tarde, cuando el sol ya estaba alto; otros calculaban la hora en que don Braulio iba a salir para convidar el trago a los sanjuanes, por borrachos nomás cortejaban al principal.

José María Arguedas, « Agua »

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Javier nous propose sa traduction :

Le dimanche matin les mistis allaient chercher don Braulio chez lui. Ils l’attendaient dans le patio, deux, trois heures, jusqu’à ce que le chef se lève. Il y avait contre un mur de vieux troncs d’eucalyptus; assis sur ces bouts de bois les muets bronzaient pendant que don Braulio finissait de dormir. Le chef n’avait pas d’heure pour se lever ; parfois il sortait de sa chambre à sept heures, d’autres fois à neuf ou même dix heures ; c’est pour ça que les mistis allaient le visiter suivant son humeur ; certains étaient plus poisseux, plus sales, et très tôt se trouvaient déjà dans le patio pour se faire voir par les servants de don Braulio ; d’autres, par simple peur, y allaient pour que le chef ne les prennent pas à mal ; ils arrivaient plus tard, quand le soleil était déjà haut ; d’autres calculaient l’heure à laquelle don Braulio allait sortir pour offrir le verre aux saint-jean, c’est parce qu’ils n’étaient que des soulards qu’ils courtisaient le chef.

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Aurélie nous propose sa traduction :

Les dimanches matin, les mistis allaient chercher Don Braulio chez lui. Ils l'attendaient dans la cour, deux , trois heures, jusqu'à ce que le patron se lève. Près d'un mur,il y avait plusieurs vieux troncs d'eucalyptus; assis sur ces bouts de bois les mistis se mettaient au soleil tandis que Don Braulio finissait de dormir. Le patron n'avait pas d'heure pour se lever; il sortait parfois de sa chambre à sept heures, parfois à neuf heures et même à dix heures; c'est pour cela que les mistis venaient lui rendre visite selon leur humeur; certains plus poisseux, plus sales, étaient déjà dans la cour très tôt pour se faire voir des domestiques de Don Braulio; d'autres, par peur n'y allaient plus,pour que le patron ne leur en veuille pas; ils arrivaient plus tard, quand le soleil était déjà bien haut; d'autres encore calculaient l'heure à laquelle Don Braulio allait sortir pour inviter les sanjuanes à boire un verre, ivres, ils ne pouvaient plus flatter le patron.

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Léa nous propose sa traduction :

Chaque dimanche matin, les notables allaient chercher don Braulio dans sa demeure.
Ils l’attendaient dans la cour, deux, trois heures, jusqu’au réveil du chef.
Près d’un mur se trouvaient plusieurs vieux troncs d’eucalyptus, assis sur ces bâtons, ceux qui devaient partir s’exposaient au soleil, tandis que don Braulio dormait.
Le chef n’avait pas d’heure à laquelle se lever ; parfois, il quittait sa chambre à sept heures, d’autres fois à huit heures, voire même à dix heures.
C’est pourquoi les notables lui rendaient visite à leur gré ; certains étaient davantage collants, plus sales, et ils étaient très tôt déjà dans la cour pour se faire remarquer par les domestiques de don Braulio ; d’autres, par crainte, ne s’y rendaient plus, pour que le chef ne leur reproche pas ; ils arrivaient plus tard, lorsque le soleil était déjà haut.
D’autres calculaient l’heure à laquelle don Braulio allait sortir pour le convier à boire à la fête de sanjuanes, quant aux ivrognes, ils ne courtisaient plus le chef.

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Bruno nous propose sa traduction :

Les dimanches matins, les "mistis" allaient chercher don Braulio chez lui. Ils l'attendaient dans la cour, deux, trois heures, jusqu'à ce que le chef se lève. Près d'un mur, il y avait plusieurs vieilles souches d'eucalyptus, assis sur ces dernières les "mistis" s'exposaient au soleil pendant que don Braulio finissait de dormir.Le chef n'avait pas d'heure pour se lever; quelquefois il sortait de sa chambre à sept heures, d'autres fois à neuf heures et à dix heures aussi; c'est pourquoi les "mistis" allaient lui rendre visite selon leur conscience. Certains étaient plus collants, plus malhonnêtes et très tôt ils étaient déjà dans la cour pour que les domestiques de don Braulio les voient; d'autres n'y allaient que par peur, pour que le patron ne les voit pas d'un mauvais œil; ils arrivaient plus tard, quand le soleil était déjà haut dans le ciel; d'autres encore calculaient l'heure à laquelle don Braulio allait sortir pour offrir un verre aux habitants de San Juan, parce que ce n'était qu'une bande d'ivrognes, ils accompagnaient le chef.

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Florian nous propose sa traduction :

Les dimanches matin, les mistis allaient chercher don Braulio chez lui. Ils l'attendaient dans le patio, deux, trois heures, jusqu'à ce que le chef se lève. Près d'un mur il y avait plusieurs vieux troncs d'eucalyptus; assis sur ces bouts de bois, les mutis prenaient le soleil pendant que don Braulio finissait de dormir. Le chef n'avait pas d'heure pour se lever; parfois il sortait de sa chambre à sept heures, d'autres fois à neuf et même dix heures aussi; c'est pourquoi les mistis allaient lui rendre visite selon leur sensibilité: certains étaient tellement collants, tellement sales, qu'il se rendaient assez tôt dans le patio pour se faire voir par les domestiques de don Braulio; d'autres, qui étaient ni plus ni moins apeurés, arrivaient plus tard, quand le soleil était déjà haut, pour que le chef ne les voie pas d'un mauvais oeil; d'autres encore, calculaient l'heure à laquelle don Braulio allait sortir pour inviter les sanjuanes à boire un coup, car une fois ivres, il n'était plus nécessaire qu'ils flattent le chef.

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Sonita nous propose sa traduction :

Les dimanches matin les nouveaux seigneurs allaient chercher don Braulio chez lui. Ils l’attendaient dans la cour, deux, trois heures jusqu’à ce que le chef se levait. Il y avait près d’un mur quelques vieux troncs d’eucalyptus ; assis sur ces bouts de bois ils se chauffaient au soleil en silence tandis que don Braulio terminait de dormir. Le chef n’avait pas d’heure pour se lever ; parfois il sortait de sa chambre à sept heures, à d’autres occasions à neuf heures ou encore à dix heures ; c’est pourquoi les nouveaux seigneurs allaient lui rendre visite selon leur pressentiment ; certains étaient plus collants, plus sales et de très bonne heure étaient déjà dans la cour pour se faire voir des domestiques de don Braulio ; d’autres, par peur n’y allaient jamais, mais pour que le chef ne leur en tienne pas rigueur, ils arrivaient plus tard, quand le soleil était déjà haut dans le ciel ; d’autres encore, qui courtisaient le patron uniquement parce que c’étaient des ivrognes, calculaient l’heure à laquelle don Braulio allait sortir pour offrir un verre aux habitants de San Juan.

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Mélissa nous propose sa traduction :

Les dimanches matin, les mistis allaient chercher Don Braulio chez lui. Ils l’attendaient dans le patio, deux, trois heures, jusqu’à ce que l’intéressé se lève. Près d’un mur, il y avait plusieurs vieux troncs d’eucalyptus ; assis sur ces bouts de bois, les mistis étaient au soleil alors que Don Braulio achevait sa nuit. L’intéressé n’avait pas d’heure pour se lever ; parfois il sortait de sa chambre à 7 heures, d’autres à 9 heures ou à 10 heures même ; c’est pourquoi les mistis allaient lui rendre visite selon leur instinct ; les uns étaient plus pouilleux, plus sales et ils étaient dans le patio de bonne heure pour se faire voir par les domestiques de Don Braulio ; les autres, seulement par peur, y allaient pour que l’intéressé ne le prenne pas mal ; ils arrivaient plus tard, quand le soleil était déjà haut ; d’autres, des ivrognes qui le courtisaient simplement, calculaient l’heure à laquelle Don Braulio allait sortir pour l’inviter à boire un coup aux fêtes de la Saint Jean.

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Jean-Baptiste nous propose sa traduction :

Les dimanches matin, les mistis allaient chercher don Braulio chez lui. Ils l’attendaient dans la cour, deux, trois heures, jusqu’à ce que le chef se levait. Il y avait plusieurs vieux troncs d’eucalyptus contre un mur; assis sur ces bois, les mutis s’exposaient au soleil pendant que don Braulio finissait de dormir. Le chef n’avait pas d’heure pour se lever, il sortait parfois de sa chambre à sept heures, d’autres fois à neuf heures mais aussi à dix heures; c’est pour cela que les mistis allaient lui rendre visite selon leur état d’âme; certains étaient plus répugnants, plus sales, et ils se trouvaient déjà très tôt dans la cour pour se faire voir par les domestiques de don Braulio; d’autres, seulement par peur, y allaient, pour que le chef ne se fâche pas après eux, ils arrivaient plus tard, lorsque le soleil était déjà levé; d’autres calculaient l’heure à laquelle don Braulio allait sortir pour convier les membres de Saint-Jean à boire un verre, seulement du fait d’être ivrognes, ils accompagnaient le chef.

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Loïc nous propose sa traduction :

Les dimanches matins, les mistis allaient chercher don Braulio chez lui. Ils l’attendaient dans la cour, deux, trois heures, jusqu’à ce que le chef se lève. A côté d’un mur, se trouvait plusieurs vieux troncs d’eucalyptus ; assis sur ces bouts de bois, les mutis s’exposaient au soleil pendant que don Braulio finissait de dormir. Le chef n’avait d’heure pour se lever ; parfois, il sortait de sa chambre à sept heures, d’autres fois à neuf voire même dix heures; c’est pourquoi les mistis allaient à sa rencontre et ce, selon leur envie ; certains étaient plus collants, plus sales que les autres et, très tôt, ils se trouvaient déjà dans le patio pour manifester leur présence auprès des domestiques de don Braulio ; d’autres, apeurés, y allaient afin que le chef ne leur en veuille pas ; ils arrivaient plus tard, quand le soleil était à son zénith ; d’autres, veillaient l’heure à laquelle don Braulio allait sortir pour inviter les disciples de l’ordre de Saint-Jean à boire un verre : ils courtisaient le chef simplement parce qu’ils étaient saouls.

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Mélina nous propose sa traduction :

Les dimanches matins les mistis allaient chercher don Braulio chez lui. Ils l'attendait dans la cour, deux, trois heures, jusqu'à ce que le patron se lève; Le long d'un mur il y avait plusieurs vieux troncs d'eucalyptus; assis sur eux, les mistis prenaient le soleil pendant que don Braulio finissait de dormir. Le patron n'avait pas d'heure pour se lever; des fois il sortait de sa chambre à sept heures, d'autres fois à neuf heures et à dix heures aussi; c'est pour cela que les mistis lui rendait visite selon leur tempérament; certains étaient plus collants, plus sales, et très tôt ils étaient déjà dans la cour pour se faire voir des servants de don Braulio; d'autres, s'y rendaient de peur que le patron ne les prenne en grippe; ils arrivaient plus tard, quand le soleil était déjà haut; puis il y avait ceux qui calculaient l'heure à laquelle don Braulio allait sortir pour payer un coup aux sanjuanes, et ce n'était que parce qu'il étaient des poivrots qu'ils courtisaient le patron.

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Clarisse nous propose sa traduction :

Les dimanches matin les mistis allaient chercher don Braulio chez lui. Il les attendait dans la cour, deux, trois heures jusqu’à ce que le chef se lève. A coté d’un mur il y avait divers vieux troncs d eucalyptus, assis sur ces bouts de bois les muets prenaient le soleil pendant que don Braulio finissait de dormir. Le chef n’avait pas d heure pour se lever, parfois il sortait de sa chambre à sept heure, d autre fois à neuf où dix heure aussi ; c’ est pour cela que les mistis lui rendaient visite selon son humeur, les uns étaient plus collants, plus sales, et très tôt ils se trouvaient déjà dans la cour afin de se faire voir pas les domestiques de don Braulio ; les autres, de peur, n’y allaient que pour que le chef ne les prenne pas en grippe, ils arrivaient plus tard, lorsque le soleil était déjà bien haut ; d’autres calculaient l’heure à laquelle don Braulio allait sortir pour inviter les gens de la Saint Jean à boire un coup, il ne courtisait le chef que parce qu’ils étaient des ivrognes.

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Leslie nous propose sa traduction :

Les dimanches matin, les mistis allaient chercher don Braulito chez lui. Ils l'attendaient dans la cour, deux, trois heures, jusqu'à ce que le chef se levât. Près d'un mur, il y avait plusieurs vieux troncs d'eucalyptus ; assis sur ces morceaux de bois, les mutis prenaient le soleil pendant que don Braulio terminait sa nuit. Le chef n'avait pas d'heure pour se lever : il sortait parfois à sept heures de sa chambre, d'autres fois à neuf, et à dix aussi ; voilà pourquoi les mistis allaient lui rendre visite comme cela les arrangeait. Certains étaient très crasseux, très sales, et ils se trouvaient dans la cour très tôt déjà pour se faire voir des serviteurs de don Braulito ; d'autres, de peur, n'y allaient plus. Pour que le chef ne le prît pas mal, ils arrivaient plus tard, lorsque le soleil était déjà à son zénith ; d'autres encore calculaient l'heure à laquelle don Braulito allait sortir pour inviter les habitants de San Juan à boire un verre, car s'ils courtisaient le chef, c'était uniquement parce que c'étaient des ivrognes.

4 commentaires:

Sonita a dit…

Génial! Plusieurs propositions de "trad"! De quoi se mettre sous la dent!
Je prends tranquillement un petit moment pour lire chacune de ces propositions et mon sourcil se lève, soudain rempli d'incertitudes :

1. dans une grande majorité vous n'avez pas traduit "mistis", or je ne pense pas que ce terme soit comme "don" ou encore "fiesta", c'est-à-dire connu de tous.
Alors, je me suis demandée si ceux qui ont gardé "mistis" offriraient une note en bas de page pour éclairer le lecteur ?

2. Quand j'ai traduit la phrase "otros, de miedo nomás iban, para que el principal no les tomase a mal" je l'ai interprétée comme le fait que certains n'y allaient plus. En lisant d'autres propositions de traduction je constate une interprétation différente : ces autres n'y allaient que pour éviter que le chef ne se fâche.
Du coup, un autre petit doute qui s'installe : quelle est l'interprétation correcte?
Quoique "para que el principal no les tomase a mal" semble aller dans le sens de ces autres que n'y allaient que pour éviter de froisser le chef.
Vous en pensez quoi?

3.Encore une fois le mot "nomás" me pose problème dans cette phrase : "por borrachos nomás cortejaban al principal".
Je note que dans quelques-unes des propositions de traduction, cette phrase est coupée de celle qui la précède : "otros calculaban la hora en que don Braulio iba a salir para convidar el trago a los sanjuanes". Alors, certains d'entre vous ont traduit que ces ivrognes ne fréquentaient plus le chef ou encore parce qu'ils étaient ivres ils ne le flattaient plus.
Or, il me semble que ces "otros" sont ces ivrognes qui ne vont avec le chef que pour se faire inviter un petit verre. Non?

Petit mais costaud ce passage à traduire!!!

Saludos,
Sonita

Unknown a dit…

Sonita,
En ce qui me concerne (trad de Mélissa), je ne sais pas ce que veut dire "mistis" c'est pourquoi j'ai laissé en l'état. En ce qui te concerne pourquoi as-tu traduit par "es grands seigneurs"?

Pour la phrase "otros, de miedo..." je pense que la fin donne une indication pour la trad du début. Parce que "para que ..." indique que le but c'est que le chef ne le prenne pas mal. C'est mon avis, dis moi ce que tu en penses

Pour le "nomas" à la fin, je pense que le morceau de phrase va avec le début et que en effet les "borrachos" voulaient courtiser le chef d'où le lien avec le reste...

Cela dit, j'ai quelques doutes, donc dis moi et dites moi même ce que vous en pensez

Mélissa

Sonita a dit…

Mélissa,
Merci pour ton commentaire :)
1. Alors, en ce qui concerne la traduction de "mistis", comme vous tous je ne connaissais pas ce terme. Le dictionnaire n'aidant pas, je me suis décidée à faire une simple recherche sur Google. C'est comme ça que je suis tombée sur ce texte (http://www.cholonautas.edu.pe/modulo/upload/Carlos%20Contreras.pdf) qui situait les mistis au Pérou. Je l'ai rapidement parcouru (il est en espagnol) et et j'ai cru comprendre que les "mistis" étaient les nouveaux nobles. Voilà pourquoi j'ai choisi de traduire par "nouveaux seigneurs". Je ne sais pas si c'est une proposition qui tienne la route. Faudrait voir ce qu'en disent les autres aussi!

2. Pour la phrase : "otros, de miedo nomás iban, para que el principal no les tomase a mal" je finis je par coincider avec toi et avec ceux qui en ont eu la même interprétation, la suite de la phrase va dans ce sens.

3. Pour ce qui est des borrachos, nous allons toutes deux dans le même sens, on attendra d'avoir l'avis de ceux qui l'ont interprétée d'une autre manière ;)

4. Une petite question concernant ta traduction. Tu as traduit "el principal" par "l'intéressé" Dans un premier temps, moi aussi j'ai utilisé ce terme. Mais à mesure que j'avançais dans le texte, il me semblait que ce monsieur devait être quelqu'un d'important pour avoir "le monde à ses pieds". Alors, j'ai à nouveau utilisé le moteur de recherche et j'ai fini par dénicher un petit texte qui mentionnait "el principal" comme étant "el jefe". Et c'est pour ça que je me suis décidée à changer le terme "l'intéressé" par "le chef" ^_^

Si tu as (les autres aussi) d'autres questions, n'hésite(z) pas... c'est génial de pouvoir échanger les impressions sur le texte, les confronter et dissiper nos doutes :)

Saludos

Unknown a dit…

Sonita,
En effet je n'avais pas du tout pensé au "chef" pour el principal. Mais en effet ce Don Braulio a une place importante donc c'est logique!
Enfin , c'est vrai que c'est intéressant de pourvoir communiquer et échanger nos impressions!!!
A bientôt pour notre prochain échange
Mélissa