mercredi 2 janvier 2013

Les Pikimachay – phrases 211-212

Se convirtió así en un sentimiento que de cuando en cuando viene y acompaña desde dentro. El primer vacío es el que más duele, es el peor porque es inexplicable, incomprensible y nuevo, y por eso se recuerda.

Traduction temporaire :
Ainsi, ça s'est transformé en un sentiment qui, depuis, de loin en loin, vient et t'accompagne intérieurement. Le premier vide est le plus douloureux, le pire, parce qu'inexplicable, incompréhensible et nouveau ; raison pour laquelle nous nous le rappelons.

12 commentaires:

Unknown a dit…

Il s'est alors transformé en un sentiment qui, de temps à autres, vient et t'accompagne de l'intérieur. Le premier vide est le plus douloureux, c’est le pire parce qu'il est inexplicable, incompréhensible et nouveau, et c'est pour cela qu'on s'en rappelle.

1) J'ai hésité à avancer "vient".
2) J'ai hésité entre "t'accompagne" et "nous accompagne"

Tradabordo a dit…

Il s'est alors [FS] transformé en un sentiment qui, de temps à autres [« de loin en loin »], vient et t' [si c'est une généralité, en effet pas « tu »] accompagne de l'intérieur. Le premier vide est le plus douloureux, c’est [pourquoi « c'est » ?] le pire [virgule ?] parce qu'il est [pas besoin du verbe] inexplicable, incompréhensible et nouveau, et c'est [point-virgule + « raison pour laquelle »] pour cela qu'on s'en [incorrect] rappelle.

Unknown a dit…

Il s'est ainsi transformé en un sentiment qui, de loin en loin, vient et nous accompagne de l'intérieur. Le premier vide est le plus douloureux, le pire, parce qu'inexplicable, incompréhensible et nouveau ; raison pour laquelle nous nous en rappelons.

Tradabordo a dit…

Se convirtió así en un sentimiento que de cuando en cuando viene y acompaña desde dentro. El primer vacío es el que más duele, es el peor porque es inexplicable, incomprensible y nuevo, y por eso se recuerda.

Il s'est ainsi [ou devant ? transformé [il m'embête, ce passé… pas vous ? Regardez autour ; moi, je perds peut-être un peu le fil… Et dites-moi] en un sentiment qui, de loin en loin, vient et nous accompagne de l'intérieur [ou avec l'adverbe ?]. Le premier vide est le plus douloureux, le pire, parce qu'inexplicable, incompréhensible et nouveau ; raison pour laquelle nous nous en [INCORRECT] rappelons.

Unknown a dit…

Je mets les phrases précédentes, pour que l'on se rende mieux compte, le passé ne me gêne pas...

Je sais que t'as ressenti un vide, Mamey, que ça a été le premier grand vide que t'as ressenti dans ta vie. Les autres, ceux qui ont suivi, lui ont emboîté le pas en suivant la même ligne. Ainsi, il s'est transformé en un sentiment qui, de loin en loin, vient et nous accompagne intérieurement. Le premier vide est le plus douloureux, le pire, parce qu'inexplicable, incompréhensible et nouveau ; raison pour laquelle nous nous le rappelons.

Tradabordo a dit…

Je sais que t'as ressenti un vide, Mamey, que ça a été le premier grand vide que t'as ressenti dans ta vie. Les autres, ceux qui ont suivi, lui ont emboîté le pas, en suivant la même ligne.

Ainsi, il s'est transformé en un sentiment qui, de loin en loin, vient et nous accompagne intérieurement.

Il y a quand même un problème avec cette phrase… qui prend des allures de généralités + mêle le passé et le présent. Réfléchissez. Julie, qu'en penses-tu ?

Le premier vide est le plus douloureux, le pire, parce qu'inexplicable, incompréhensible et nouveau ; raison pour laquelle nous nous le rappelons.

Unknown a dit…

Je pense qu'il veut faire une transition pour, justement, partir du cas particulier de Mamey et en faire une généralité.
Voilà ce que je tente : une cheville et je garde "tu" dans la première phrase, pour ensuite passer à une généralité au présent (j'hésite à ajouter "tous" à la fin de la phrase).

Ainsi, il s'est transformé en un sentiment qui, depuis, de loin en loin, vient et t'accompagne intérieurement. Le premier vide est le plus douloureux, le pire, parce qu'inexplicable, incompréhensible et nouveau ; raison pour laquelle nous nous le rappelons.

Julie Sanchez a dit…

Moi non plus, le passé ne me gêne pas. Il part du sentiment de Mamey pour en venir à une généralité mais ça me ne me semble pas incorrect. On fait souvent ça quand on veut rassurer quelqu'un je pense. Il lui explique le processus et en plus lui montre que c'est pour tout le monde pareil.
Je ne sais pas si c'est très clair...

Tradabordo a dit…

Se convirtió así en un sentimiento que de cuando en cuando viene y acompaña desde dentro. El primer vacío es el que más duele, es el peor porque es inexplicable, incomprensible y nuevo, y por eso se recuerda.

Ainsi, il [avec « ça », ce sera plus clair] s'est transformé en un sentiment qui, depuis, de loin en loin, vient et t'accompagne intérieurement. Le premier vide est le plus douloureux, le pire, parce qu'inexplicable, incompréhensible et nouveau ; raison pour laquelle nous nous le rappelons.

OK pour le reste.

Unknown a dit…

Ainsi, ça s'est transformé en un sentiment qui, depuis, de loin en loin, vient et t'accompagne intérieurement. Le premier vide est le plus douloureux, le pire, parce qu'inexplicable, incompréhensible et nouveau ; raison pour laquelle nous nous le rappelons.

Tradabordo a dit…

Ainsi, ça s'est transformé en un sentiment qui, depuis, de loin en loin, vient et t'accompagne intérieurement. Le premier vide est le plus douloureux, le pire, parce qu'inexplicable, incompréhensible et nouveau ; raison pour laquelle nous nous le rappelons.

OK.

Julie ?

Julie Sanchez a dit…

Ainsi, ça s'est transformé en un sentiment qui, depuis, de loin en loin, vient et t'accompagne intérieurement. Le premier vide est le plus douloureux, le pire, parce qu'inexplicable, incompréhensible et nouveau ; raison pour laquelle nous nous le rappelons.

Ok!