mercredi 16 janvier 2013

Projet Élise – phrase 12

De esto sobre todo hablo en mis seminarios: cómo desatender las voces que vienen desde fuera y la condenan a una.

Traduction temporaire :
C’est surtout de cela que je parle dans mes séminaires : comment ne pas prêter attention à ces voix extérieures qui condamnent une femme

4 commentaires:

Unknown a dit…

C’est surtout de cela que je parle dans mes séminaires : comment ne pas prêter attention à ces voix extérieures qui condamnent une femme.

Tradabordo a dit…

C’est surtout de cela que je parle dans mes séminaires : comment ne pas prêter attention à ces voix extérieures qui condamnent une femme [j'hésite, est-ce vraiment genrée ou une généralité, et donc « on » ? J'imagine que ça dépend de la suite ; dis-moi].

Unknown a dit…

Je dirais qu'il s'agit bien d'une généralité mais qui concerne les femmes. Elle raconte son histoire de femme, à des femmes.
Si je mets "qui nous condamnent", je change trop?
Car juste après, il y a à nouveau "una muere mil veces", donc je vais répéter "une femme".

Tradabordo a dit…

C’est surtout de cela que je parle dans mes séminaires : comment ne pas prêter attention à ces voix extérieures qui condamnent une femme.

OK.