Los sábados estaba libre, y calentaba agua y se iba con Martín a tomar mates a la costanera, mirando las montañas de escombros, las ramas podridas que el río acumulaba en las orillas, la corriente entre las lajas de cemento.
Traduction temporaire :
Le samedi, comme il était libre, il faisait chauffer de l’eau et partait avec Martín boire des matés sur le front de mer ; là, il observait les montagnes de décombres, les branches pourries que la rivière accumulait sur les rives, l'eau qui s'écoulait entre les plaques de ciment.
Le samedi, comme il était libre, il faisait chauffer de l’eau et partait avec Martín boire des matés sur le front de mer ; là, il observait les montagnes de décombres, les branches pourries que la rivière accumulait sur les rives, l'eau qui s'écoulait entre les plaques de ciment.
11 commentaires:
Le samedi, il était libre ; il faisait chauffer de l’eau et s’en allait avec Martín boire des matés sur le front de mer, il regardait les montagnes de décombres, les branches pourries que la rivière accumulait sur les rives, le courant dans le bas-fond.
Le samedi, il était libre [ou « tranquille » ?] ; il faisait chauffer de l’eau et s’en allait [ou « partir » ?] avec Martín [qu'est-ce que ça donnerait déplacé jusque avant la virgule ? Regarde et dis-moi] boire des matés sur le front de mer, [point-virgule + cheville : « Là, » ?] il regardait [un autre verbe plus intéressant et que tu choisis en fonction du contexte] les montagnes de décombres, les branches pourries que la rivière accumulait sur les rives, le courant dans le bas-fond [je ne suis pas certaine que ce soit clair].
Le samedi, il était détendu, il faisait chauffer de l’eau et partait avec Martín boire des matés sur le front de mer ; là, il observait les montagnes de décombres, les branches pourries que la rivière accumulait sur les rives, le courant de l'eau glissant sur le bas-fond en ciment.
1) pour "libre", je n'ai pas traduit par "tranquille" comme tu le proposais car nous l'avons déjà deux lignes auparavant. Au début, j'avais compris qu'il était en congé, mais en fait cela est déjà dit deux ou trois phrases avant. Je pense que ce "libre" est une forme elliptique pour "libre de preocupaciones" ou quelque chose de similaire ; j'ai donc choisi de traduire par "détendu".
2) je comprends d'après la définition de MARIA MOLINER que "laja" correspond à "bas-fond" en français (sens propre). Tu penses que le terme peut convenir ?
Le samedi, il était détendu [non, dans ce cas, laisse « libre »], il faisait chauffer de l’eau et partait avec Martín boire des matés sur le front de mer ; là, il observait les montagnes de décombres, les branches pourries que la rivière accumulait sur les rives, le courant de l'eau glissant sur le bas-fond [c'est ça ou « soubassement » ? Je ne sais pas du tout… Vérifie] en ciment.
Le samedi, il était libre, il faisait chauffer de l’eau et partait avec Martín boire des matés sur le front de mer ; là, il observait les montagnes de décombres, les branches pourries que la rivière accumulait sur les rives, le courant de l'eau glissant sur le bas-fond en ciment.
Je confirme pour "bas-fond".
Le samedi, il était libre, [autre ponctuation nécessaire… ou alors cheville avant « il était libre » / « comme » ? Regarde un peu tout ça et dis-moi] il faisait chauffer de l’eau et partait avec Martín boire des matés sur le front de mer ; là, il observait les montagnes de décombres, les branches pourries que la rivière accumulait sur les rives, le courant de l'eau glissant sur le bas-fond en ciment.
Le samedi, comme il était libre, il faisait chauffer de l’eau et partait avec Martín boire des matés sur le front de mer ; là, il observait les montagnes de décombres, les branches pourries que la rivière accumulait sur les rives, le courant de l'eau glissant sur le bas-fond en ciment.
Le samedi, comme il était libre, il faisait chauffer de l’eau et partait avec Martín boire des matés sur le front de mer ; là, il observait les montagnes de décombres, les branches pourries que la rivière accumulait sur les rives, le courant de l'eau glissant sur le bas-fond en ciment.
OK.
Audrey ?
Le samedi, comme il était libre, il faisait chauffer de l’eau et partait avec Martín boire des matés sur le front de mer ; là, il observait les montagnes de décombres, les branches pourries que la rivière accumulait sur les rives, l'eau qui s'écoulait entre les plaques de ciment.
Dans la VO, il y a "entre", donc on ne pouvait pas traduire par "sur". J'ai vérifié "laja" et "bas-fond" et je n'ai pas tout compris. Je voyais "lajas" comme des plaques de ciment. Fernando a confirmé.
Le samedi, comme il était libre, il faisait chauffer de l’eau et partait avec Martín boire des matés sur le front de mer ; là, il observait les montagnes de décombres, les branches pourries que la rivière accumulait sur les rives, l'eau qui s'écoulait entre les plaques de ciment.
OK.
Hélène ?
Le samedi, comme il était libre, il faisait chauffer de l’eau et partait avec Martín boire des matés sur le front de mer ; là, il observait les montagnes de décombres, les branches pourries que la rivière accumulait sur les rives, l'eau qui s'écoulait entre les plaques de ciment.
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