Y al hacer una breve selección de atrocidades, nos quedamos, por ahora, con las señales inequívocas –respaldadas por sus propios documentos-, del pasaje del fascismo y de sus miasmas por ese remanente que va dejando la humanidad cuando el hombre desaparece, pero deja su aliento, su huella, sus ensoñaciones, sus sueños retenidos en el arte, o en lo que llamamos arte, que es sólo el hombre, el que muere, el que no puede morir, el que no puede ser extirpado, borrado ni asesinado.
Traduction temporaire :
Et au moment d'effectuer une brève sélection d'atrocités, nous nous nous retrouvons, pour l'instant, avec les signes sans équivoque (étayés par ses propres documents) du passage du fascisme et de ses miasmes par ce résidu que laisse l'humanité lorsque l'homme disparait, mais elle, elle laisse son haleine, sa trace, ses rêveries, ses rêves préservés dans l'art, ou dans ce que nous nommons art, qui n'est autre que l'homme, celui qui meurt, celui qui ne peut pas mourir, celui qui ne peut pas être éradiqué, effacé ou assassiné.
Et au moment d'effectuer une brève sélection d'atrocités, nous nous nous retrouvons, pour l'instant, avec les signes sans équivoque (étayés par ses propres documents) du passage du fascisme et de ses miasmes par ce résidu que laisse l'humanité lorsque l'homme disparait, mais elle, elle laisse son haleine, sa trace, ses rêveries, ses rêves préservés dans l'art, ou dans ce que nous nommons art, qui n'est autre que l'homme, celui qui meurt, celui qui ne peut pas mourir, celui qui ne peut pas être éradiqué, effacé ou assassiné.
14 commentaires:
Reste bien littéral pour le premier jet – histoire qu'on ne perde pas du temps à d'abord tout déconstruire pour remettre dans l'ordre ;-)
Et au moment de faire une brève sélection d'atrocités, nous restons, pour l'instant, avec les signes inéquivoques (appuyés par leurs propres documents) du passage du fascisme et de ses miasmes à cause de ce reste que laisse peu à peu l'humanité lorsque l'homme disparait, mais elle laisse son souffle, sa trace, ses rêveries, ses rêves conservés dans l'art ou dans ce que nous nommons art, qui est seulement l'homme, celui qui meurt, celui qui ne peut pas mourir, celui qui ne peut pas être éradiqué, effacé ou assassiné.
Y al hacer una breve selección de atrocidades, nos quedamos, por ahora, con las señales inequívocas
Et au moment de faire [un verbe plus intéressant pour aller avec « sélection » ?] une brève sélection d'atrocités, nous restons, pour l'instant, avec les signes inéquivoques [?????? Españolo facilo ?]
Et au moment d'effectuer une brève sélection d'atrocités, nous restons, pour l'instant, avec les signes sans équivoque
Et au moment d'effectuer une brève sélection d'atrocités, nous restons, pour l'instant, avec les signes sans équivoque
[OK ; tu reprendras à chaque fois la partie entérinée]
–respaldadas por sus propios documentos-
(appuyés [ou « étayés »] par leurs propres documents [ou « à eux » ? En fait, de quoi/qui s'agit-il ? Juste pour être certaine que nous avons compris la même chose])
Par la syntaxe, on dirait qu'il s'agit des documents liés aux signes sans équivoques. Mais on a aussi traduit la phrase suivante qui devrait apporter la réponse :
Chacune des expériences que laisse le fascisme noir (en réalité, sa couleur est celle du sang) sur son passage dans les entrailles de l'homme mériterait un chapitre long et assurément bien documenté.
Donc, finalement, ce devrait être les documents liés au fascisme.
Et au moment d'effectuer une brève sélection d'atrocités, nous restons, pour l'instant, avec les signes sans équivoque (étayés par ses propres documents)
Chacune des expériences que laisse le fascisme noir (en réalité, sa couleur est celle du sang) sur son passage dans les entrailles de l'homme mériterait un chapitre long et assurément bien documenté. Et au moment d'effectuer une brève sélection d'atrocités, nous restons, pour l'instant, avec les signes sans équivoque (étayés par ses propres documents
OK
, del pasaje del fascismo y de sus miasmas por ese remanente que va dejando la humanidad cuando el hombre desaparece,
du passage du fascisme et de ses miasmes à cause [non, le texte dit bien « POR » / « pasaje POR »] de ce reste [bof…] que laisse peu à peu [pas besoin de rendre le gérondif] l'humanité lorsque l'homme disparait,
Chacune des expériences que laisse le fascisme noir (en réalité, sa couleur est celle du sang) sur son passage dans les entrailles de l'homme mériterait un chapitre long et assurément bien documenté. Et au moment d'effectuer une brève sélection d'atrocités, nous restons, pour l'instant, avec les signes sans équivoque (étayés par ses propres documents)du passage du fascisme et de ses miasmes par ce résidu que laisse l'humanité lorsque l'homme disparait,
Chacune des expériences que laisse le fascisme noir (en réalité, sa couleur est celle du sang) sur son passage dans les entrailles de l'homme mériterait un chapitre long et assurément bien documenté. Et au moment d'effectuer une brève sélection d'atrocités, nous restons [je ne crois pas que ça fonctionne bien avec « restons » ; isolément, ça passait à peu près, mais pas avec l'ensemble], pour l'instant, avec les signes sans équivoque (étayés par ses propres documents) du passage du fascisme et de ses miasmes par ce résidu que laisse l'humanité lorsque l'homme disparait,
, pero deja su aliento, su huella, sus ensoñaciones, sus sueños retenidos en el arte, o en lo que llamamos arte, que es sólo el hombre, el que muere, el que no puede morir, el que no puede ser extirpado, borrado ni asesinado.
mais elle [qui « elle »] laisse son souffle [ou « haleine » ici ? Je te laisse trancher], sa trace, ses rêveries, ses rêves conservés dans l'art [virgule, comme en V.O.] ou dans ce que nous nommons art, qui est seulement l'homme [passe par « uniquement »], celui qui meurt, celui qui ne peut pas mourir, celui qui ne peut pas être éradiqué, effacé ou assassiné.
Chacune des expériences que laisse le fascisme noir (en réalité, sa couleur est celle du sang) sur son passage dans les entrailles de l'homme mériterait un chapitre long et assurément bien documenté. Et au moment d'effectuer une brève sélection d'atrocités, nous restons [je ne crois pas que ça fonctionne bien avec « restons » ; isolément, ça passait à peu près, mais pas avec l'ensemble], pour l'instant, avec les signes sans équivoque (étayés par ses propres documents) du passage du fascisme et de ses miasmes par ce résidu que laisse l'humanité lorsque l'homme disparait, mais elle [l'humanité] laisse son haleine, sa trace, ses rêveries, ses rêves conservés dans l'art, ou dans ce que nous nommons art, qui est l'homme uniquement, celui qui meurt, celui qui ne peut pas mourir, celui qui ne peut pas être éradiqué, effacé ou assassiné.
Chacune des expériences que laisse le fascisme noir (en réalité, sa couleur est celle du sang) sur son passage dans les entrailles de l'homme mériterait un chapitre long et assurément bien documenté. Et au moment d'effectuer une brève sélection d'atrocités, nous demeurons, pour l'instant, avec les signes sans équivoque (étayés par ses propres documents) du passage du fascisme et de ses miasmes par ce résidu que laisse l'humanité lorsque l'homme disparait, mais elle [l'humanité] laisse son haleine, sa trace, ses rêveries, ses rêves conservés dans l'art, ou dans ce que nous nommons art, qui est l'homme uniquement, celui qui meurt, celui qui ne peut pas mourir, celui qui ne peut pas être éradiqué, effacé ou assassiné.
Chacune des expériences que laisse le fascisme noir (en réalité, sa couleur est celle du sang) sur son passage dans les entrailles de l'homme mériterait un chapitre long et assurément bien documenté. Et au moment d'effectuer une brève sélection d'atrocités, nous demeurons [ou « se retrouver » ?], pour l'instant, avec les signes sans équivoque (étayés par ses propres documents) du passage du fascisme et de ses miasmes par ce résidu que laisse l'humanité lorsque l'homme disparait, mais elle [dans ce cas, cheville : « elle, elle »] laisse son haleine, sa trace, ses rêveries, ses rêves conservés dans l'art [ça fait bizarre ; on entend « conservés dans le sel / vinaigre » etc.], ou dans ce que nous nommons art, qui est l'homme uniquement [non, ça ne fonctionne pas bien ; trouve une solution « fluide »], celui qui meurt, celui qui ne peut pas mourir, celui qui ne peut pas être éradiqué, effacé ou assassiné.
Et au moment d'effectuer une brève sélection d'atrocités, nous nous nous retrouvons, pour l'instant, avec les signes sans équivoque (étayés par ses propres documents) du passage du fascisme et de ses miasmes par ce résidu que laisse l'humanité lorsque l'homme disparait, mais elle, elle laisse son haleine, sa trace, ses rêveries, ses rêves préservés dans l'art, ou dans ce que nous nommons art, qui n'est autre que l'homme, celui qui meurt, celui qui ne peut pas mourir, celui qui ne peut pas être éradiqué, effacé ou assassiné.
Et au moment d'effectuer une brève sélection d'atrocités, nous nous nous retrouvons, pour l'instant, avec les signes sans équivoque (étayés par ses propres documents) du passage du fascisme et de ses miasmes par ce résidu que laisse l'humanité lorsque l'homme disparait, mais elle, elle laisse son haleine, sa trace, ses rêveries, ses rêves préservés dans l'art, ou dans ce que nous nommons art, qui n'est autre que l'homme, celui qui meurt, celui qui ne peut pas mourir, celui qui ne peut pas être éradiqué, effacé ou assassiné.
OK.
Enregistrer un commentaire