"¿Estás loca?", me dice, y que ya no le contesto. ¡Nombre!, para qué te cuento.
Traduction temporaire :
« Tu es folle ? », me dit-il et moi, pour la peine, je ne lui réponds pas. Oh, et puis zut ! Je me demande bien pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.
« Tu es folle ? », me dit-il et moi, pour la peine, je ne lui réponds pas. Oh, et puis zut ! Je me demande bien pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.
7 commentaires:
« Tu es folle ? », me demande-t-il et moi, je ne le calcule plus. Oh, et puis zut ! Pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.
« Tu es folle ? », me demande-t-il [non, parce que ça n'est pas une vraie question] et moi, je ne le calcule plus [??????????????]. Oh, et puis zut ! [cheville : « Je me demande bien »] Pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.
« Tu es folle ? », me dit-il et moi, je ne lui réponds plus. Oh, et puis zut ! Je me demande bien pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.
« Tu es folle ? », me dit-il et moi, [je ne comprends pas le « y que » de l'espagnol] je ne lui réponds plus. Oh, et puis zut ! Je me demande bien pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.
J'ai l'impression que cet "y que", très utilisé à l'oral, au Mexique, est un tic du langage et c'est pourquoi j'ai opté pour ne pas le traduire...
Maintenant que tu me le demandes, je pense que c'est peut-être un "alors". C'est bizarre de le mettre dans cette phrase, je crois.
Un essai.
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« Tu es folle ? », me dit-il et moi, alors, je ne lui réponds plus. Oh, et puis zut ! Je me demande bien pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.
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Si on part du fait que le "y que" représente une conséquence on pourrait peut-être opter pour "pour la peine" ?
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« Tu es folle ? », me dit-il et moi, pour la peine, je ne lui réponds plus. Oh, et puis zut ! Je me demande bien pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.
Ok pour cette version avec un mini-changement :
« Tu es folle ? », me dit-il et moi, pour la peine, je ne lui réponds pas. Oh, et puis zut ! Je me demande bien pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.
OK.
« Tu es folle ? », me dit-il et moi, pour la peine, je ne lui réponds pas. Oh, et puis zut ! Je me demande bien pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.
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