Ce sondage fait évidemment suite à la désormais "référentielle" rencontre avec Jean-Marie Saint-Lu et Claude Murcia… en l'occurrence à la difficulté que chacun avait à l'évidence de parler de son statut – a fortiori de le définir – à l'égard du texte qu'il a traduit. Le traducteur n'a-t-il un peu honte d'être quelque chose – dans le sens d'un lien familial, quel qu'il soit – à une œuvre qui n'est pas la sienne ?
Les options proposées (un second père, une mère, un parrain, un compagnon de route) n'ont pas été choisies au hasard… et ce ne sont pas du tout des boutades. Il va de soi que vous ne devez tenir aucun compte du sexe du traducteur pour répondre à la question… il s'agit d'évoquer un rapport au travail produit, non de distinguer les hommes et les femmes traducteurs.
P.S. : comme toujours, les étudiants du groupe 2 de CAPES peuvent se joindre au vote.
Les options proposées (un second père, une mère, un parrain, un compagnon de route) n'ont pas été choisies au hasard… et ce ne sont pas du tout des boutades. Il va de soi que vous ne devez tenir aucun compte du sexe du traducteur pour répondre à la question… il s'agit d'évoquer un rapport au travail produit, non de distinguer les hommes et les femmes traducteurs.
P.S. : comme toujours, les étudiants du groupe 2 de CAPES peuvent se joindre au vote.
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