Sur 23 votes exprimés, nous obtenons les résultats suivants :
Un second "père" = 5 voix (21%)
Une "mère" = 4 voix (17%)
Un "parrain" = 2 voix (8%)
Un "compagnons de route = 12 voix (52%)
Pour comparaison, voici les résultats obtenus l'année dernière – sur 18 votants – :
Un second "père" = 2 voix
Une "mère" = 7 voix
Un parrain = 3 voix
Un compagnon de route = 6 voix
Et à l'époque, voici le petit texte d'accompagnement que cela m'avait inspiré :
Ayant moi-même voté pour l'option 2 (vous le savez puisque j'ai exposé mes raisons dans un post précédent), je serais curieuse de connaître les raisons qui ont motivé le choix des autres traducteurs/traductrices-"mères"… Les journaux féminins dans le genre de ceux que fréquente assidûment Laure L. le formuleraient certainement de la manière suivante : « Quel genre de mère êtes-vous ? » Moi, évidemment, je tradabordise et ça devient : Et vous, alors, chers apprentis traducteurs, que feriez-vous si vous vous aperceviez que vous êtes soudain victime du syndrome de la "mère poule" ? Ou pire, de la "mère abusive" ? Ou pire encore, de la "mère castratrice" ? Ou pire encore encore, de la mère "infanticide" (oui, cela peut exister : dans le cas où, à tort ou à raison, vous refuseriez finalement de signer votre travail parce qu'on y a apporté trop de changements) ? Vous me direz : l'éditeur est là pour veiller au grain et éviter que la mère monstrueuse ne prenne le pas sur la douce, raisonnable et épanouie génitrice que nous sommes. Remarque judicieuse dans la mesure où c'est, il est vrai, lui l'autorité suprême sur le texte, la véritable figure paternelle française sur votre rejeton. Certes, certes… mais cela suffit-il à endiguer les débordements de la passion ? Est-ce qu'au contraire, nous ne sommes pas susceptibles de nous métamorphoser en une mère encore plus soucieuse de préserver ses prérogatives en sachant qu'existe cet autre parent tout-puissant ?
Et zut… j'aurais dû voter "compagnon de route"… ça posait finalement moins de questions.
Alors vous, les autres traducteurs-traductrices-"mères", qu'en pensez-vous ? Sombrez-vous dans les mêmes affres que moi ?
Un second "père" = 5 voix (21%)
Une "mère" = 4 voix (17%)
Un "parrain" = 2 voix (8%)
Un "compagnons de route = 12 voix (52%)
Pour comparaison, voici les résultats obtenus l'année dernière – sur 18 votants – :
Un second "père" = 2 voix
Une "mère" = 7 voix
Un parrain = 3 voix
Un compagnon de route = 6 voix
Et à l'époque, voici le petit texte d'accompagnement que cela m'avait inspiré :
Ayant moi-même voté pour l'option 2 (vous le savez puisque j'ai exposé mes raisons dans un post précédent), je serais curieuse de connaître les raisons qui ont motivé le choix des autres traducteurs/traductrices-"mères"… Les journaux féminins dans le genre de ceux que fréquente assidûment Laure L. le formuleraient certainement de la manière suivante : « Quel genre de mère êtes-vous ? » Moi, évidemment, je tradabordise et ça devient : Et vous, alors, chers apprentis traducteurs, que feriez-vous si vous vous aperceviez que vous êtes soudain victime du syndrome de la "mère poule" ? Ou pire, de la "mère abusive" ? Ou pire encore, de la "mère castratrice" ? Ou pire encore encore, de la mère "infanticide" (oui, cela peut exister : dans le cas où, à tort ou à raison, vous refuseriez finalement de signer votre travail parce qu'on y a apporté trop de changements) ? Vous me direz : l'éditeur est là pour veiller au grain et éviter que la mère monstrueuse ne prenne le pas sur la douce, raisonnable et épanouie génitrice que nous sommes. Remarque judicieuse dans la mesure où c'est, il est vrai, lui l'autorité suprême sur le texte, la véritable figure paternelle française sur votre rejeton. Certes, certes… mais cela suffit-il à endiguer les débordements de la passion ? Est-ce qu'au contraire, nous ne sommes pas susceptibles de nous métamorphoser en une mère encore plus soucieuse de préserver ses prérogatives en sachant qu'existe cet autre parent tout-puissant ?
Et zut… j'aurais dû voter "compagnon de route"… ça posait finalement moins de questions.
Alors vous, les autres traducteurs-traductrices-"mères", qu'en pensez-vous ? Sombrez-vous dans les mêmes affres que moi ?
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