mercredi 6 octobre 2010

Version de CAPES, 15

Antonio Belli murió joven, de cirrosis. Cuando crecieron y se casaron sus hijos, la «abuelita Carlota», como llamábamos a mi bisabuela, mandó levantar una pared en medio del gran patio interior de su amplia y hermosa casa señorial de techos de tejas y gruesas paredes, y la dividió en dos. En una parte se quedó viviendo ella con su hija, Elena, casada con un abogado, y la otra se la dio a mi papá, que era como su hijo, para que la ocupáramos nosotros. Las dos casas se comunicaban entre sí a través de un arco en el corredor. La de mi tía Elena era alegre y bulliciosa. Sus hijas, María Elena, María Eugenia y Carlota, mis primas, eran mayores que yo. La menor, a quien llamábamos «Toti» para diferenciarla de la abuela, me llevaba sólo cinco o seis años y era mi ídolo. Era traviesa, divertida, coqueta a más no poder, y me reclutaba como cómplice incondicional de sus travesuras, que usualmente consistían en espiar incesantemente a las mayores, que empezaban a salir con muchachos y a tener novios.

Gioconda Belli, El pais bajo mi piel

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Alexis nous propose sa traduction :

jeune, d'une cirrhose. Quand ses enfants furent grands et se marièrent, la "mamie Carlota", comme nous appelions mon arrière-grand-mère, ordonna la construction d'un mur au milieu de la grande cour intérieure de sa vaste et belle maison seigneuriale aux plafonds de tuiles et aux murs épais, et la divisa en deux. Dans la première, elle resta vivre avec sa fille, Elena, mariée avec un avocat, et donna la seconde à mon père pour que nous l’occupions. Les deux maisons communiquaient entre elles par un arc de la galerie. Celle de ma tante Elena était chaleureuse et animée. Ses filles, Maria Elena, Maria Eugenia et Carlota, mes cousines, étaient plus grandes que moi. La plus petite, que nous appelions « Toti » pour la différencier de la grand-mère, avait cinq ou six ans de plus que moi et était mon idole. Elle était espiègle, drôle, coquette jusqu’au bout des ongles, et m’embarquait tel un complice inconditionnel lors de ses facéties qui consistaient généralement à épier sans cesse ses grandes sœurs, lesquelles commençaient à sortir avec des garçons et à avoir des amoureux.

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Laëtitia Sw. nous propose sa traduction :

Antonio Belli mourut jeune, d’une cirrhose. Lorsque ses enfants eurent grandi et se furent mariés, « mémé Carlota », comme nous appelions mon arrière-grand-mère, fit élever un mur au milieu de la grande cour intérieure de sa vaste et belle maison seigneuriale au toit de tuiles et aux murs épais, et elle la divisa en deux parties. Elle vécut dans l’une avec sa fille, Elena, mariée à un avocat, et elle donna l’autre à mon papa, qui était comme son fils, pour nous y loger. Les deux maisons communiquaient entre elles par une arcade percée dans le couloir. La maison de ma tante Elena était joyeuse et bruyante. Ses filles, María Elena, María Eugenia et Carlota, mes cousines, étaient plus âgées que moi. La benjamine, que nous appelions « Toti » pour la différencier de mon arrière-grand-mère, n’avait que cinq ou six ans de plus que moi et était mon idole. Elle était espiègle, amusante, on ne peut plus coquette, et elle faisait de moi la complice inconditionnelle de ses espiègleries qui consistaient en général à épier continuellement les aînées, lesquelles commençaient à sortir entre jeunes et à avoir des fiancés.

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Julie nous propose sa traduction :

Antonio Belli mourut jeune, d’une cirrhose. Lorsque ses fils grandirent et qu’ils se marièrent, « mamie Carlota », comme nous appelions mon arrière-grand-mère, demanda à ce qu’on dressât un mur au centre de la grande cour intérieure de sa jolie et spacieuse maison cossue aux toits de tuiles et aux murs épais ; ensuite elle la divisa en deux. Elle resta vivre dans une partie avec sa fille, Elena, mariée à un avocat et elle donna l’autre à mon père, qui était comme son fils, afin que nous l’occupassions. Les deux maisons communiquaient entre elles grâce à une arche située dans le couloir. Celle de ma tante Elena était joyeuse et animée. Ses filles, María Elena, María Eugenia et Carlota, mes cousines, étaient plus âgées que moi. La plus jeune –que nous surnommions « Toti » pour la différencier de la grand-mère–, avait seulement cinq ou six ans de plus que moi et elle était mon idole. Elle était espiègle, drôle, on ne peut plus coquette et elle m’engageait comme complice inconditionnel de ses espiègleries qui, d’ordinaire, consistaient à épier sans cesse les plus grandes, qui commençaient à sortir avec des garçons et à avoir des fiancés.

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Olivier nous propose sa traduction :

Antonio Belli mourut jeune, d'une cirrhose. « Mamie Carlota », nom qu'on donnait à mon arrière-grand-mère, fit construire, lorsque ses enfants grandirent et se marièrent, un mur au milieu de la vaste cour intérieure de la grande, belle et majestueuse maison au toit de tuiles et aux murs épais afin de la séparer en deux parties. Elle habita la première avec sa fille, Elena, qui était mariée à un avocat, et donna à mon père, qu'elle considérait comme son fils, l'autre moitié, pour que nous nous y installions. Les deux maisons communiquaient entre elles grâce à une porte dans le couloir. Celle de ma tante Elena était gaie et animée. Ses filles, mes cousines, María Elena, María Eugenia et Carlota, étaient plus âgées que moi. La benjamine, que nous surnommions « Toti » pour la différencier de grand-mère, n'avait que cinq ou six ans de plus que moi et était mon idole. Elle était espiègle, marrante et on ne peut plus coquette, et elle me recrutait systématiquement comme complice pour ses bêtises, lesquelles consistaient en général à épier constamment les plus grandes qui commençaient alors à sortir avec des garçons et à avoir des petits copains.

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Vanessa nous propose sa traduction :

Antonio Belli mourut jeune, atteint de cirrhose. Une fois ses enfants grands et mariés, notre arrière-grand-mère, que nous appelions « mamie Carlota », fit élever un mur au milieu de la cour intérieure de sa grande et belle maison seigneuriale, aux toits de tuiles et aux murs épais, et la divisa en deux. Elle continua à vivre d'un côté avec sa fille, Elena, mariée à un avocat, et elle céda l'autre partie à mon père, qui était comme son fils, pour que nous puissions l'occuper. Les deux maisons communiquaient à travers une arche dans le corridor ; celle de ma tante Elena était gaie et animée. Ses filles, María Elena, María Eugenia et Carlota, mes cousines, étaient plus âgées que moi. La plus jeune, que nous surnommions « Toti » pour la distinguer de notre arrière-grand-mère, avait seulement cinq ou six ans de plus que moi, et c'était mon idole. Elle était espiègle, drôle et on ne peut plus coquette, et elle m'entraînait inconditionnellement dans ses jeux espiègles, qui consistaient en général à épier continuellement les plus grandes, qui commençaient à sortir avec des garçons et à avoir des amoureux.

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Perrine nous propose sa traduction :

Antoine Belli mourut jeune, d'une cirrhose. Lorsque ses enfants grandirent et se marièrent, « mamée Charlotte », comme nous avions l'habitude d'appeler mon arrière-grand-mère, fit dresser un mur au centre de la cour intérieure de son immense, sublime et majestueuse maison, au toit en tuiles et aux murs épais, qu'elle divisa en deux. Elle resta dans une partie pour vivre avec sa fille, Hélène, mariée à un avocat, et céda l'autre à mon papa, qu'elle considérait comme son fils, afin que nous l'habitions. Les deux maisons communiquaient entre elles par une voûte dans le couloir.
Celle de ma tante Hélène était gaie et pleine de vie. Ses filles, Marie-Hélène, Marie-Eugénie et Charlotte, mes cousines, étaient plus âgées que moi. La cadette, que nous surnommions « Lolotte », pour ne pas la confondre avec notre arrière-grand-mère, avait seulement cinq ou six ans de plus que moi, et elle représentait mon modèle. Elle était espiègle, amusante, on ne peut plus coquète, et m'entraînait dans ses malices, en tant que complice inconditionnelle, qui consistaient, pour la plupart du temps, à espionner sans cesse nos aînées, qui commençaient à sortir avec des garçons et à avoir des fiancés.

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Annabelle nous propose sa traduction :

Antonio Belli mourut jeune, de cirrhose. Quand ses enfants grandirent et se marièrent, la « petite mamie Carlota », comme nous appelions mon arrière-grand-mère, fit construire un mur au milieu de la grande cour intérieure de sa vaste et belle maison seigneuriale aux toits de tuiles et aux murs épais, et la partagea en deux. Elle resta vivre d'un côté avec sa fille Elena, mariée à un avocat, et donna l'autre à mon papa, qui était comme son fils, pour que ce soit nous qui l'occupions. Les deux maisons communiquaient entre elles par une porte voûtée dans le couloir. Celle de ma tante Elena était joyeuse et animée. Ses filles, Maria Elena, Maria Eugenia et Carlota, mes cousines, étaient plus âgées que moi. La cadette, que nous appelions « Toti » pour la différencier de la grand-mère, avait seulement cinq ou six ans de plus que moi et était mon idole. Elle était espiègle, drôle, on ne peut plus coquette, et m'enrôlait comme complice inconditionnelle de ses espiègleries, qui d'habitude consistaient à épier incessamment les aînées, qui commençaient à sortir avec des garçons et à avoir des fiancés.

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Johnny nous propose sa traduction :

Antonio Belli s'en est allé jeune, mort d'une cirrhose. Lorsque les enfants de ma petite mamie Carlota, car c'est ainsi qu'on appellait mon arrière grand-mère, furent élevés et mariés, elle fit construire un mur en plein milieu de la cour intérieur de sa belle et spacieuse maison seigneuriale recouverte de tuiles et tenue par d'épais murs. Ce qui divisa la maison en deux. Elle et sa fille Elena, mariée à un avocat, continuèrent de séjourner dans une des deux parties, et l'autre fut donnée à mon papa, afin qu'on y vive. Les deux maisons communiquaient entre elles par l'intermédiaire d'un archet dans le couloir. La maison de ma tante était gaie et vivante. Ses filles, María Elena, María Eugenia et Carlota, mes cousines, étaient toutes plus âgées que moi. La plus petite, qu'on appellait "toti" pour ne pas la confondre avec ma grand-mère, avait seulement cinq ou six ans de plus que moi et elle était mon idole. Elle était maligne, amusante, coquette jusqu'au bout des ongles, et elle se servait de moi comme complice inconditionnel pour ses tours de malice, qui accessoirement consistaient à espionner sans relâche les plus grands, qui se mettaient à sortir et à avoir des petits copains.

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Auréba nous propose sa traduction :

Antonio Belli est mort jeune, de cirrhose. Quand ses enfants ont grandi et se sont mariés, « Mamie Carlota », comme nous appelions notre arrière-grand-mère, a fait ériger un mur au milieu de la grande cour intérieure de sa belle maison spacieuse aux toits en tuile et aux murs épais, et l’a divisée en deux. Dans une partie, elle s’est installée pour vivre avec sa fille, Elena, mariée avec un avocat, et l’autre, elle l’a donnée à mon papa, qui était comme son fils, pour que nous l’habitions. Les deux maisons communiquaient entre elles à travers un arc du couloir. Celle de ma tante Elena était gaie et bruyante. Ses filles, María Elena, María Eugenia et Carlota, mes cousines, étaient plus âgées que moi. La benjamine, que nous appelions « Toti » pour la différencier de la mamie, avait seulement cinq ou six ans de plus que moi et elle était mon idole. Elle était espiègle, drôle, on ne peut plus coquette, et elle me recrutait comme complice inconditionnelle de ses espiègleries, qui consistaient usuellement à espionner incessamment les ainées, qui commençaient à sortir avec des garçons et à avoir des petits-amis.

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Jean-Nicolas nous propose sa traduction :

Le jeune Antoine Belli succomba à une cirrhose. Quand ses enfants grandirent et se marièrent, « mémé Charlotte », c’est ainsi que nous appelions ma bisaïeule, fit construire un mur au milieu de la grande cour intérieure de son immense manoir aux toits tuilés et aux murs épais, qu’elle divisa en deux. Elle resta vivre dans une pièce en compagnie de sa fille, Hélène, en ménage avec un avocat , et elle laissa l’autre à mon père, qu’elle considérait comme son fils, pour que nous puissions y résider. Les deux maisons communiquaient entre elles au moyen d’un arc se situant dans le couloir. La joie et le vacarme régnaient dans celle de ma tante Hélène. Ses filles, Marie Hélène, Marie Eugénie et Charlotte, à savoir mes cousines, étaient plus âgées que moi. La cadette, que l’on surnommait « Toti » pour la différencier de ma grand-mère, avait cinq ou six ans de plus que moi et représentait mon idole. Elle était espiègle, amusante et débordante de coquetterie, et elle me sollicitait en tant que complice inconditionnelle de ses taquineries qui consistaient traditionnellement à épier sans cesse les plus grandes qui commençaient à folâtrer avec les garçons et à avoir des petits copains.

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Jean-Bapiste nous propose sa traduction :

Antonio Belli est mort jeune, d'une cirrhose. Lorsque ses enfants grandirent et se marièrent, "mémé Carlota", le nom que nous donnions à notre arrière grand-mère, fit élever un mur au milieu du grand patio de sa vaste et belle demeure dont les toits sont en tuiles et les murs épais; et elle la divisa en deux. Elle resta vivre dans une partie avec sa fille, Elena, mariée à un avocat; et elle donna l'autre partie, pour que nous l'occupions, à mon papa, qui était comme son fils. Les deux maisons communiquaient entre elles par une voûte qui se trouvait dans le couloir. Celle de ma tante Elena était gaie et agitée. Ses filles, Maria Elena, Maria Eugenia et Carlota, mes cousines, étaient plus âgées que moi. La plus jeune, que nous appelions "Toti" pour la différencier de la grand-mère, avait seulement cinq ou six ans de plus que moi, et elle était mon idole. Elle était espiègle, drôle et coquette au plus haut point, et elle m'engageait en tant que complice incontournable de ses bêtises, qui d'habitude, consistaient à espionner les plus grandes qui commençaient à fréquenter des garçons et à avoir des petits amis.

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Mélissa nous propose sa traduction :


Antonio Belli mourut jeune, d’une cirrhose. Quand ses fils grandirent et se marièrent, la « grand-mère Carlota », comme on appelait mon arrière grand-mère, ordonna de faire ériger un mur au milieu de la grande cour intérieure de sa vaste et belle maison seigneuriale au toit en tuiles et aux gros murs, et la partagea en deux. Elle resta vivre avec sa fille, Elena, mariée à un avocat, dans une partie et l’autre, elle la donna à mon papa, qui était comme son fils, pour que nous l’occupions. Les deux maisons communiquaient entre elle au moyen d’une arche dans le corridor. Celle de ma tante Elena était joyeuse et animée. Ses filles, María Elena, María Eugenia et Carlota, mes cousines, étaient plus âgées que moi. La plus jeune, qu’on appelait « Toti » pour la différencier de la grand-mère, était plus vieille que moi de cinq ou six ans et c’était mon idole. Elle était espiègle, drôle, coquette comme personne, et elle me recrutait comme complice pour épier sans cesse les aînées, qui commençaient à sortir avec des garçons et à avoir des copains.


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Aurélie nous propose sa traduction :

Antonio Belli est mort jeune, de cirrhose. Quand grandirent et se marièrent les enfants, "grand-mère Carlota", comme on appelait mon arrière-grand-mère, ordonna de faire construire un mur au milieu de la grande cour intérieure de sa grande et belle maison seigneurial dont le toits étaient en tuiles et les murs épais, et la divisa en deux. Elle garda une partie pour vivre elle et sa fille, Elena, mariée à un avocat, et l'autre partie, la donna à mon papa, qu'elle considérait comme son fils, pour que nous puissions y vivre. Les deux maisons communiquaient entre elles par une arche dans le couloir. Celle de ma tante Elena était une maison chaleureuse et bruyante. Ses filles, María Elena, María Eugenia et Carlota, mes cousines, étaient plus âgées que moi. La plus jeune, qu'on appelait "Toti" pour la différencier de la grand-mère, n'avait seulement que cinq ou six ans de plus que moi et était mon idole. Elle était espiègle, drôle, coquette à n'en plus finir, et me prit comme complice inconditionnelle de ses espiègleries, qui consistaient habituellement à espionner de manière incessante les aînées, qui commençaient à sortir avec les garçons et avoir des petits amis.

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Mélina nous propose sa traduction :

Antonio Belli mourut jeune, d'une cirrhose. Lorsque ses enfants grandirent et se marièrent, "mamie Carlota", c'est ainsi que nous appelions mon arrière grand-mère, fit construire un mur au milieu de la grande cour intérieure de sa vaste et magnifique maison seigneuriale avec ses toits en tuile et ses murs épais, et la divisa en deux.
Dans une des parties elle s'installa avec sa fille, Elena, mariée à un avocat, quant à l'autre elle la donna à mon père, qui était comme un fils pour elle, pour que nous y vivions. Les deux maisons communiquaient entre elles au moyen d'un arc situé dans le couloir. Celle de ma tante Elena était joyeuse et bruyante. Ses filles, Maria Helena, Maria Eugenia et Carlota, mes cousines, étaient plus âgées que moi. La plus jeune, que nous appelions "Toti" pour la différencier de ma grand-mère, n'avait que cinq ou six ans de plus que moi et elle était mon idole. Elle était polissonne, amusante, coquette au possible, et elle me recrutait comme inconditionnelle complice de ses espiègleries , qui généralement consistaient en l'espionnage incessant des grandes, qui commençaient à sortir avec des garçons et à avoir des petits amis.

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Florian nous propose sa traduction :

Antonio Belli est mort jeune, de la cirrhose. Quand ses enfants ont grandi et se sont mariés, "mamie Carlota", comme on appelait notre arrière-grand-mère, avait ordonné la construction d'un mur au milieu de la grande cour intérieure de son ample et somptueuse maison de maître à la toiture en tuile et aux façades épaisses, et la scinda en deux. Elle resta vivre dans une partie avec sa fille, Elena, mariée à un avocat , et elle céda l'autre à mon papa, qu'elle considérait comme son fils, afin que, nous tous, puissions l'occupée. Les deux habitations étaient reliées entre elles par une arche dans le corridor. Dans le coin de ma tante Elena, c'était gai et animé. Ses filles, María Elena, María Eugenia et Carlota, mes cousines, étaient plus vielles que moi. La cadette, que nous surnommions "Toti" pour la différencier de la grand-mère, avait seulement cinq ou six ans de plus que moi, mais était mon idole. Elle était espiègle, amusante, et on ne peut plus coquette, puis elle se servait de moi comme complice inconditionnel de ses espiègleries qui consistaient en général à espionner constamment ses grandes sœurs, qui commençaient à fréquenter des jeunes hommes et à avoir des fiancés.

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Bruno nous propose sa traduction :

Antonio Belli mourut jeune, d'une cirrhose. Quand ses enfants grandirent et se marièrent, la "abuelita Carlota", comme nous appelions
notre arrière grand-mère, fit construire un mur au milieu de la grande cour intérieure de sa vaste et belle maison de maître aux toits de tuiles et aux murs épais, et la divisa en deux. Dans une partie, elle resta vivre avec sa fille Elena, mariée à un avocat , et l'autre, elle la donna à mon papa, qui était comme son fils, pour que nous l'occupions nous. Les deux maisons communiquaient entre elles à travers un arc dans le couloir. Celle de ma tante Elena était joyeuse et bruyante. Ses filles Elena, Maria Eugenia et Carlota, mes cousines, étaient plus âgées que moi. La plus jeune, que nous appelions"Toti" pour la différencier de notre grand-mère, n'avait que cinq ou six ans de plus que moi, et c'était mon idole. Elle était malicieuse, drôle, coquette au possible, et elle me recrutait comme complice inconditionnelle de ses espiègleries, qui habituellement consistaient à épier sans cesse les plus grandes, qui commençaient à sortir avec des garçons et à avoir des fiancés.

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Sonita nous propose sa traduction :

Antonio Belli mourut jeune, de cirrhose. Quand ses enfants grandirent et se marièrent, « mamie Carlota » ainsi appelions nous mon arrière-grand-mère, fit lever un mur au milieu de la grande cour intérieure de sa spacieuse et belle maison majestueuse aux toits en tuile et aux murs épais, et la coupa en deux. D’un côté, elle y resta vivre avec sa fille, Elena, mariée à un avocat, et l’autre côté, elle le donna à mon père, qui était comme son fils, pour que nous y habitions. Les deux maisons se communiquaient entre elles à travers un arc dans le couloir. La maison de ma tante Elena était joyeuse et bruyante. Ses filles, María Elena, María Eugenia et Carlota, mes cousines, étaient plus âgées que moi. La plus jeune, que nous appelions « Toti » pour la différencier de grand-mère, avait cinq ou six ans de plus que moi et était mon idole. Elle était espiègle, drôle, coquette à n’en plus pouvoir, et elle me recrutait pour être sa complice inconditionnelle dans ses espiègleries, qui consistaient habituellement à épier sans cesse les plus grandes, qui commençaient à sortir avec des garçons et à avoir des petits-copains.

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Jeanne nous propose sa traduction :

Antonio Belli mourut jeune, d’une cirrhose. Quand ses enfants grandirent et se marièrent, « grand-maman Carlota », c’est ainsi que nous appelions mon arrière grand-mère, fit construire un mur, au milieu du grand patio intérieur de sa vaste et belle maison seigneurial, dont la toiture était en tuiles et les murs épais, et la divisa en deux. Elle resta vivre dans l’une des parties avec sa fille, Elena, mariée à un avocat et elle donna l’autre à mon père, le considérant comme son propre fils, afin que nous l’occupions. Les deux maisons communiquaient entre elles grâce à une arche dans le couloir. Celle de ma tante Elena était gaie et animée. Ses filles, María Elena, María Eugenia et Carlota, également mes cousines, étaient plus âgées que moi. La plus jeune d’entre elles, que l’on surnommait « Toti » afin de ne pas la confondre avec grand-mère, n’avait que cinq ou six ans de plus que moi et c’était mon idole. Elle était espiègle, drôle, on ne peut plus coquète et elle m’enrôlait comme inconditionnel complice dans ses polissonneries qui consistaient d’ordinaire à épier longuement les plus grandes, qui commençaient à sortir avec des garçons et avoir des copains.

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Virginie nous propose sa traduction :


Antonio Belli est mort jeune, de cirrose. Quand ses enfants grandîrent et se marièrent, «grand-maman Charlotte», c'est comme ça que nous surnommions mon arrière grand-mère, fit construire un mur au milieu du gran patio intérieur de sa grande et belle maison. Celle-ci était majestueuse, avec des toits de tuiles et d'épais murs, et elle la divisa en deux. Dans une partie, elle resta vivre avec sa fille, Elena, mariée à un avocat, et donna l'autre à mon papa, qui était comme son fils, pour que nous l'occupions. Les deux maisons communiquaient entre elles par une arcade dans le couloir. Celle de ma tante était joyeuse et bruyante. Ses filles, María Elena, María Eugenia et Carlota, mes cousines, étaient plus agées que moi. La plus petite, que nous appellions «Toti» pour la distinguer de la grand-mère, avait seulement cinq ou six ans de plus que moi et c'était mon idole. Elle était espiègle, amusante, on ne peut plus coquette. Elle m'engageait en tant que complice inconditionnel de ses mutineries, qui en général consistaient à épier constamment les plus vieilles, qui commençaient à sortir avec des garçons et à avoir des fiancés.

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Benoît nous propose sa traduction :

Antonio Belli mourut jeune, victime d'une cirrhose. Quand ces enfants grandirent et qu'ils se marièrent, « mamie Carlota » comme on appelait mon arrière-grand-mère, ordonna de faire dresser un mur au milieu de la grande cour intérieur de son grand et beau manoir, aux toits parés de tuiles et portant sur d' épais murs, et le divisa ainsi en deux.
D'un coté, il y eut désormais elle vivant avec sa fille, Elena, mariée à un avocat, et l'autre coté elle le donna à mon papa, qui était comme son fils, pour que nous puissions l'occuper. Les deux maisons communiquait par un arc dans le corridor. Celle de ma tante Elena, était gaie et bruyante. Ses filles, Maria Elena, Maria Eugiania et Carlota, mes cousines était plus âgées que moi. La plus jeune, que nous appelions « Toti » pour la differencier de la grand-mère, me dépassait de seulement cinq ou six ans, et c'était mon idole. Elle était espiègle, drole et aussi coquette qu'on puisse l'imaginer, et elle me recrutait comme fidèle complice de ses polissonneries, qui consistait habituellement à espionner incessamment les plus grandes, qui commençaient à sortir avec des jeunes hommes et à avoir des petits amis.

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Leslie nous propose sa traduction :

Antonio Belli est mort jeune, d'une cirrhose. Quand ses enfants ont grandi et se sont mariés, la « petite mamie Carlota », comme nous appelions mon arrière-grand-mère, a fait élever un mur au milieu de la grande cour intérieure de sa vaste et belle maison cossue aux toits faits de tuiles et aux murs épais, et elle l'a divisée en deux parties. Elle est restée dans l'une d'elles, vivant avec sa fille Elena, qui était mariée à un avocat, et l'autre, elle l'a donnée à mon père -qui était comme son fils-, pour que nous l'occupions. Les deux maisons communiquaient à travers une arcade dans le couloir. Celle de ma tante Elena était joyeuse et bruyante. Ses filles, María Elena, María Eugenia et Carlota, mes cousines, étaient plus âgées que moi. La plus jeune, que nous surnommions « Toti » pour la différencier de la grand-mère, avait juste cinq ou six ans de plus que moi et elle était mon idole. Elle était polissonne, drôle, coquette au possible, et elle me recrutait comme son inconditionnelle complice d'espiègleries, qui, généralement, consistaient à épier sans cesse les grandes soeurs, qui commençaient à sortir avec des jeunes et à avoir des petits copains.

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