« Les traductions sont des domestiques qui vont porter un message de la part de leur maître et qui disent tout le contraire de ce qu'on leur a ordonné. », Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné.
Je vous avais dit, « jusqu'à demain… » Notre ego se dégonfle de nouveau, flagellés que nous sommes, une fois de plus mis plus bas que terre. Mais qu'ont-ils tous contre nous ? D'ailleurs, prenons la chose avec indifférence et acceptons bien volontiers la roture et même la domesticité… car nous le savons, nous, ce qui se cache derrière tout cela : depuis notre humble position, nous les voyons, et de près par surcroît, les arrières-boutiques et les antichambres des Grandes Textes des Grands Auteurs et nous avons même le privilège d'y faire un peu de ménage, d'y mettre de l'ordre, d'y polir quelques vieux cuivres, d'y déposer ici et là un bouquet de fleurs, d'y redresser un cadre… et parfois d'y enlever le linge sale – Strawberry fields forever ;-)
Je vous avais dit, « jusqu'à demain… » Notre ego se dégonfle de nouveau, flagellés que nous sommes, une fois de plus mis plus bas que terre. Mais qu'ont-ils tous contre nous ? D'ailleurs, prenons la chose avec indifférence et acceptons bien volontiers la roture et même la domesticité… car nous le savons, nous, ce qui se cache derrière tout cela : depuis notre humble position, nous les voyons, et de près par surcroît, les arrières-boutiques et les antichambres des Grandes Textes des Grands Auteurs et nous avons même le privilège d'y faire un peu de ménage, d'y mettre de l'ordre, d'y polir quelques vieux cuivres, d'y déposer ici et là un bouquet de fleurs, d'y redresser un cadre… et parfois d'y enlever le linge sale – Strawberry fields forever ;-)
1 commentaire:
Campo de frambuesas?
Enregistrer un commentaire