… « Le défaut le plus inadmissible chez le traducteur »
Si j'en crois les apprentis traducteurs, il était difficile de trancher car, je reprends leurs propos, « tous ces défauts sont plus affreux les uns que les autres ! » Oui, la petite troupe a poussé les hauts cris ; je vous l'accorde, d'autant que nombre se recoupent ou sont la conséquence de celui-ci ou celui-là. Mais le projet de départ était une espèce de table de la loi du traducteur et il fallait bien une échelle… que voici :
Sur 42 votants, nous obtenons les résultats suivants :
La fainéantise = 10 voix (23%)
Le manque de curiosité = 3 voix (7%)
Les fautes d'orthographe = 3 voix (7%)
Un lexique approximatif = 5 voix (11%)
Se prendre pour l'auteur = 9 voix (21%)
Oublier du texte de la V.O. = 2 voix (%)
Dénigrer la V.O. en public = 3 voix (7%)
La traîtrise = 7 voix (16%)
Et donc, si on les met dans l'ordre – du plus "grave" au moins grave :
La fainéantise
Se prendre pour l'auteur
La traîtrise
Un lexique approximatif
Le manque de curiosité
Les fautes d'orthographe
Dénigrer la V.O. en public
Oublier du texte de la V.O.
Il faudrait écrire une espèce de petit texte à partir de tous ces mots et dont le début serait « Ô traducteur, prends garde… », avec, à chaque fois, une sanction (graduée, elle aussi). J'en ris à l'avance. Si les apprentis traducteurs ne sont pas en train de partir à la dérive entre les pages de leurs traductions longues, je les invite à relever ce mini-défi.
Juste une parenthèse pour vous signaler que je vous trouve bien légers concernant le défaut de votre point de vue le moins condamnable, à savoir "oublier du texte en V.O."… Ah bon ? Vous ne trouverez pas cela scandaleux d'omettre une phrase, peut-être même un paragraphe, voire une page entière ? Vous n'êtes pas regardants, mes amis.
Si j'en crois les apprentis traducteurs, il était difficile de trancher car, je reprends leurs propos, « tous ces défauts sont plus affreux les uns que les autres ! » Oui, la petite troupe a poussé les hauts cris ; je vous l'accorde, d'autant que nombre se recoupent ou sont la conséquence de celui-ci ou celui-là. Mais le projet de départ était une espèce de table de la loi du traducteur et il fallait bien une échelle… que voici :
Sur 42 votants, nous obtenons les résultats suivants :
La fainéantise = 10 voix (23%)
Le manque de curiosité = 3 voix (7%)
Les fautes d'orthographe = 3 voix (7%)
Un lexique approximatif = 5 voix (11%)
Se prendre pour l'auteur = 9 voix (21%)
Oublier du texte de la V.O. = 2 voix (%)
Dénigrer la V.O. en public = 3 voix (7%)
La traîtrise = 7 voix (16%)
Et donc, si on les met dans l'ordre – du plus "grave" au moins grave :
La fainéantise
Se prendre pour l'auteur
La traîtrise
Un lexique approximatif
Le manque de curiosité
Les fautes d'orthographe
Dénigrer la V.O. en public
Oublier du texte de la V.O.
Il faudrait écrire une espèce de petit texte à partir de tous ces mots et dont le début serait « Ô traducteur, prends garde… », avec, à chaque fois, une sanction (graduée, elle aussi). J'en ris à l'avance. Si les apprentis traducteurs ne sont pas en train de partir à la dérive entre les pages de leurs traductions longues, je les invite à relever ce mini-défi.
Juste une parenthèse pour vous signaler que je vous trouve bien légers concernant le défaut de votre point de vue le moins condamnable, à savoir "oublier du texte en V.O."… Ah bon ? Vous ne trouverez pas cela scandaleux d'omettre une phrase, peut-être même un paragraphe, voire une page entière ? Vous n'êtes pas regardants, mes amis.
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