mercredi 19 décembre 2012

Les Lituma – phrase 292

Es más, sabes bien que se trata de un cuento, uno de esos relatos que la imaginación ociosa inventa para matar el tiempo o, lo que es aún más retorcido, renegar de la realidad.

Traduction temporaire :
En outre, tu sais bien qu’il ne s’agit là que d’un conte, d'un de ces récits que l’imagination oisive invente pour tuer le temps ou, encore plus tordu, pour renier la réalité.

8 commentaires:

Sonita a dit…

Tu sais bien, d'ailleurs, qu’il ne s’agit là que d’une histoire, un de ces récits que l’imagination oisive invente pour tuer le temps ou, ce qui est encore plus tordu, pour renier la réalité.

Tradabordo a dit…

Tu sais bien, d'ailleurs [pour « Es más » ? Pas sûre…], qu’il ne s’agit là que d’une histoire [pourquoi tu changes ?], [« d' »] un de ces récits que l’imagination oisive invente pour tuer le temps ou, ce qui est [supprime… pas nécessaire et ça alourdit] encore plus tordu, pour renier la réalité.

Sonita a dit…

En plus, tu sais bien qu’il ne s’agit là que d’un conte, d'un de ces récits que l’imagination oisive invente pour tuer le temps ou, encore plus tordu, pour renier la réalité.

Elodie a dit…

Et mieux encore, tu sais bien qu'il s'agit d'un conte, d'un de ces récits que l'imagination oisive invente pour tuer le temps ou, encore plus tordu, pour renier la réalité.

Tradabordo a dit…

Est-ce que ça n'est pas « en outre » ?

OK pour le reste : tu sais bien qu’il ne s’agit là que d’un conte, d'un de ces récits que l’imagination oisive invente pour tuer le temps ou, encore plus tordu, pour renier la réalité.

Sonita a dit…

En outre, tu sais bien qu’il ne s’agit là que d’un conte, d'un de ces récits que l’imagination oisive invente pour tuer le temps ou, encore plus tordu, pour renier la réalité.

Tradabordo a dit…

En outre, tu sais bien qu’il ne s’agit là que d’un conte, d'un de ces récits que l’imagination oisive invente pour tuer le temps ou, encore plus tordu, pour renier la réalité.

OK.

Validation d'une autre Lituma, svp.

Justine a dit…

En outre, tu sais bien qu’il ne s’agit là que d’un conte, d'un de ces récits que l’imagination oisive invente pour tuer le temps ou, encore plus tordu, pour renier la réalité.

OK.