jeudi 27 décembre 2012

Projet Céline 2 – phrases 198-199

Lo que quería era reunirse con sus padres. Eso también estaba en los libros de Sueiro: “Viniste, gallego”, le había dicho un amigo a Sueiro, ni bien cruzó la línea.

Traduction temporaire :
Ce qu’il voulait, c’était retrouver ses parents. Cela aussi figurait dans les livres de Sueiro : « Tu es venu, cher Galicien » – voilà ce qu'avait dit à Sueiro l’un de ses amis au moment où il était passé dans l’autre monde.

9 commentaires:

Unknown a dit…

Ce qu’il voulait, c’était rejoindre ses parents. Cela figurait aussi dans les livres de Sueiro : « Tu es venu, Espinpouin », avait dit un ami à Sueiro dès qu’il eût franchi la ligne.

Je ne suis pas sûre de la traduction de « gallego » car je pense qu’il s’agit d’un surnom plutôt affectueux.

Tradabordo a dit…

Ce qu’il voulait, c’était rejoindre [ou « retrouver » – puisqu'il s'agit de la mort ?] ses parents. Cela figurait aussi [ou le « aussi » après « Cela » ?] dans les livres de Sueiro : « Tu es venu, Espinpouin [FS] », avait dit un ami à Sueiro dès qu’il eût franchi la ligne [fin pas très naturelle ; je ne sais pas si c'est à cause de la syntaxe… Regarde].

Unknown a dit…

Ce qu’il voulait, c’était retrouver ses parents. Cela aussi figurait dans les livres de Sueiro : « Tu es venu, petit idiot », avait dit à Sueiro l’un de ses amis au moment où il franchit la ligne.

Je ne sais pas s’il ne faudrait pas expliciter un peu plus « cruzar la línea » pour que l’on comprenne qu’il s’agit du moment où il passe de la vie à la mort.

Tradabordo a dit…

Ce qu’il voulait, c’était retrouver ses parents. Cela aussi figurait dans les livres de Sueiro : « Tu es venu, petit idiot [tu es sûre qu'il ne faut pas le prendre au sens littéral ici ?] » [ ou « - voilà ce qu'avait dit… »] avait dit à Sueiro l’un de ses amis au moment où il franchit [PQP ?] la ligne [oui, pour l'explicitation ; tu as raison… ce sera mieux].

Unknown a dit…

Ce qu’il voulait, c’était retrouver ses parents. Cela aussi figurait dans les livres de Sueiro : « Tu es venu, petit idiot », voilà ce qu'avait dit à Sueiro l’un de ses amis au moment où il était passé dans l’autre monde.

D’après ce que j’ai pu trouver sur internet, en Argentine, « gallego » est employé soit pour désigner un Espagnol de façon péjorative, soit pour désigner quelqu’un d’idiot. De plus, Sueiro, qui est réellement un auteur argentin, n’est ni Galicien ni Espagnol. J’ai trouvé un extrait de l’un de ses livres dans lequel il décrit son expérience de mort imminente en disant : « Hubo un `Viniste, Gallego` (que es como me llamaban muchos amigos), otros que me llamaban como `Víctor` o `Victorio`, otro apodo afectuoso ».

Tradabordo a dit…

Ce qu’il voulait, c’était retrouver ses parents. Cela aussi figurait dans les livres de Sueiro : « Tu es venu, petit idiot », [tiret ou point-virgule] voilà ce qu'avait dit à Sueiro l’un de ses amis au moment où il était passé dans l’autre monde.

Unknown a dit…

Ce qu’il voulait, c’était retrouver ses parents. Cela aussi figurait dans les livres de Sueiro : « Tu es venu, petit idiot » – voilà ce qu'avait dit à Sueiro l’un de ses amis au moment où il était passé dans l’autre monde.

Unknown a dit…

Ce qu’il voulait, c’était retrouver ses parents. Cela aussi figurait dans les livres de Sueiro : « Tu es venu, petit idiot » – voilà ce qu'avait dit à Sueiro l’un de ses amis au moment où il était passé dans l’autre monde.

Tradabordo a dit…

Ce qu’il voulait, c’était retrouver ses parents. Cela aussi figurait dans les livres de Sueiro : « Tu es venu, petit idiot » – voilà ce qu'avait dit à Sueiro l’un de ses amis au moment où il était passé dans l’autre monde.

OK.