Ese es el olor que tiene París por la noche y en el subsuelo, el mismo olor de cientos, miles de personas anónimas que llegaron buscando un sueño pero que nos encontramos con el vacío que te niegas a conocer cada vez que subes de nuevo a la ciudad, y ves de nuevo los edificios y respiras hondo y te dices qué bella que es París de mañana, a esa hora, llena de vida, con tantas nubes y tanta gente alrededor dispuesta a caminar y a levantar los ojos y a sonreír, y decir que sí.
Tours, septiembre 2011.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires :
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve. Mais nous nous sommes heurtés au néant que tu refuses de voir chaque fois que tu regagnes la surface de la ville et que tu vois de nouveau les immeubles, que tu inspires profondément et que tu te dis que Paris est belle le matin, à cette heure-là, pleine de vie, avec tous ces nuages, tous ces gens autour disposés à marcher, à lever les yeux, à sourire, et à dire oui.
Tours, septembre 2011
30 commentaires:
C’est celle-là l’odeur qu’a Paris la nuit et dans ses sous-sols, cette même odeur de cents, de milliers de personnes anonymes qui sommes arrivées ici à la recherche d’un rêve mais qui avons trouvé le vide que tu refuses de voir à chaque fois que tu remontes dans la ville. Tu vois de nouveau les immeubles et tu respires profondément et tu te dis qu’est-ce qu’elle est belle Paris le matin, à cette heure-là, pleine de vie, avec tant de nuages et tant de gens autour, disposées à marcher, à lever les yeux, à sourire et à dire oui.
Tours, septembre 2011.
C’est celle-là l’odeur qu’a Paris [très mal dit] la nuit et dans ses sous-sols, cette même odeur de cents [grammaire + FS ?], de milliers de personnes anonymes qui sommes arrivées [texte] ici à la recherche [avec « poursuivre »] d’un rêve………… Relis et reprends la suite ; trop un brouillon………… mais qui avons trouvé le vide que tu refuses de voir à chaque fois que tu remontes dans la ville. Tu vois de nouveau les immeubles et tu respires profondément et tu te dis qu’est-ce qu’elle est belle Paris le matin, à cette heure-là, pleine de vie, avec tant de nuages et tant de gens autour, disposées à marcher, à lever les yeux, à sourire et à dire oui.
C’est celle-là l’odeur que Paris a la nuit et, dans ses sous-sols, cette même odeur de centaines, de milliers de personnes anonymes qui sont arrivées ici poursuivant un rêve. Mais nous avons trouvé le néant que tu refuses de voir à chaque fois que tu remontes là-haut, dans la ville. Tu revois les immeubles et tu respires profondément et tu te dis qu’est-ce qu’elle est belle Paris le matin, à cette heure-là, pleine de vie, avec tant de nuages et tant de gens autour. Toutes disposées à marcher, à lever les yeux, à sourire et à dire oui.
C'est l'odeur qu'a Paris, la nuit, et dans les sous-sols, la même odeur que des centaines, des milliers de personnes anonymes qui vinrent pour poursuivre un rêve mais que nous rencontrâmes avec un vide que tu refuses de reconnaître à chaque fois que tu remontes de nouveau à la ville, et tu vois de nouveau les bâtiments, tu respires profondément et tu te dis que Paris est belle le matin, à cette heure-là, pleine de vie, avec tant de nuages, tant de gens autour prêt à marcher, à lever les yeux et sourire, et dire oui.
Tours, Septembre 2011.
On va faire morceau par morceau :
C’est celle-là l’odeur que Paris a la nuit
C'est l'odeur qu'a Paris, la nuit,
OU : C'est l'odeur de Paris la nuit ?
Je vous laisse trancher…
C'est l'odeur de Paris, la nuit,
OK.
C'est l'odeur de Paris, la nuit,
Pour la suite, je prends la solution la plus avancée de mon point de vue :
et, dans ses sous-sols, cette [pas de démonstratif] même odeur de centaines, de milliers de personnes anonymes qui sont [pas besoin] arrivées ici poursuivant un rêve.
C'est l'odeur de Paris la nuit,
et, dans ses sous-sols, la même odeur de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici poursuivant un rêve.
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, la même odeur [je pense que c'est dans le sens de « commune », non ?] de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici poursuivant [ou « à la poursuite de » ?] un rêve.
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve.
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve.
Je pense que c'est ça, en effet…
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve. Mais nous avons trouvé le néant que tu refuses [un gros doute : un vrai « tu » ou la généralité – le cas échéant, pas avec « tu » ? J'attends que tu me dises] de voir à chaque fois que tu remontes là-haut, dans la ville.
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve. Mais nous avons trouvé le néant que tu refuses de voir à chaque fois que tu remontes là-haut, dans la ville.
***
En ce qui me concerne, je pense que c'est un vrai "tu" car dès le début de cette nouvelle, le narrateur interpelle et prend à partie le lecteur.
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve. Mais nous avons trouvé [ou « se heurter » ?] le néant que tu refuses de voir à [supprime] chaque fois que tu remontes là-haut [redondant… trouve un autre verbe], dans la ville.
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve. Mais nous avons trouvé le néant que l'on refuse de voir à chaque fois que l'on remonte là-haut, dans la ville.
Pour ma part, je dirais « on », car je pense que cela englobe tous les étrangers qui sont venus à Paris.
Ou alors c'est la suite de « Ami péruvien » d'avant.
Pour la suite, Justine, tiens compte de mon commentaire précédent.
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve. Mais nous nous sommes heurtés au néant que tu refuses de voir chaque fois que tu reviens dans la ville.
Justine,
As-tu vu mon dernier comment sur « Ami péruvien » ?
Oui, c'est d'ailleurs la raison pour laquelle, j'ai repris le « tu »
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve. Mais nous nous sommes heurtés au néant que tu refuses de voir chaque fois que tu reviens [non, il faut quand même rendre l'idée qu'il remonte à la surface… qu'il sort des sous-sol, quoi ; le problème, c'était « remonter » + « en haut » ?] dans la ville.
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve. Mais nous nous sommes heurtés au néant que tu refuses de voir chaque fois que tu refais surface dans la ville.
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve. Mais nous nous sommes heurtés au néant que tu refuses de voir chaque fois que tu reviens en haut, dans la ville.
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve. Mais nous nous sommes heurtés au néant que tu refuses de voir chaque fois que tu refais [ok mais alors avec « regagne »] surface dans la ville.
Enchaînez sans le point, évidemment, mais avec « et que et tu… »
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve. Mais nous nous sommes heurtés au néant que tu refuses de voir chaque fois que tu regagnes la surface dans la ville et que tu revois les immeubles et tu respires profondément et tu te dis qu’est-ce qu’elle est belle Paris le matin, à cette heure-là, pleine de vie, avec tant de nuages et tant de gens autour ; disposées à marcher, à lever les yeux, à sourire et à dire oui.
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve. Mais nous nous sommes heurtés au néant que tu refuses de voir chaque fois que tu regagnes la surface de la ville et que tu revois les bâtiments, que tu respires profondément et que tu te dis que Paris est belle le matin, à cette heure-là, pleine de vie, avec tant de nuages, tant de gens autour prêt à marcher, à lever les yeux et à sourire, et à dire oui.
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve. Mais nous nous sommes heurtés au néant que tu refuses de voir chaque fois que tu regagnes la surface de la ville et que tu revois [là, pour le coup, je pense que ce serait mieux avec « de nouveau »] les bâtiments [ou « immeubles » ?], que tu respires profondément et que tu te dis que Paris est belle le matin, à cette heure-là, pleine de vie, avec tant [« tous ces »] de nuages, tant [idem] de gens autour prêt [bof] à marcher, à lever les yeux et [on supprime ce « et » ?] à sourire, et à dire oui.
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve. Mais nous nous sommes heurtés au néant que tu refuses de voir chaque fois que tu regagnes la surface de la ville et que tu vois de nouveau »] les immeubles, que tu respires profondément et que tu te dis que Paris est belle le matin, à cette heure-là, pleine de vie, avec tous ces nuages, tous ces gens autour disposés à marcher, à lever les yeux, à sourire, et à dire oui.
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve. Mais nous nous sommes heurtés au néant que tu refuses de voir chaque fois que tu regagnes la surface de la ville et que tu vois de nouveau les immeubles, que tu respires [ou « inspire » ?] profondément et que tu te dis que Paris est belle le matin, à cette heure-là, pleine de vie, avec tous ces nuages, tous ces gens autour disposés à marcher, à lever les yeux, à sourire, et à dire oui.
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve. Mais nous nous sommes heurtés au néant que tu refuses de voir chaque fois que tu regagnes la surface de la ville et que tu vois de nouveau les immeubles, que tu inspires profondément et que tu te dis que Paris est belle le matin, à cette heure-là, pleine de vie, avec tous ces nuages, tous ces gens autour disposés à marcher, à lever les yeux, à sourire, et à dire oui.
C'est l'odeur de Paris la nuit, et, dans ses sous-sols, l'odeur commune de centaines, de milliers de personnes anonymes arrivées ici à la poursuite d'un rêve. Mais nous nous sommes heurtés au néant que tu refuses de voir chaque fois que tu regagnes la surface de la ville et que tu vois de nouveau les immeubles, que tu inspires profondément et que tu te dis que Paris est belle le matin, à cette heure-là, pleine de vie, avec tous ces nuages, tous ces gens autour disposés à marcher, à lever les yeux, à sourire, et à dire oui.
OK.
Le texte est terminé ! Bravo à toutes…
Maintenant, attendez tranquillement ; quand on en sera aux relectures, je vous ferai parvenir l'intégralité du document… Pour l'instant, prenez un peu de recul, oubliez le texte – vous n'en serez que plus à même de bien le reprendre après.
Enregistrer un commentaire