Por un momento había estado convencido de que era capaz de dejarlo todo por Adriana. Ella le decía “tontito” y Arturo le daba un beso; ella lo acariciaba por abajo y Arturo le apretaba el pezón con dos dedos.
Traduction temporaire :
Pendant un moment, il avait été convaincu d’être capable de tout quitter pour Adriana. Elle lui disait : « petit imbécile » et Arturo l’embrassait ; elle le caressait en bas et Arturo lui pinçait un mamelon entre deux doigts.
Pendant un moment, il avait été convaincu d’être capable de tout quitter pour Adriana. Elle lui disait : « petit imbécile » et Arturo l’embrassait ; elle le caressait en bas et Arturo lui pinçait un mamelon entre deux doigts.
6 commentaires:
L’espace d’un instant, il avait été convaincu d’être capable de tout quitter pour Adriana. Elle lui disait « petit imbécile » et Arturo l’embrassait ; elle le caressait en bas et Arturo lui pinçait le mamelon entre ses deux doigts.
L’espace d’un instant [« momento » ; pas exactement la même durée], il avait été convaincu d’être capable de tout quitter pour Adriana. Elle lui disait [deux points ?] « petit imbécile » et Arturo l’embrassait ; elle le caressait en bas et Arturo lui pinçait le [ou « un » ?] mamelon entre ses [pas besoin] deux doigts.
Pendant un moment, il avait été convaincu d’être capable de tout quitter pour Adriana. Elle lui disait : « petit imbécile » et Arturo l’embrassait ; elle le caressait en bas et Arturo lui pinçait un mamelon entre deux doigts.
Pendant un moment, il avait été convaincu d’être capable de tout quitter [ou « plaquer » ? Je te laisse trancher] pour Adriana. Elle lui disait : « petit imbécile » et Arturo l’embrassait ; elle le caressait en bas et Arturo lui pinçait un mamelon entre deux doigts.
Pendant un moment, il avait été convaincu d’être capable de tout quitter pour Adriana. Elle lui disait : « petit imbécile » et Arturo l’embrassait ; elle le caressait en bas et Arturo lui pinçait un mamelon entre deux doigts.
Pendant un moment, il avait été convaincu d’être capable de tout quitter pour Adriana. Elle lui disait : « petit imbécile » et Arturo l’embrassait ; elle le caressait en bas et Arturo lui pinçait un mamelon entre deux doigts.
OK.
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