Cualquiera podía ser la última. Tenía que obligarse a decir sólo su frase. “Venga” estaba bien; “a nosotros” podía entenderse como una invitación, el goce por compartir; si el gusano llegaba cuando decía “tu reino” estaba salvado.
Traduction temporaire :
N’importe lequel de ces mots pouvait être le dernier. Il devait s’astreindre à ne prononcer que sa phrase. « Que » (ça allait) ; « vienne » (on pouvait le comprendre comme une invitation, un plaisir partagé) ; si l’asticot arrivait au moment où il disait « ton règne », il était sauvé.
N’importe lequel de ces mots pouvait être le dernier. Il devait s’astreindre à ne prononcer que sa phrase. « Que » (ça allait) ; « vienne » (on pouvait le comprendre comme une invitation, un plaisir partagé) ; si l’asticot arrivait au moment où il disait « ton règne », il était sauvé.
4 commentaires:
N’importe quel mot pouvait être le dernier. Il devait s’astreindre à ne dire que sa phrase. « Que » ça allait ; « vienne » on pouvait le comprendre comme une invitation, du plaisir à partager ; si l’asticot arrivait au moment où il disait « ton règne », il était sauvé.
Cualquiera podía ser la última. Tenía que obligarse a decir sólo su frase. “Venga” estaba bien; “a nosotros” podía entenderse como una invitación, el goce por compartir; si el gusano llegaba cuando decía “tu reino” estaba salvado.
N’importe quel mot [ou « lequel de ces mots » / cf ce qui précède] pouvait être le dernier [ou, histoire de changer : « le point final » ? Je te laisse trancher]. Il devait s’astreindre à ne dire [ou « prononcer » ?] que sa phrase. « Que » ça allait [peu clair ainsi articulé ou alors cela nécessite peut-être de la ponctuation ; réfléchis-y] ; « vienne » [idem ; ponctuation, en effet] on pouvait le comprendre comme une invitation, du plaisir à partager [mal dit] ; si l’asticot arrivait au moment où il disait « ton règne », il était sauvé.
N’importe lequel de ces mots pouvait être le dernier. Il devait s’astreindre à ne prononcer que sa phrase. « Que » (ça allait) ; « vienne » (on pouvait le comprendre comme une invitation, un plaisir partagé) ; si l’asticot arrivait au moment où il disait « ton règne », il était sauvé.
N’importe lequel de ces mots pouvait être le dernier. Il devait s’astreindre à ne prononcer que sa phrase. « Que » (ça allait) ; « vienne » (on pouvait le comprendre comme une invitation, un plaisir partagé) ; si l’asticot arrivait au moment où il disait « ton règne », il était sauvé.
OK… c'est bien.
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