mardi 18 décembre 2012

Projet Hélène/Audrey – phrase 65

Le ladraba a cualquier cosa: a los autos, a los otros perros (incluso a los más grandes que él, que eran casi todos), a las bicicletas, a los aviones, a las motos, a los insectos, al río, a Sergio. 

Traduction temporaire :
Il aboyait après tout et n’importe quoi : les voitures, les autres chiens (même les plus grands que lui, autant dire la quasi-totalité),  les vélos, les avions, les motos, les insectes, la rivière, et même après Sergio.

19 commentaires:

Unknown a dit…

Il aboyait après tout et n’importe quoi : les voitures, les autres chiens (même ceux qui étaient plus grands que lui, c’est-à-dire presque tous), les vélos, les avions, les motos, les insectes, la rivière, et même après Sergio.

Hélène a dit…

Il aboyait tout le temps : contre les voitures, les autres chiens (même les plus grands que lui, c’est-à-dire la majorité), contre les vélos, les avions, les motos, les insectes, la rivière et contre Sergio.

Unknown a dit…

Hélène, ma copine, je trouve qu'il y a un décalage entre le début de ta phrase et la suite. Tu énonces du temporel (tout le temps) et après les deux points on aurait attendu quelque chose du type : le matin, le midi, le soir, etc. Non?

Tradabordo a dit…

« Il aboyait après tout et n’importe quoi : » ; OK

« (même les plus grands que lui, c’est-à-dire [ou « autant dire » ?] la majorité [tu t'éloignes de la V.O. au point de changer le sens]) »

« les vélos, les avions, les motos, les insectes, la rivière, et même après Sergio. » ; OK.

Tradabordo a dit…

Audrey,
Ton deuxième commentaire est arrivé dans l'intervalle… Vois ce que tout cela donne.

Unknown a dit…

Il aboyait après tout et n’importe quoi : les voitures, les autres chiens (même les plus grands que lui, c’est-à-dire presque tous), les vélos, les avions, les motos, les insectes, la rivière, et même après Sergio.

Tradabordo a dit…

Il aboyait après tout et n’importe quoi [c'est bien ; juste un doute : si nous avons beaucoup de « tout », etc. dans ce qui précède, il y a aussi la solution « pour un rien » / je vous laisse vérifier et trancher] : les voitures, les autres chiens (même les plus grands que lui, c’est-à-dire presque tous), les vélos, les avions, les motos, les insectes, la rivière, et même après Sergio.

Hélène a dit…

Il aboyait pour un rien : après les voitures, les autres chiens (même les plus grands que lui, autant dire presque tous), les vélos, les avions, les motos, les insectes, la rivière, et même après Sergio.

1) Je n'étais pas convaincue pas "tout et n'importe quoi". Du coup, "pour un rien", je trouve ça pas mal. Que pensez-vous de la préposition "après" en début d'énumération ? D'accord pour le décalage entre ma formule "tout le temps" et la suite.
2)Caroline, j'aimerais comprendre pourquoi je change le sens quand je dis "la majorité". Désolée, mais là j'avoue être un peu limitée... et je tiens à ne commettre les mêmes erreurs...

Tradabordo a dit…

Il aboyait pour un rien : après les voitures, les autres chiens (même les plus grands que lui, autant dire presque tous), les vélos, les avions, les motos, les insectes, la rivière, et même après Sergio.

OK.

Audrey ?

Unknown a dit…

Il aboyait après tout et n’importe quoi : les voitures, les autres chiens (même les plus grands que lui, autant dire presque tous), les vélos, les avions, les motos, les insectes, la rivière, et même après Sergio.

Je chipote sans doute, mais j'ai un peu de mal avec "pour un rien" car je trouve qu'il y a un décalage entre la première partie de la phrase avec la préposition "pour" et la deuxième partie construite avec "après". C'est d'ailleurs pour ça que j'avais proposé "après tout et n'importe quoi" : ça reste cohérent avec la suite.

Tradabordo a dit…

Il aboyait après tout et n’importe quoi : les voitures, les autres chiens (même les plus grands que lui, autant dire presque tous), les vélos, les avions, les motos, les insectes, la rivière, et même après Sergio.

Là, le problème, c'est que tu as dans la même phrase « tout » + « tous »… Alors si tu optes pour la début que tu proposes, il faut que tu trouves une autre solution pour « tous » (pas difficile, d'ailleurs).

Hélène a dit…

Pour remplacer "presque tous", je ne vois pas ce que l'on peut faire... J'avais bien proposé "la majorité", mais le sens n'y est pas.
Audrey, que proposes-tu ?

Tradabordo a dit…

Tu as « totalité », par exemple ;-)

Unknown a dit…

Il aboyait après tout et n’importe quoi : les voitures, les autres chiens (même les plus grands que lui, autant dire la quasi-totalité des individus), les vélos, les avions, les motos, les insectes, la rivière, et même après Sergio.

J'ai rajouté une cheville pas très heureuse, mais j'ai du mal à faire sans cheville. Qu'en pensez-vous?

Tradabordo a dit…

Il aboyait après tout et n’importe quoi : les voitures, les autres chiens (même les plus grands que lui, autant dire la quasi-totalité des individus [inutile et bizarre… Faisons sans]), les vélos, les avions, les motos, les insectes, la rivière, et même après Sergio.

Unknown a dit…

Il aboyait après tout et n’importe quoi : les voitures, les autres chiens (même les plus grands que lui, autant dire la quasi-totalité), les vélos, les avions, les motos, les insectes, la rivière, et même après Sergio.

Unknown a dit…

Il aboyait après tout et n’importe quoi : les voitures, les autres chiens (même les plus grands que lui, autant dire la quasi-totalité), les vélos, les avions, les motos, les insectes, la rivière, et même après Sergio.

Tradabordo a dit…

OK.

Hélène ?

Hélène a dit…

Il aboyait après tout et n’importe quoi : les voitures, les autres chiens (même les plus grands que lui, autant dire la quasi-totalité), les vélos, les avions, les motos, les insectes, la rivière, et même après Sergio.