- Padre. ¿No sería el momento de perdonar a Pedro?
- ¡Jamás! –Bramó.- si por algo me voy satisfecho, es por la vida que le he dado.
Traduction temporaire :
— Père, ne serait-il pas temps de pardonner à Pedro ?
— Jamais ! – mugit-il. Si je dois partir satisfait de quelque chose, c'est de lui avoir donné la vie.
— Père, ne serait-il pas temps de pardonner à Pedro ?
— Jamais ! – mugit-il. Si je dois partir satisfait de quelque chose, c'est de lui avoir donné la vie.
9 commentaires:
- Padre. ¿No sería el momento de perdonar a Pedro?
- ¡Jamás! –Bramó.- si por algo me voy satisfecho, es por la vida que le he dado.
- Mon père, ne serait-il pas le moment de pardonner à Pedro?
- Jamais! -Mugit-il.- Si je dois être satisfait de quelque chose, c'est de la vie que je lui ai donné.
- Mon [pas en V.O. et je crois qu'il ne faut pas non plus le mettre en français] père, ne serait-il pas le moment [un autre mot ici – sinon, c'est du charabia] de pardonner à Pedro[espace !!!!!!!]?
- Jamais[espace !!!!!!!]! -Mugit-il.- Si je dois être satisfait de quelque chose, c'est de la vie que je lui ai donné [mal formulé + grammaire].
Père, ne serait-il pas temps de pardonner à Pedro ?
- Jamais ! -Mugit-il.- Si je dois être satisfait de quelque chose, c'est de la vie que je lui ai offerte.
Père, ne serait-il pas temps de pardonner à Pedro ?
- Jamais ! - mugit-il. Si je dois être [pas anodin, quand même, ce « me voy »] satisfait de quelque chose, c'est de la vie que je lui ai offerte [ce sera plus simple avec « offrir »].
Père, ne serait-il pas temps de pardonner à Pedro ?
- Jamais ! - mugit-il. Si je dois partir satisfait de quelque chose, c'est de la vie que je lui ai offerte.
1) si je mets "offrir" je suis obligé de tourner la fin de phrase au présent, or elle est au passé en V.O.
"c'est de lui offrir la vie".
Père, ne serait-il pas temps de pardonner à Pedro ?
- Jamais ! - mugit-il. Si je dois partir satisfait de quelque chose, c'est de la vie que je lui ai offerte.
Je vous propose :
Père, ne serait-il pas temps de pardonner à Pedro ?
- Jamais ! - mugit-il. Si je dois partir satisfait de quelque chose, c'est de lui avoir donné la vie.
OK ?
Père, ne serait-il pas temps de pardonner à Pedro ?
- Jamais ! - mugit-il. Si je dois partir satisfait de quelque chose, c'est de lui avoir donné la vie.
OK.
Je suis prêt pour la suite :-).
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