Porque el fascismo, que acompaña como atroz comentario todas las tentativas que en el curso de su dramática trayectoria, ha inventado el hombre para convertirse en un ser humano, en un ser espiritualmente racional, ansioso de esa constante que es la civilización y sus medrados frutos: la cultura, el arte, las inquietudes metafísicas que se vacían en la religión o en la sociología, el fascismo, decimos, es una totalidad que abarca al mundo para ahogarlo hasta el último aliento, hasta la postrera palabra.
Traduction temporaire :
Car le fascisme (dont la trajectoire dramatique accompagne, tel un atroce témoignage, toutes les tentatives de l'homme pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, avide de cette constante qu'est la civilisation et ses fruits prospères : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se déversent dans la religion ou la sociologie), le fascisme, nous disions, est une totalité qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à lui faire rendre son dernier souffle, son ultime mot.
Car le fascisme (dont la trajectoire dramatique accompagne, tel un atroce témoignage, toutes les tentatives de l'homme pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, avide de cette constante qu'est la civilisation et ses fruits prospères : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se déversent dans la religion ou la sociologie), le fascisme, nous disions, est une totalité qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à lui faire rendre son dernier souffle, son ultime mot.
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Car le fascisme, au cours de sa trajectoire dramatique, qui accompagne en tant qu'atroce commentaire toutes les tentatives qu'a inventé l'homme pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, soucieux de cette constante qu'est la civilisation et la pousse de ses fruits : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se vident dans la religion ou la sociologie, le fascisme, nous disons, est un tout qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
Car le fascisme, au cours de sa trajectoire dramatique, qui accompagne en tant qu'atroce commentaire toutes les tentatives qu'a inventé l'homme pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, soucieux de cette constante qu'est la civilisation et la pousse de ses fruits : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se vident dans la religion ou la sociologie, le fascisme, nous disons, est un tout qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
Avec du Droguett, tu ne peux pas faire des modifs de syntaxe – a fortiori pour un premier jet (je t'ai dit : c'est ensemble et à l'usage qu'on prend ces décisions)… DONC : reviens à la littéralité.
Car le fascisme, qui accompagne en tant qu'atroce commentaire toutes les tentatives, au cours de sa trajectoire dramatique, qu'a inventé l'homme pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, soucieux de cette constante qu'est la civilisation et la pousse de ses fruits : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se vident dans la religion ou la sociologie, le fascisme, nous disons, est un tout qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
Après relecture, j'apporte une légère modification en préférant un point virgule après "sociologie".
Car le fascisme, qui accompagne en tant qu'atroce commentaire toutes les tentatives, au cours de sa trajectoire dramatique, qu'a inventé l'homme pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, soucieux de cette constante qu'est la civilisation et la pousse de ses fruits : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se vident dans la religion ou la sociologie ; le fascisme, nous disons, est un tout qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
Car le fascisme, qui accompagne en tant qu'atroce commentaire toutes les tentatives [presque du charabia… À reformuler], au cours de sa trajectoire dramatique [OK ; à placer juste après « car », à mon avis ; essaie pour voir ce que ça donne], qu'a [CS avec le « qu' » ???? Vérifie… Relis bien]
Faisons déjà ça.
inventé l'homme pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, soucieux de cette constante qu'est la civilisation et la pousse de ses fruits : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se vident dans la religion ou la sociologie ; le fascisme, nous disons, est un tout qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
Car le fascisme, au cours de sa trajectoire dramatique, qui accompagne en tant qu'atroce témoignage toutes les tentatives que l'homme a réalisé pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, soucieux de cette constante qu'est la civilisation et la pousse de ses fruits : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se vident dans la religion ou la sociologie ; le fascisme, nous disons, est un tout qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
Car le fascisme [après le morceau avec « au cours » // Reprends… car c'est difficile à suivre], au cours de sa trajectoire dramatique, qui accompagne en tant qu'atroce témoignage toutes les tentatives que l'homme a réalisé pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, soucieux de cette constante qu'est la civilisation et la pousse de ses fruits : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se vident dans la religion ou la sociologie ; le fascisme, nous disons, est un tout qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
Car au cours de sa trajectoire dramatique, le fascisme, qui accompagne en tant qu'atroce témoignage toutes les tentatives que l'homme a réalisé pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, soucieux de cette constante qu'est la civilisation et la pousse de ses fruits : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se vident dans la religion ou la sociologie ; le fascisme, nous disons, est un tout qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
Car au cours de sa trajectoire dramatique [ah non, ça ne va pas… Ce morceau va avec l'homme ; erreur depuis le premier jet / cela prouve une fois de plus qu'il ne faut pas changer d'entrée de jeu… Reprends la V.O. pas à pas et remets les choses dans l'ordre], le fascisme, qui accompagne en tant [ou « en guise » ?] qu'atroce témoignage toutes les tentatives que l'homme a réalisé pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, soucieux de cette constante qu'est la civilisation et la pousse de ses fruits : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se vident dans la religion ou la sociologie ; le fascisme, nous disons, est un tout qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
Car le fascisme, qui accompagne en guise d'atroce témoignage toutes les tentatives que l'homme a réalisé, au cours de sa trajectoire dramatique, pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, soucieux de cette constante qu'est la civilisation et la pousse de ses fruits : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se vident dans la religion ou la sociologie ; le fascisme, nous disons, est un tout qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
Car le fascisme, qui accompagne en guise [ou avec « tel » ? Là, il faut être précis… parce que ça parle de choses sérieuses et délicates] d'atroce témoignage toutes les tentatives que l'homme [« de l'homme » tout seul ?] a réalisé [si tu gardes comme ça, tu as une faute de grammaire ici], au cours de sa trajectoire dramatique, pour devenir un être humain [CS ; il faut vraiment que tu laisses de côté l'entre-virgules et que tu vois qui va avec qui],
Reprends ça…
un être à l'esprit rationnel, soucieux de cette constante qu'est la civilisation et la pousse de ses fruits : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se vident dans la religion ou la sociologie ; le fascisme, nous disons, est un tout qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
Car le fascisme, qui accompagne tel un atroce témoignage toutes les tentatives de l'homme qu'il a réalisé, au cours de sa trajectoire dramatique, pour devenir un être humain, [...]
Car le fascisme, qui accompagne tel un atroce témoignage toutes les tentatives de l'homme qu'il a réalisé, au cours de sa trajectoire dramatique, pour devenir un être humain,
Question : de ton point de vue, avec quoi va « car le fascisme » – quel morceau de phrase ?
D'après ce que je comprends, ce qui va avec le fascisme, c'est :
-que acompaña como atroz comentario
-en el curso de su dramática trayectoria
Et ce qui va avec l'homme :
-todas las tentativas
-ha inventado
-para convertirse en un ser humano
L'auteur voudrait dire que l'homme fait tout pour "devenir un être humain" (il explique dans la seconde moitié de cette phrase ce qu'il veut dire : l'homme cherche son identité dans la civilisation et ses fruits), et que le fascisme est l'un de ces fruits, indésiré, et qui a laissé une empreinte dans l'Histoire (d'où cette "dramatique trajectoire").
Quant à la virgule qui suit "trayectoria" et qui me posait problème, je pense que c'est une erreur de frappe (mais elle vient de l'auteur, j'ai été vérifié dans le texte original). Autrement, le texte n'a aucun sens.
Non… ça n'est pas ce que je te demandais : où est la suite de « Parce que le fascisme » – pour ce qui compose l'incise, nous sommes d'accord ?
Si on mets l'incise de côté, dans cette première moitié de texte, "parce que le fascisme" ne va avec rien, parce que l'auteur commence à s'éloigner du sujet, et ne reprend la principale de la phrase qu'à la fin, avec "es una totalidad...".
Si je devais dire avec quoi va "parce que je fascisme", ce serait la fin :
Parce que le fascisme, (égarement) ; le fascisme, nous disons, est un tout...
OK… dans ce cas, dans ton prochain commentaire, tu me mets les deux phrases en parallèle – comme hier, en cours : la phrase cadre d'un côté, l'incise de l'autre.
Car le fascisme, [incise] ; le fascisme, nous disons, est un tout qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
accompagnant tel un atroce témoignage, au cours de sa trajectoire dramatique, toutes les tentatives que l'homme a réalisé pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, soucieux de cette constante qu'est la civilisation et la croissance de ses fruits : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se vident dans la religion ou la sociologie
Colle les deux en mettant l'incise entre parenthèses… Sinon, ce sera définitivement incompréhensible.
Car le fascisme,(accompagnant tel un atroce témoignage, au cours de sa trajectoire dramatique, toutes les tentatives que l'homme a réalisé pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, soucieux de cette constante qu'est la civilisation et la croissance de ses fruits : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se vident dans la religion ou la sociologie) ; le fascisme, nous disons, est un tout qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
Pourquoi une virgule après « fascisme » + pas d'espace… ?
L'aperçu du texte avant de l'envoyer laissait apparaître un léger espace, et je me suis fait avoir. C'est corrigé.
Car le fascisme, (accompagnant tel un atroce témoignage, au cours de sa trajectoire dramatique, toutes les tentatives que l'homme a réalisé pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, soucieux de cette constante qu'est la civilisation et la croissance de ses fruits : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se vident dans la religion ou la sociologie) ; le fascisme, nous disons, est un tout qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
Car le fascisme, [je pense que tu n'as pas besoin de la virgule… avec la parenthèse] (accompagnant [virgule] tel un atroce témoignage, au cours de sa trajectoire dramatique [je me demande ce que ça donnerait en le mettant apr!s « témoignage » ; essaie et dis-moi], toutes les tentatives que l'homme a réalisé [grammaire] pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, soucieux [pas plus fort en V.O. ? Je te laisse trancher] de cette constante qu'est la civilisation et la croissance [quelque chose avec « prospères » ?] de ses fruits : la culture, l'art, les préoccupations [pourquoi tu changes ?] métaphysiques qui se vident [une autre idée ?] dans la religion ou la sociologie) ; [virgule] le fascisme, nous disons [temps], est un tout [pourquoi tu changes ?] qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
Car le fascisme, (accompagnant, au cours de sa trajectoire dramatique, tel un atroce témoignage, toutes les tentatives que l'homme a réalisées pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, anxieux de cette constante qu'est la civilisation et ses fruits prospères : la culture, l'art, les préoccupations [Après recherches, il se trouve qu'il y a bien moins d'occurrences de "inquiétudes métaphysiques" avec moins de 3000 résultats, que de "préoccupations métaphysiques" avec 12 800 résultats] métaphysiques qui se déversent dans la religion ou la sociologie, le fascisme, nous disions, est une totalité qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
La parenthèse n'était pas refermée.
Car le fascisme, (accompagnant, au cours de sa trajectoire dramatique, tel un atroce témoignage, toutes les tentatives que l'homme a réalisées pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, anxieux de cette constante qu'est la civilisation et ses fruits prospères : la culture, l'art, les préoccupations [Après recherches, il se trouve qu'il y a bien moins d'occurrences de "inquiétudes métaphysiques" avec moins de 3000 résultats, que de "préoccupations métaphysiques" avec 12 800 résultats] métaphysiques qui se déversent dans la religion ou la sociologie), le fascisme, nous disions, est une totalité qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
Car le fascisme, [pas de virgule puisqu'il y a la parenthèse] (accompagnant, au cours de sa trajectoire dramatique, [il faut changer… J'ai beau lire et relire, ça ne va pas ; passe par « dont la trajectoire… »] tel un atroce témoignage, toutes les tentatives que l'homme a réalisées pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, anxieux de cette constante qu'est la civilisation et ses fruits prospères : la culture, l'art, les préoccupations [Après recherches, il se trouve qu'il y a bien moins d'occurrences de "inquiétudes métaphysiques" avec moins de 3000 résultats, que de "préoccupations métaphysiques" avec 12 800 résultats] métaphysiques qui se déversent dans la religion ou la sociologie), le fascisme, nous disions, est une totalité qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
Car le fascisme (dont la trajectoire dramatique accompagne, tel un atroce témoignage, toutes les tentatives que l'homme a réalisées pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, anxieux de cette constante qu'est la civilisation et ses fruits prospères : la culture, l'art, les préoccupations [Après recherches, il se trouve qu'il y a bien moins d'occurrences de "inquiétudes métaphysiques" avec moins de 3000 résultats, que de "préoccupations métaphysiques" avec 12 800 résultats] métaphysiques qui se déversent dans la religion ou la sociologie), le fascisme, nous disions, est une totalité qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
Car le fascisme (dont la trajectoire dramatique accompagne, tel un atroce témoignage, toutes les tentatives que l'homme a réalisées [tu ne crois pas qu'on devrait aller directement à « tentatives de l'homme » ?] pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, anxieux [dans ce sens ou dans celui de « avide », etc. ?] de cette constante qu'est la civilisation et ses fruits prospères : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se déversent dans la religion ou la sociologie), le fascisme, nous disions, est une totalité qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à [cheville : « lui faire rendre »] son dernier souffle, jusqu'à son ultime mot.
Car le fascisme (dont la trajectoire dramatique accompagne, tel un atroce témoignage, toutes les tentatives de l'homme pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, avide de cette constante qu'est la civilisation et ses fruits prospères : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se déversent dans la religion ou la sociologie), le fascisme, nous disions, est une totalité qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à lui faire rendre son dernier souffle, son ultime mot.
Car le fascisme (dont la trajectoire dramatique accompagne, tel un atroce témoignage, toutes les tentatives de l'homme pour devenir un être humain, un être à l'esprit rationnel, avide de cette constante qu'est la civilisation et ses fruits prospères : la culture, l'art, les préoccupations métaphysiques qui se déversent dans la religion ou la sociologie), le fascisme, nous disions, est une totalité qui englobe le monde pour l'étouffer jusqu'à lui faire rendre son dernier souffle, son ultime mot.
OK.
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