jeudi 17 janvier 2013

Projet Hélène / Audrey – phrases 107-108

Martín mascaba los restos del matambre y cuando lo vio llegar fue a esconderse debajo de la cama. Sergio enloqueció.

Traduction temporaire :
Martín mâchouillait les restes de la tranche de flanchet et, quand il vit son maître arriver, il fila se cacher sous le lit. Sergio devint fou.

9 commentaires:

Hélène a dit…

Martín mastiquait les restes de la tranche de flanchet et quand il vit son maître arriver, il fonça se cacher sous le lit. Sergio devint fou.

Hélène a dit…

Il saisit une ceinture et le frappa jusqu’à ne plus en pouvoir, après quoi il lui ouvrit la porte et lui donna un coup de pied pour qu’il déguerpisse.

Tradabordo a dit…

Martín mastiquait [cela rend-il assez l'idée de voracité ?] les restes de la tranche de flanchet et [virgule] quand il vit son maître arriver, il fonça se cacher sous le lit. Sergio devint fou.

Unknown a dit…

Martín machouillait les restes de la tranche de flanchet et, quand il vit son maître arriver, il fila se cacher sous le lit. Sergio devint fou.

Tradabordo a dit…

Martín machouillait les restes de la tranche de flanchet et, quand il vit son maître arriver, il fila se cacher sous le lit. Sergio devint fou.

OK.

Hélène ?

Hélène a dit…

Martín machouillait les restes de la tranche de flanchet et, quand il vit son maître arriver, il fila se cacher sous le lit. Sergio devint fou.

Hélène a dit…

Attention, on a oublié un accent circonflexe sur "mâchouillait".
Et en y repensant, je pense que l'idée de voracité serait mieux rendue avec "dévorer", non ?
Si tu préfères Caroline, on fera les corrections au moment de la relecture...

Martín dévorait les restes de la tranche de flanchet et, quand il vit son maître arriver, il fila se cacher sous le lit. Sergio devint fou.

Tradabordo a dit…

OK, je corrige l'accent.
Pour « dévorer », ça me semble bien… J'avais mentionnée l'idée de voracité, mais voyant qu'elle n'était pas reprise et vu qu'il n'y a pas une incidence énorme sur le sens, je n'avais pas insisté ;-)

Comme j'ai enregistré la phrase, je te propose de garder ça en stock pour le moment de la relecture. Nous sommes proches de la fin, donc tu ne risques pas d'oublier.

Hélène a dit…

Oui, d'accord, je garde ça en mémoire.