Cuando tosía, sentía las carreras de la gente que huía y lentamente, sentía el gusto de la pólvora y la sangre en su lengua; sentía el agua, los baldes de agua, los barriles, las orillas húmedas de las acequias,metía las manos en esa agua, su cabeza llena de fiebre; veía el cielo, y los árboles hundidos, sollozaba mirándose las manos, la pólvora que, fluía lenta, suave, acariciadora y nada de amenazante junto a sí, que le corría como transpiración por las sienes. ¡Te odio, estás llena, de muerte!, decía mirando esa pólvora silenciosa y mediocre; eso soy yo, Dios mío, esa pólvora, ese peligro soy yo, una llamarada fatídica, hundida en la oscuridad, en la tranquilidad de estas buenas gentes dormidas.
Traduction temporaire :
Quand il toussait, il entendait la course de la foule qui fuyait et, peu à peu, il avait le goût de la poudre et du sang sur sa langue ; il sentait l'eau, les seaux d'eau, les bidons d'eau, les rives humides des ruisseaux ; il plongeait ses mains dans cette eau, sa tête extrêmement fiévreuse ; il voyait le ciel et les arbres submergés ; il sanglotait en regardant ses mains et la poudre qui filait lentement, douce, caressante et nullement menaçante à ses côtés, qui coulait telle la sueur sur ses tempes. Je te déteste, tu es imprégnée de mort ! disait-il en observant cette poudre silencieuse et médiocre ; voilà ce que je suis, mon Dieu, cette poudre, ce danger, c'est moi, une flamme fatidique, plongée dans l'obscurité, dans la tranquillité de ces braves gens endormies.
Quand il toussait, il entendait la course de la foule qui fuyait et, peu à peu, il avait le goût de la poudre et du sang sur sa langue ; il sentait l'eau, les seaux d'eau, les bidons d'eau, les rives humides des ruisseaux ; il plongeait ses mains dans cette eau, sa tête extrêmement fiévreuse ; il voyait le ciel et les arbres submergés ; il sanglotait en regardant ses mains et la poudre qui filait lentement, douce, caressante et nullement menaçante à ses côtés, qui coulait telle la sueur sur ses tempes. Je te déteste, tu es imprégnée de mort ! disait-il en observant cette poudre silencieuse et médiocre ; voilà ce que je suis, mon Dieu, cette poudre, ce danger, c'est moi, une flamme fatidique, plongée dans l'obscurité, dans la tranquillité de ces braves gens endormies.
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Cuando tosía, sentía las carreras de la gente que huía y lentamente, sentía el gusto de la pólvora y la sangre en su lengua; sentía el agua, los baldes de agua, los barriles, las orillas húmedas de las acequias,metía las manos en esa agua, su cabeza llena de fiebre; veía el cielo, y los árboles hundidos, sollozaba mirándose las manos, la pólvora que, fluía lenta, suave, acariciadora y nada de amenazante junto a sí, que le corría como transpiración por las sienes. ¡Te odio, estás llena, de muerte!, decía mirando esa pólvora silenciosa y mediocre; eso soy yo, Dios mío, esa pólvora, ese peligro soy yo, una llamarada fatídica, hundida en la oscuridad, en la tranquilidad de estas buenas gentes dormidas.
Quand il toussait, il entendait la course de la foule qui fuyait et, peu à peu, il sentait le goût de la poudre et du sang sur sa langue ; il pressentait l'eau, les seaux d'eau, les barriques, les rives humides des ruisseaux, il y plongeait ses mains, sa tête fort fiévreuse ; il voyait le ciel et les arbres submergés ; il sanglotait en regardant ses membres et la poudre qui filait de manière lente, douce, caressante et nullement menaçante à ses côtés, qui coulait telle la sueur sur ses tempes. Je te déteste, tu empestes la mort ! criait-il en observant cette poudre silencieuse et médiocre ; c'est moi ça, mon Dieu, cette poudre, ce danger, c'est moi, une flambée fatidique plongée dans l'obscurité, dans la tranquillité de ces bonnes gens endormies.
Je pense que le sujet de “nada de peligrosa ni amenazadora” (phrase 18) que nous avons longtemps cherché, était en fait la poudre, comme ici, non ?
Cuando tosía, sentía las carreras de la gente que huía y lentamente, sentía el gusto de la pólvora y la sangre en su lengua;
Quand il toussait, il entendait [ou « percevait » ? J'hésite ; tranche, toi] la course de la foule qui fuyait et, peu à peu, il sentait [ou « avait » ?] le goût de la poudre et du sang sur sa langue ;
Quand il toussait, il entendait la course de la foule qui fuyait et, peu à peu, il avait le goût de la poudre et du sang sur sa langue ;
Quand il toussait, il entendait la course de la foule qui fuyait et, peu à peu, il avait le goût de la poudre et du sang sur sa langue ;
Quand il toussait, il entendait la course de la foule qui fuyait et, peu à peu, il avait le goût de la poudre et du sang sur sa langue ;
OK.
Quand il toussait, il entendait la course de la foule qui fuyait et, peu à peu, il avait le goût de la poudre et du sang sur sa langue ;
sentía el agua, los baldes de agua, los barriles, las orillas húmedas de las acequias,metía las manos en esa agua, su cabeza llena de fiebre;
il pressentait [pourquoi pas « sentait » ? Je ne dis pas que tu as tort…, je veux juste que tu m'expliques] l'eau, les seaux d'eau, les barriques [vérifie qu'on dirait bien cela pour l'eau], les rives humides des ruisseaux, [point-virgule] il y [laisse la répétition] plongeait ses mains, sa tête fort [mal dit] fiévreuse ;
il sentait (je ne voulais pas répéter le verbe "sentir" que j'avais utilisé pour "il sentait le goût", mais nous l'avons changé) l'eau, les seaux d'eau, les bidons [on peut dire des barriques d'eau même si souvent elles contiennent du vin ; "réservoirs" est peut-être plus adapté mais dans ce cas, il faudrait répéter "eau"], les rives humides des ruisseaux ; il plongeait ses mains dans cette eau, sa tête extrêmement fiévreuse ;
il sentait l'eau, les seaux d'eau, les bidons d'eau, les rives humides des ruisseaux ; il plongeait ses mains dans cette eau, sa [je me demande pour pour le coup, ce ne serait pas mieux avec « la » ; qu'en penses-tu ?] tête extrêmement fiévreuse ;
Corrige ça et colle avec ce qui est déjà entériné. Qu'on ait toujours l'ensemble – sinon, ce sera pénible de rassembler ensuite des tas de petits bouts éparpillés.
Je m'occuperai de la suite quand j'aurai cette base sous les yeux…
Quand il toussait, il entendait la course de la foule qui fuyait et, peu à peu, il avait le goût de la poudre et du sang sur sa langue ;
il sentait l'eau, les seaux d'eau, les bidons, les rives humides des ruisseaux ; il plongeait ses mains dans cette eau, sa [je me suis posée la question et il me semble qu'il plonge sa tête, ou on pourrait dire "il plongeait la tête" ? ] tête extrêmement fiévreuse ;
Quand il toussait, il entendait la course de la foule qui fuyait et, peu à peu, il avait le goût de la poudre et du sang sur sa langue ; il sentait l'eau, les seaux d'eau, les bidons [j'insiste, tu devrais répéter « eau » ici aussi… Ça crée un rythme + pour le sens : l'accumulation], les rives humides des ruisseaux ; il plongeait ses mains dans cette eau, sa tête extrêmement fiévreuse ;
*** Regarde le petit truc qui reste dans cette section
veía el cielo, y los árboles hundidos, sollozaba mirándose las manos, la pólvora que, fluía lenta, suave, acariciadora y nada de amenazante junto a sí, que le corría como transpiración por las sienes.
il voyait le ciel et les arbres submergés ; il sanglotait en regardant ses membres [pour « manos » ? Il faut répéter] et la poudre qui filait de manière lente [très mal dit « de manière lente »], douce, caressante et nullement menaçante à ses côtés, qui coulait telle la sueur sur ses tempes.
Quand il toussait, il entendait la course de la foule qui fuyait et, peu à peu, il avait le goût de la poudre et du sang sur sa langue ; il sentait l'eau, les seaux d'eau, les bidons d'eau, les rives humides des ruisseaux ; il plongeait ses mains dans cette eau, sa tête extrêmement fiévreuse ;
il voyait le ciel et les arbres submergés ; il sanglotait en regardant ses mains et la poudre qui filait lentement, douce, caressante et nullement menaçante à ses côtés, qui coulait telle la sueur sur ses tempes.
Quand il toussait, il entendait la course de la foule qui fuyait et, peu à peu, il avait le goût de la poudre et du sang sur sa langue ; il sentait l'eau, les seaux d'eau, les bidons d'eau, les rives humides des ruisseaux ; il plongeait ses mains dans cette eau, sa tête extrêmement fiévreuse ; il voyait le ciel et les arbres submergés ; il sanglotait en regardant ses mains et la poudre qui filait lentement, douce, caressante et nullement menaçante à ses côtés, qui coulait telle la sueur sur ses tempes.
OK
¡Te odio, estás llena, de muerte!, decía mirando esa pólvora silenciosa y mediocre; eso soy yo, Dios mío, esa pólvora, ese peligro soy yo, una llamarada fatídica, hundida en la oscuridad, en la tranquilidad de estas buenas gentes dormidas.
Je te déteste, tu empestes [il faut qu'apparaisse le féminin, pour qu'on comprenne bien à quoi/qui il s'adresse] la mort ! criait-il [pas ce qui est dit et surtout, tu changes l'intensité, pour le coup] en observant cette poudre silencieuse et médiocre ; c'est moi ça [ou « voilà ce que je suis » ? Je te laisse trancher], mon Dieu, cette poudre, ce danger, c'est moi, une flambée [pas mieux ?] fatidique [virgule] plongée dans l'obscurité, dans la tranquillité de ces bonnes [ou « braves » ?] gens endormies.
Quand il toussait, il entendait la course de la foule qui fuyait et, peu à peu, il avait le goût de la poudre et du sang sur sa langue ; il sentait l'eau, les seaux d'eau, les bidons d'eau, les rives humides des ruisseaux ; il plongeait ses mains dans cette eau, sa tête extrêmement fiévreuse ; il voyait le ciel et les arbres submergés ; il sanglotait en regardant ses mains et la poudre qui filait lentement, douce, caressante et nullement menaçante à ses côtés, qui coulait telle la sueur sur ses tempes.
Je te déteste, tu es imprégnée de mort ! disait-il en observant cette poudre silencieuse et médiocre ; voilà ce que je suis, mon Dieu, cette poudre, ce danger, c'est moi, une flamme fatidique, plongée dans l'obscurité, dans la tranquillité de ces braves gens endormies.
Quand il toussait, il entendait la course de la foule qui fuyait et, peu à peu, il avait le goût de la poudre et du sang sur sa langue ; il sentait l'eau, les seaux d'eau, les bidons d'eau, les rives humides des ruisseaux ; il plongeait ses mains dans cette eau, sa tête extrêmement fiévreuse ; il voyait le ciel et les arbres submergés ; il sanglotait en regardant ses mains et la poudre qui filait lentement, douce, caressante et nullement menaçante à ses côtés, qui coulait telle la sueur sur ses tempes.
Je te déteste, tu es imprégnée de mort ! disait-il en observant cette poudre silencieuse et médiocre ; voilà ce que je suis, mon Dieu, cette poudre, ce danger, c'est moi, une flamme fatidique, plongée dans l'obscurité, dans la tranquillité de ces braves gens endormis.
OK.
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