Con trabajos me invitaba al cine. Y eso que tiene dinero su papá. Bien podría regalarme algo de la joyería, ¿no?, si es que fuera cierto lo que dice que su papá no le da.
Traduction temporaire :
Il traînaît les pieds pour m'inviter au cinéma. Son père a de l’argent, pourtant. Si c'est vrai, qu'il ne lui en donne pas, il pourrait quand même m'offrir quelque chose de la bijouterie, non ?
Il traînaît les pieds pour m'inviter au cinéma. Son père a de l’argent, pourtant. Si c'est vrai, qu'il ne lui en donne pas, il pourrait quand même m'offrir quelque chose de la bijouterie, non ?
13 commentaires:
C’était à dures peines qu’il m’invitait au cinéma. Y eso que tiene dinero su papá. Son papa a de l’argent, pourtant.Il pourrait bien m’offrir quelque chose de la bijouterie, non ? Si c’est vrai ce qu’il dit, que son papa ne lui donne pas.
C’était à dures peines [????????? Hispanisme !!!!!] qu’il m’invitait au cinéma. Y eso que tiene dinero su papá. Son papa a de l’argent, pourtant.Il pourrait bien m’offrir quelque chose de la bijouterie, non ? Si c’est vrai ce qu’il dit, que son papa ne lui donne pas.
Relis-toi…
Difficilement il m’invitait au cinéma. Son papa a de l’argent, pourtant.Il pourrait bien m’offrir quelque chose de la bijouterie, non ? Si c’est vrai ce qu’il dit, que son papa ne lui en donne pas.
Con trabajos me invitaba al cine. Y eso que tiene dinero su papá. Bien podría regalarme algo de la joyería, ¿no?, si es que fuera cierto lo que dice que su papá no le da.
Difficilement il m’invitait au cinéma [très mal dit]. Son papa [enfantin] a de l’argent, pourtant. Il pourrait bien [mal dit] m’offrir quelque chose de la bijouterie, non ? [cheville pour articuler autrement les deux phrases ; parce que là, on croit que la dernière est autonome avec un conditionnel et donc, on ne comprend pas pourquoi elle se termine comme ça] Si c’est vrai ce qu’il dit, que son papa ne lui en donne pas.
C'est à peine s'il m’invitait au cinéma. Son père a de l’argent, pourtant. Il pourrait m’offrir quelque chose de la bijouterie, non ? ; si c’est vrai ce qu’il dit, que son papa ne lui en donne pas.
C'est à peine [non, avec : « traîner les pieds pour »] s'il m’invitait au cinéma. Son père a de l’argent, pourtant. Il pourrait m’offrir quelque chose de la bijouterie, non ? ; [1) pas de ; après ? + ça, c'est pas une cheville] si c’est vrai ce qu’il dit, que son papa ne lui en donne pas.
Il traînaît les pieds pour m'inviter au cinéma. Son père a de l’argent, pourtant. Si c'est vrai ce qu'il dit, que son papa ne lui en donne pas, il pourrait quand-même m'offir quelque chose de la bijouterie, non ?
Il traînaît les pieds pour m'inviter au cinéma. Son père a de l’argent, pourtant. Si c'est vrai ce qu'il dit, que son papa [déjà commenté et ici, vu que tu as changé la syntaxe, tu peux supprimer / cf ce qu'il y a juste avant] ne lui en donne pas, il pourrait quand-même m'offir quelque chose de la bijouterie, non ?
Il traînaît les pieds pour m'inviter au cinéma. Son père a de l’argent, pourtant. Si c'est vrai ce qu'il dit, qu'il ne lui en donne pas, il pourrait quand-même m'offir quelque chose de la bijouterie, non ?
Il traînaît les pieds pour m'inviter au cinéma. Son père a de l’argent, pourtant. Si c'est vrai ce qu'il dit, qu'il ne lui en donne pas, il pourrait quand-même m'offrir quelque chose de la bijouterie, non ?
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Désolée, coquille.
Il traînaît les pieds pour m'inviter au cinéma. Son père a de l’argent, pourtant. Si c'est vrai ce qu'il dit [pas besoin de ce petit bout], qu'il ne lui en donne pas, il pourrait quand-même [pourquoi un tiret ?] m'offrir quelque chose de la bijouterie, non ?
Il traînaît les pieds pour m'inviter au cinéma. Son père a de l’argent, pourtant. Si c'est vrai, qu'il ne lui en donne pas, il pourrait quand même m'offrir quelque chose de la bijouterie, non ?
Il traînaît les pieds pour m'inviter au cinéma. Son père a de l’argent, pourtant. Si c'est vrai, qu'il ne lui en donne pas, il pourrait quand même m'offrir quelque chose de la bijouterie, non ?
OK.
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