
Samedi matin grâce à une organisation exceptionnelle nous sommes à l’heure pour la rencontre avec les jeunes traducteurs. Cecile Deniard nous donne des conseils pratiques et nous éclaire sur le statut légal du traducteur. Le site de l’ATLF est évoqué, tous les trucs et astuces sont en ligne bien rangés dans une rubrique intitulée « des armes contre les larmes ».
Croissants et café avalés nous nous dirigeons vers les ateliers de traduction. La petite salle de classe est comble. Nous nous installons tant bien que mal. Exceptionnellement les auteurs sont présents et nous parlerons de leurs œuvres. La traduction d’un poème d’Alan Mills, jeune auteur guatémaltèque, suscitera quelques réactions dans le groupe. Après deux heures de palabres entre traducteurs aux avis divergents nous nous séparons le temps d’un déjeuner. Jacqueline ne restera pas jusqu’à la fin des assises et nous souhaite de bien en profiter. Caroline et moi décidons d’assister à la rencontre avec les écrivains portugais et leurs traducteurs. Moins nombreux que le matin nous passons un moment divertissant… Plus tard nous décidons d’aller à la soirée inaugurale des belles étrangères. Nous y croisons les anglicistes que nous avions aperçus le matin. Nous laissons là traducteurs, auteurs et éditeurs et partons à la recherche de la pizzeria de la veille. Et miracle nous la retrouvons ! Non sans avoir demandé notre chemin à des arlésiens au sens de l’orientation improbable. La serveuse nous reconnaît. Elle est aussi enthousiaste que la veille. Le repas touchant à sa fin Caroline commande sa fameuse pizza. L’enthousiasme de la serveuse dégringole. Chose promise chose due. Nous goûtons enfin le dessert tant attendu. Et retour à l’hôtel… que nous retrouvons malgré notre sens de l’orientation presque aussi improbable que celui des arlésiens.
Dimanche matin, notre organisation toujours aussi impeccable nous permet d’arriver à l’espace Van Gogh à l’heure des croissants littéraires… Puis nous assistons dans un amphithéâtre à une table ronde dont le thème est « qu’est-ce que la critique d’une traduction ? ». Les débats sont bien menés. Deux heures passent sans que l’on ne s’en aperçoivent. Sont évoquées les critiques de traductions par les critiques littéraires, la critique de son œuvre par le traducteur lui-même, l’absence de réflexion sur la critique en France. On expose une théorie de lecture objective d’une traduction, la fonction du traducteur dans la culture. Il est temps pour nous de quitter l’espace Van Gogh. Nous n’assisterons pas à la dernière table ronde. Nous partons déjeuner en compagnie d’autres participants (dont une angliciste) au restaurant/ cinéma / librairie/ hammam/ salon de thé. Encore un moment agréable que nous partageons. Puis nous devons faire nos adieux à Arles. Nous longeons le Rhône une nouvelles fois, passons la fête foraine et arrivons à la gare… Certainement reviendrons nous pour la vingt-sixième édition des assises de la traduction littéraire en Arles.
Croissants et café avalés nous nous dirigeons vers les ateliers de traduction. La petite salle de classe est comble. Nous nous installons tant bien que mal. Exceptionnellement les auteurs sont présents et nous parlerons de leurs œuvres. La traduction d’un poème d’Alan Mills, jeune auteur guatémaltèque, suscitera quelques réactions dans le groupe. Après deux heures de palabres entre traducteurs aux avis divergents nous nous séparons le temps d’un déjeuner. Jacqueline ne restera pas jusqu’à la fin des assises et nous souhaite de bien en profiter. Caroline et moi décidons d’assister à la rencontre avec les écrivains portugais et leurs traducteurs. Moins nombreux que le matin nous passons un moment divertissant… Plus tard nous décidons d’aller à la soirée inaugurale des belles étrangères. Nous y croisons les anglicistes que nous avions aperçus le matin. Nous laissons là traducteurs, auteurs et éditeurs et partons à la recherche de la pizzeria de la veille. Et miracle nous la retrouvons ! Non sans avoir demandé notre chemin à des arlésiens au sens de l’orientation improbable. La serveuse nous reconnaît. Elle est aussi enthousiaste que la veille. Le repas touchant à sa fin Caroline commande sa fameuse pizza. L’enthousiasme de la serveuse dégringole. Chose promise chose due. Nous goûtons enfin le dessert tant attendu. Et retour à l’hôtel… que nous retrouvons malgré notre sens de l’orientation presque aussi improbable que celui des arlésiens.
Dimanche matin, notre organisation toujours aussi impeccable nous permet d’arriver à l’espace Van Gogh à l’heure des croissants littéraires… Puis nous assistons dans un amphithéâtre à une table ronde dont le thème est « qu’est-ce que la critique d’une traduction ? ». Les débats sont bien menés. Deux heures passent sans que l’on ne s’en aperçoivent. Sont évoquées les critiques de traductions par les critiques littéraires, la critique de son œuvre par le traducteur lui-même, l’absence de réflexion sur la critique en France. On expose une théorie de lecture objective d’une traduction, la fonction du traducteur dans la culture. Il est temps pour nous de quitter l’espace Van Gogh. Nous n’assisterons pas à la dernière table ronde. Nous partons déjeuner en compagnie d’autres participants (dont une angliciste) au restaurant/ cinéma / librairie/ hammam/ salon de thé. Encore un moment agréable que nous partageons. Puis nous devons faire nos adieux à Arles. Nous longeons le Rhône une nouvelles fois, passons la fête foraine et arrivons à la gare… Certainement reviendrons nous pour la vingt-sixième édition des assises de la traduction littéraire en Arles.
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