Outre la reconduction de notre pique-nique manqué (sera-t-il enfin possible de goûter à la célèbrissime spécialité montoise ?), à cause d'une intempestive grève des tramways et des bus, nous travaillerons sur le texte d'Andrés Trapiello, Los Amigos del Crimen Perfecto, du devoir de vacances n°3, « Se trataba de un piso destarlatado y decrépito… », et nous finirons « Vidas de perros » de García Márquez. Au cas où il nous resterait quelques minutes, peut-être cisèlerons-nous quelques lignes alambiquées de notre « Reja » préférée…
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