Laëtitia, semble-t-il elle aussi poursuivie jusque chez elle par nos débats lexicaux ou par les fantômes de l'art du "gesticuloir", a fait des recherches très poussées pour nous permettre d'avancer dans notre traduction de "La reja". Résultats : elle m'a envoyé une série de cartes postales, de celles que « La fillette, au piano… » distribue à ses admirateurs imaginaires. J'en ai sélectionné une sur les six ou sept trouvées et, avant de la publier sur le blog, je l'ai (je l'avoue), amputée des commentaires illustratifs d'une apprentie traductrice pleine d'esprit ; ils étaient en effet très amusants, mais auraient donné une image un peu spéciale de nos activités collectives de traduction… assez proche de la vérité certes, mais, comme on le sait, toute vérité n'est pas bonne à dire.
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