Sur 44 votants, nous obtenons les réponses suivantes :
Le traducteur = 27 voix (61%)
Le traductologue = 17 voix (38%)
Je m'empresse de communiquer ce résultat à la grande spécialiste de l'histoire de la traduction et de la traductologie bordelaise, Dominique Breton. Elle sera ravie, n'en doutons pas ! Non, non, ne croyez pas que je tire victoire de ces résultats… car je suis moi-même de plus en plus dubitative vis-à-vis de ces délicates questions. Certes, on peut partir de l'idée confortable que ce sont ceux qui pratiquent concrètement et quoitidiennement la traduction qui peuvent le mieux la décrire et qui ont la véritable légitimité pour le faire… D'autant que nombre de traductologues ne traduisent pas. Et en même temps, je me rends compte que les traducteurs ont une approche le plus souvent pragmatique et surtout intuitive de leur métier et, sans doute à cause de cela, bien du mal à en parler autrement qu'avec des anecdotes et avec force métaphores… assez peu propices à une compréhension réelle pour le monde extérieur. L'argument "ça ne s'explique pas, ça se sent" est un peu court, non ? Peut-être la solution est-elle la suivante : que le traducteur sorte de sa tour d'ivoire de temps en temps pour se faire un peu traductologue…
À ce propos, tiens, chers apprentis traducteurs, nous en sommes à présent à près d'un mois depuis la rentrée et le moment est venu d'amorcer cette fameuse démarche réflexive évoquée à maintes reprises. Nous avons vaguement discuté de cela lors de la dernière séance d'atelier collectif, mais il serait bon de formaliser davantage. Pour ce faire, vous répondrez chacun à la question suivante :
En quoi, ce début de formation a changé ou, le cas échéant, n'a pas changé votre regard sur la traduction ? (une manière de vous demander où vous en êtes)
Le traducteur = 27 voix (61%)
Le traductologue = 17 voix (38%)
Je m'empresse de communiquer ce résultat à la grande spécialiste de l'histoire de la traduction et de la traductologie bordelaise, Dominique Breton. Elle sera ravie, n'en doutons pas ! Non, non, ne croyez pas que je tire victoire de ces résultats… car je suis moi-même de plus en plus dubitative vis-à-vis de ces délicates questions. Certes, on peut partir de l'idée confortable que ce sont ceux qui pratiquent concrètement et quoitidiennement la traduction qui peuvent le mieux la décrire et qui ont la véritable légitimité pour le faire… D'autant que nombre de traductologues ne traduisent pas. Et en même temps, je me rends compte que les traducteurs ont une approche le plus souvent pragmatique et surtout intuitive de leur métier et, sans doute à cause de cela, bien du mal à en parler autrement qu'avec des anecdotes et avec force métaphores… assez peu propices à une compréhension réelle pour le monde extérieur. L'argument "ça ne s'explique pas, ça se sent" est un peu court, non ? Peut-être la solution est-elle la suivante : que le traducteur sorte de sa tour d'ivoire de temps en temps pour se faire un peu traductologue…
À ce propos, tiens, chers apprentis traducteurs, nous en sommes à présent à près d'un mois depuis la rentrée et le moment est venu d'amorcer cette fameuse démarche réflexive évoquée à maintes reprises. Nous avons vaguement discuté de cela lors de la dernière séance d'atelier collectif, mais il serait bon de formaliser davantage. Pour ce faire, vous répondrez chacun à la question suivante :
En quoi, ce début de formation a changé ou, le cas échéant, n'a pas changé votre regard sur la traduction ? (une manière de vous demander où vous en êtes)
1 commentaire:
Il faut répondre par écrit et m'envoyer cela par mail.
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