dimanche 2 décembre 2012

Les Lituma – phrase 282

Extraña paradoja la del coronel y la del mundano, esos eran los dos personajes peruanos rescatados del olvido literario por Loayza: sus existencias se restringen a un puñado de palabras, pero sin gente como ellos las ficciones que los acogen perderían capacidad de persuasión, no serian más que un amasijo de frases inverosímiles.

Traduction temporaire :
Étrange paradoxe que celui du colonel et du mondain, les deux personnages péruviens tirés de l'oubli littéraire par Loayza. Leurs existences ont beau être restreintes à une poignée de mots, sans figures comme ça, les fictions dans lesquelles elles évoluent perdraient en capacité de persuasion, se résumerait à un ramassis de phrases invraisemblables.

9 commentaires:

Sonita a dit…

Voilà un bien étrange paradoxe entre le Coronel et le mondain, c’étaient eux les deux personnages qui avaient été sauvés de l’oubli par Loayza : leurs expériences se limitent à une poignée de mots. Néanmoins, sans des gens comme eux, les romans perdraient leur capacité de persuasion, ils ne seraient plus qu’un ramassis de phrases invraisemblables.

Tradabordo a dit…

Voilà un bien [supprime tout ça] étrange paradoxe entre [CS ou mal formulé] le Coronel et le mondain, c’étaient eux [pas besoin de « c'étaient eux »] les deux personnages [omission] qui avaient été sauvés [« tirés » ?] de l’oubli par Loayza :
Reprends ça et relis bien la suite…

leurs expériences se limitent à une poignée de mots. Néanmoins, sans des gens comme eux, les romans perdraient leur capacité de persuasion, ils ne seraient plus qu’un ramassis de phrases invraisemblables.

Sonita a dit…

Étrange paradoxe que celui du coronel et du mondain, les deux personnages péruviens qui avaient été tirés de l’oubli par Loayza :
leurs expériences se limitent à une poignée de mots. Néanmoins, sans des gens comme eux, les romans qui les abritent perdraient leur capacité de persuasion, ils ne seraient plus qu’un ramassis de phrases invraisemblables.

Elodie a dit…

Étrange paradoxe que celui du colonel et du mondain, les deux personnages péruviens qui avaient été tirés de l’oubli littéraire par Loayza : leurs existences se limitent à une poignée de mots, néanmoins, sans des personnes comme celles-ci, les fictions perdraient de leur capacité de persuasion, elles ne seraient plus qu'un ramassis de phrases invraisemblables.

Justine a dit…

Étrange paradoxe que celui du colonel et du mondain, les deux personnages péruviens tirés de l'oubli littéraire par Loayza : leurs existences se restreignent à une poignée de mots. Toutefois, sans gens comme eux, les fictions qui les accueillent perdraient en capacité de persuasion, ne seraient rien d'autre qu'un ramassis de phrases invraisemblables.

Tradabordo a dit…

Je vous propose – évidemment à la lecture de vos trois propositions :

Étrange paradoxe que celui du colonel et du mondain, les deux personnages péruviens tirés de l'oubli littéraire par Loayza. Leurs existences ont beau être restreintes à une poignée de mots, sans figures comme ça, les fictions dans lesquelles elles évoluent perdraient en capacité de persuasion, se résumerait à un ramassis de phrases invraisemblables.

OK ?

Sonita a dit…

Étrange paradoxe que celui du colonel et du mondain, les deux personnages péruviens tirés de l'oubli littéraire par Loayza. Leurs existences ont beau être restreintes à une poignée de mots, sans figures comme ça, les fictions dans lesquelles elles évoluent perdraient en capacité de persuasion, se résumerait à un ramassis de phrases invraisemblables.

OK.

Tradabordo a dit…

Validation d'une autre Lituma, svp.

Elodie a dit…

Étrange paradoxe que celui du colonel et du mondain, les deux personnages péruviens tirés de l'oubli littéraire par Loayza. Leurs existences ont beau être restreintes à une poignée de mots, sans figures comme ça, les fictions dans lesquelles elles évoluent perdraient en capacité de persuasion, se résumerait à un ramassis de phrases invraisemblables.


OK.