Extraña paradoja la del coronel y la del mundano, esos eran los dos personajes peruanos rescatados del olvido literario por Loayza: sus existencias se restringen a un puñado de palabras, pero sin gente como ellos las ficciones que los acogen perderían capacidad de persuasión, no serian más que un amasijo de frases inverosímiles.
Traduction temporaire :
Étrange paradoxe que celui du colonel et du mondain, les deux personnages péruviens tirés de l'oubli littéraire par Loayza. Leurs existences ont beau être restreintes à une poignée de mots, sans figures comme ça, les fictions dans lesquelles elles évoluent perdraient en capacité de persuasion, se résumerait à un ramassis de phrases invraisemblables.
Étrange paradoxe que celui du colonel et du mondain, les deux personnages péruviens tirés de l'oubli littéraire par Loayza. Leurs existences ont beau être restreintes à une poignée de mots, sans figures comme ça, les fictions dans lesquelles elles évoluent perdraient en capacité de persuasion, se résumerait à un ramassis de phrases invraisemblables.
9 commentaires:
Voilà un bien étrange paradoxe entre le Coronel et le mondain, c’étaient eux les deux personnages qui avaient été sauvés de l’oubli par Loayza : leurs expériences se limitent à une poignée de mots. Néanmoins, sans des gens comme eux, les romans perdraient leur capacité de persuasion, ils ne seraient plus qu’un ramassis de phrases invraisemblables.
Voilà un bien [supprime tout ça] étrange paradoxe entre [CS ou mal formulé] le Coronel et le mondain, c’étaient eux [pas besoin de « c'étaient eux »] les deux personnages [omission] qui avaient été sauvés [« tirés » ?] de l’oubli par Loayza :
Reprends ça et relis bien la suite…
leurs expériences se limitent à une poignée de mots. Néanmoins, sans des gens comme eux, les romans perdraient leur capacité de persuasion, ils ne seraient plus qu’un ramassis de phrases invraisemblables.
Étrange paradoxe que celui du coronel et du mondain, les deux personnages péruviens qui avaient été tirés de l’oubli par Loayza :
leurs expériences se limitent à une poignée de mots. Néanmoins, sans des gens comme eux, les romans qui les abritent perdraient leur capacité de persuasion, ils ne seraient plus qu’un ramassis de phrases invraisemblables.
Étrange paradoxe que celui du colonel et du mondain, les deux personnages péruviens qui avaient été tirés de l’oubli littéraire par Loayza : leurs existences se limitent à une poignée de mots, néanmoins, sans des personnes comme celles-ci, les fictions perdraient de leur capacité de persuasion, elles ne seraient plus qu'un ramassis de phrases invraisemblables.
Étrange paradoxe que celui du colonel et du mondain, les deux personnages péruviens tirés de l'oubli littéraire par Loayza : leurs existences se restreignent à une poignée de mots. Toutefois, sans gens comme eux, les fictions qui les accueillent perdraient en capacité de persuasion, ne seraient rien d'autre qu'un ramassis de phrases invraisemblables.
Je vous propose – évidemment à la lecture de vos trois propositions :
Étrange paradoxe que celui du colonel et du mondain, les deux personnages péruviens tirés de l'oubli littéraire par Loayza. Leurs existences ont beau être restreintes à une poignée de mots, sans figures comme ça, les fictions dans lesquelles elles évoluent perdraient en capacité de persuasion, se résumerait à un ramassis de phrases invraisemblables.
OK ?
Étrange paradoxe que celui du colonel et du mondain, les deux personnages péruviens tirés de l'oubli littéraire par Loayza. Leurs existences ont beau être restreintes à une poignée de mots, sans figures comme ça, les fictions dans lesquelles elles évoluent perdraient en capacité de persuasion, se résumerait à un ramassis de phrases invraisemblables.
OK.
Validation d'une autre Lituma, svp.
Étrange paradoxe que celui du colonel et du mondain, les deux personnages péruviens tirés de l'oubli littéraire par Loayza. Leurs existences ont beau être restreintes à une poignée de mots, sans figures comme ça, les fictions dans lesquelles elles évoluent perdraient en capacité de persuasion, se résumerait à un ramassis de phrases invraisemblables.
OK.
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