Pero no. Estaba lejos de sentir la plenitud que alguna vez había comparado con el Nirvana: los primeros acordes de “Extraños en la noche”, el final de “Los santos inocentes”, gritar un gol de San Lorenzo sobre la hora.
Traduction temporaire :
Or non. Il était loin d’éprouver la plénitude qu’il avait un jour comparée au Nirvana : les premiers accords de « Strangers in the night », la fin de « Los santos inocentes », hurler de joie après un but marqué à la dernière minute par l’équipe de San Lorenzo.
Or non. Il était loin d’éprouver la plénitude qu’il avait un jour comparée au Nirvana : les premiers accords de « Strangers in the night », la fin de « Los santos inocentes », hurler de joie après un but marqué à la dernière minute par l’équipe de San Lorenzo.
10 commentaires:
Mais non. Il était loin de ressentir la plénitude qu’il avait un jour comparée au Nirvana : les premiers accords de « Strangers in the night », la fin de « Los santos inocentes », acclamer un but marqué par l’équipe de San Lorenzo à la dernière minute.
Mais [« Or » ?] non. Il était loin de ressentir [ou « éprouver » ? Je te laisse trancher] la plénitude qu’il avait un jour comparée au Nirvana : les premiers accords de « Strangers in the night », la fin de « Los santos inocentes », acclamer [mal dit] un but marqué par l’équipe de San Lorenzo à la dernière minute [avance-le].
Or non. Il était loin d’éprouver la plénitude qu’il avait un jour comparée au Nirvana : les premiers accords de « Strangers in the night », la fin de « Los santos inocentes », célébrer un but marqué à la dernière minute par l’équipe de San Lorenzo.
Or non. Il était loin d’éprouver la plénitude qu’il avait un jour comparée au Nirvana : les premiers accords de « Strangers in the night », la fin de « Los santos inocentes », célébrer [FS ou pas très adapté] un but marqué à la dernière minute par l’équipe de San Lorenzo.
Or non. Il était loin d’éprouver la plénitude qu’il avait un jour comparée au Nirvana : les premiers accords de « Strangers in the night », la fin de « Los santos inocentes », fêter un but marqué à la dernière minute par l’équipe de San Lorenzo.
Or non. Il était loin d’éprouver la plénitude qu’il avait un jour comparée au Nirvana : les premiers accords de « Strangers in the night », la fin de « Los santos inocentes », fêter [ou « se réjouir » ? Je te laisse trancher] un but marqué à la dernière minute par l’équipe de San Lorenzo.
Or non. Il était loin d’éprouver la plénitude qu’il avait un jour comparée au Nirvana : les premiers accords de « Strangers in the night », la fin de « Los santos inocentes », fêter un but marqué à la dernière minute par l’équipe de San Lorenzo.
Or non. Il était loin d’éprouver la plénitude qu’il avait un jour comparée au Nirvana : les premiers accords de « Strangers in the night », la fin de « Los santos inocentes », fêter [au fait, est-ce qu'il ne faudrait pas revenir à la V.O. : « hurler de joie après » ou quelque chose comme ça ?] un but marqué à la dernière minute par l’équipe de San Lorenzo.
Or non. Il était loin d’éprouver la plénitude qu’il avait un jour comparée au Nirvana : les premiers accords de « Strangers in the night », la fin de « Los santos inocentes », hurler de joie après un but marqué à la dernière minute par l’équipe de San Lorenzo.
Or non. Il était loin d’éprouver la plénitude qu’il avait un jour comparée au Nirvana : les premiers accords de « Strangers in the night », la fin de « Los santos inocentes », hurler de joie après un but marqué à la dernière minute par l’équipe de San Lorenzo.
OK.
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