Tenía que repetir “Venga a nosotros tu reino” las veces que fuera necesario. No iba a dejar que el gusano lo tomara por sorpresa. Si podía mantener ese pensamiento hasta el momento preciso, era capaz de afrontar el Purgatorio, el Bardo o lo que viniera después de la muerte.
Traduction temporaire :
Il devait s'en tenir à répéter : « Que ton règne vienne », autant de fois que nécessaire. Il n’allait pas laisser ce fichu asticot le prendre par surprise. S’il pouvait garder cette phrase à l'esprit jusqu’à ce moment précis, il était capable d’affronter le Purgatoire, le Bardo ou ce qui viendrait après la mort.
Il devait s'en tenir à répéter : « Que ton règne vienne », autant de fois que nécessaire. Il n’allait pas laisser ce fichu asticot le prendre par surprise. S’il pouvait garder cette phrase à l'esprit jusqu’à ce moment précis, il était capable d’affronter le Purgatoire, le Bardo ou ce qui viendrait après la mort.
8 commentaires:
Il devait répéter : « Que ton règne vienne » autant de fois que nécessaire. Il n’allait pas laisser l’asticot le prendre par surprise. S’il pouvait maintenir cette pensée jusqu’au moment précis, il était capable d’affronter le Purgatoire, le Bardo ou ce qui viendrait après la mort.
Il devait [cheville : « s'en tenir à » ?] répéter : « Que ton règne vienne » [virgule ?] autant de fois que nécessaire. Il n’allait pas laisser l’ [cheville : « ce fichu » ?] asticot le prendre par surprise. S’il pouvait maintenir [mal dit] cette pensée jusqu’au [?] moment précis, il était capable d’affronter le Purgatoire, le Bardo [?] ou ce qui viendrait après la mort.
Il devait s'en tenir à répéter : « Que ton règne vienne », autant de fois que nécessaire. Il n’allait pas laisser ce fichu asticot le prendre par surprise. S’il pouvait garder cette pensée jusqu’à ce moment précis, il était capable d’affronter le Purgatoire, le Bardo ou ce qui viendrait après la mort.
D’après ce que j’ai réussi à comprendre, le bardo est un état intermédiaire entre la mort et le moment de la réincarnation pour les bouddhistes.
Il devait s'en tenir à répéter : « Que ton règne vienne », autant de fois que nécessaire. Il n’allait pas laisser ce fichu asticot le prendre par surprise. S’il pouvait garder [« à l'esprit »] cette pensée [quoi… qu'il ne veut pas se laisser avoir pat l'asticot ?] jusqu’à ce moment précis, il était capable d’affronter le Purgatoire, le Bardo ou ce qui viendrait après la mort.
Il devait s'en tenir à répéter : « Que ton règne vienne », autant de fois que nécessaire. Il n’allait pas laisser ce fichu asticot le prendre par surprise. S’il pouvait garder cette phrase à l'esprit jusqu’à ce moment précis, il était capable d’affronter le Purgatoire, le Bardo ou ce qui viendrait après la mort.
Il devait s'en tenir à répéter : « Que ton règne vienne », autant de fois que nécessaire. Il n’allait pas laisser ce fichu asticot le prendre par surprise. S’il pouvait garder cette phrase [« consigne » ou quelque chose comme ça ?] à l'esprit jusqu’à ce moment précis, il était capable d’affronter le Purgatoire, le Bardo ou ce qui viendrait après la mort.
Il devait s'en tenir à répéter : « Que ton règne vienne », autant de fois que nécessaire. Il n’allait pas laisser ce fichu asticot le prendre par surprise. S’il pouvait garder cette phrase à l'esprit jusqu’à ce moment précis, il était capable d’affronter le Purgatoire, le Bardo ou ce qui viendrait après la mort.
Je pense que « mantener ese pensamiento » se rapporte à « Venga a nosotros tu reino », du coup, « consigne » ne me parait pas approprié. Faut-il expliciter en passant par quelque chose comme « garder cette prière à l’esprit » ?
Il devait s'en tenir à répéter : « Que ton règne vienne », autant de fois que nécessaire. Il n’allait pas laisser ce fichu asticot le prendre par surprise. S’il pouvait garder cette phrase à l'esprit jusqu’à ce moment précis, il était capable d’affronter le Purgatoire, le Bardo ou ce qui viendrait après la mort.
OK.
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