De repente pensaba que a lo mejor ese tren, ese tren internacional, o que él creía internacional, no iba más allá de la frontera, pues aunque tenía la impresión, o más bien estaba seguro de que desde que subió al vagón turista, de clase turista en realidad casi lo único que había hecho era dormitar, y en largos trazos de viaje, en realidad dormido, a pesar de eso, y estaba seguro de ello, cuando el tren se detenía en alguna estación, cuyo silencio y cuya amplitud le llegaba nítidamente mezclado con las conversaciones, las risas, las dudas, las preguntas manifestadas entre sí, o a viajeros ya instalados, estaba seguro de que en cada parada del tren muy poca gente había subido a él.
Traduction temporaire :
Soudain, il pensait que ce train, ce train international, ou qu'il croyait international, n’allait peut-être pas au-delà de la frontière, car bien qu’il eût l’impression – ou plutôt qu’il fût certain – que depuis qu’il était monté dans ce wagon de seconde classe, il avait somnolé presque tout le temps, et que durant de longues parties du voyage, il avait carrément dormi, malgré cela – et il en était certain – quand le train s’arrêtait dans une gare, dont le silence et les dimensions lui parvenaient, nettement mêlés aux conversations, aux rires, aux doutes, aux questions qu’ils se posaient ou qu’ils posaient à des voyageurs déjà installés, il était certain qu’à chaque arrêt du train, très peu de gens étaient montés à bord.
Soudain, il pensait que ce train, ce train international, ou qu'il croyait international, n’allait peut-être pas au-delà de la frontière, car bien qu’il eût l’impression – ou plutôt qu’il fût certain – que depuis qu’il était monté dans ce wagon de seconde classe, il avait somnolé presque tout le temps, et que durant de longues parties du voyage, il avait carrément dormi, malgré cela – et il en était certain – quand le train s’arrêtait dans une gare, dont le silence et les dimensions lui parvenaient, nettement mêlés aux conversations, aux rires, aux doutes, aux questions qu’ils se posaient ou qu’ils posaient à des voyageurs déjà installés, il était certain qu’à chaque arrêt du train, très peu de gens étaient montés à bord.
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Soudain il pensait que ce train, ce train international, ou que lui croyait international, n’allait peut-être pas au-delà de la frontière, car bien qu’il eût l’impression – ou plutôt qu’il fût certain – que depuis qu’il était monté dans le wagon touriste, de classe touriste, en réalité il n’avait presque fait que somnoler, et durant de longues parties du voyage, il était en fait endormi ; malgré cela – et il en était certain – quand le train s’arrêtait dans une gare dont le silence et la grandeur lui parvenaient clairement mêlés avec les conversations, les rires, les doutes, les questions qu’ils se posaient entre eux, ou à des voyageurs déjà installés, il était certain qu’à chaque arrêt du train, très peu de gens étaient montés à bord.
Soudain [virgule !!!!!!!] il pensait que ce train, ce train international, ou que lui croyait international, n’allait peut-être pas au-delà de la frontière, car bien qu’il eût l’impression – ou plutôt qu’il fût certain – que depuis qu’il était monté dans le wagon touriste [?], de classe touriste [?], en réalité il n’avait presque fait [pas très naturel + une solution sans « faire »] que somnoler, et durant de longues parties du voyage, il était en fait endormi ; malgré cela – et il en était certain – quand le train s’arrêtait dans une gare [virgule] dont le silence et la grandeur [mal dit] lui parvenaient clairement [ou « nettement »] mêlés avec [« aux » ?] les conversations, les rires, les doutes, les questions qu’ils se posaient entre eux, [supprime] ou à des voyageurs déjà installés, il était certain qu’à chaque arrêt du train, très peu de gens étaient montés à bord.
Reprends ça… et globalement, essaie de mettre de la clarté ; c'est difficile à suivre.
Soudain, il pensait que ce train, ce train international, ou que lui croyait international, n’allait peut-être pas au-delà de la frontière, car bien qu’il eût l’impression – ou plutôt qu’il fût certain – que depuis qu’il était monté dans le wagon de seconde classe, en réalité il avait somnolé presque tout le temps, et durant de longues parties du voyage, il avait en fait dormi ; malgré cela – et il en était certain – quand le train s’arrêtait dans une gare, dont le silence et les dimensions lui parvenaient nettement mêlés aux conversations, aux rires, aux doutes, aux questions qu’ils se posaient ou qu’ils posaient à des voyageurs déjà installés, il était certain qu’à chaque arrêt du train, très peu de gens étaient montés à bord.
Soudain, il pensait que ce train, ce train international, ou que lui [ou simplement « qu'il » ?] croyait international, n’allait peut-être pas au-delà de la frontière, car bien qu’il [cheville « en » ? Relis mais ça me semble bancal sans…] eût l’impression – ou plutôt qu’il fût certain – que depuis qu’il était monté dans le [ou « ce » ? J'hésite…] wagon de seconde classe, en réalité il avait somnolé presque tout le temps, et [cheville « même » ?] durant de longues parties du voyage, il avait en fait [ou « carrément » ?] dormi ; malgré cela – et il en était certain – quand le train s’arrêtait dans une gare, dont le silence et les dimensions lui parvenaient nettement [ponctuation] mêlés aux conversations, aux rires, aux doutes, aux questions qu’ils se posaient ou qu’ils posaient à des voyageurs déjà installés, il était certain [répétitio,n volontaire ?] qu’à chaque arrêt du train, très peu de gens étaient montés à bord.
Soudain, il pensait que ce train, ce train international, ou qu'il croyait international, n’allait peut-être pas au-delà de la frontière, car bien qu’il eût l’impression – ou plutôt qu’il fût certain – que depuis qu’il était monté dans ce wagon de seconde classe, en réalité il avait somnolé presque tout le temps, et même durant de longues parties du voyage, il avait carrément dormi ; malgré cela – et il en était certain – quand le train s’arrêtait dans une gare, dont le silence et les dimensions lui parvenaient, nettement mêlés aux conversations, aux rires, aux doutes, aux questions qu’ils se posaient ou qu’ils posaient à des voyageurs déjà installés, il était certain qu’à chaque arrêt du train, très peu de gens étaient montés à bord.
Je pense qu’en mettant « bien qu’il en eût l’impression », on changerait le sens de la phrase car cela signifierait : « bien qu’il eût l’impression que ce train allait au-delà de la frontière », alors qu’il me semble que l'idée est que bien que le personnage ait dormi durant presque tout le trajet, il était sûr que peu de gens étaient montés à bord du train, raison pour laquelle il se dit que le train ne va peut-être pas au-delà de la frontière.
Du coup, je pense que la répétition de « il était certain que » est volontaire car elle reprend ce qui a été dit un peu plus tôt.
Soudain, il pensait que ce train, ce train international, ou qu'il croyait international, n’allait peut-être pas au-delà de la frontière, car bien qu’il eût l’impression – ou plutôt qu’il fût certain – que depuis qu’il était monté dans ce wagon de seconde classe, en réalité il avait somnolé presque tout le temps, et même durant de longues parties du voyage, il avait carrément dormi ; malgré cela – et il en était certain – quand le train s’arrêtait dans une gare, dont le silence et les dimensions lui parvenaient, nettement mêlés aux conversations, aux rires, aux doutes, aux questions qu’ils se posaient ou qu’ils posaient à des voyageurs déjà installés, il était certain qu’à chaque arrêt du train, très peu de gens étaient montés à bord.
Je ne comprends pas avec quoi va « bien que… » dans la suite de la phrase. À mon avis, pour un lecteur lambda, cette phrase est complexe. Peut-être devrais-tu intervenir davantage pour éclairer le sens.
Soudain, il pensait que ce train, ce train international, ou qu'il croyait international, n’allait peut-être pas au-delà de la frontière, car bien qu’il eût l’impression – ou plutôt qu’il fût certain – que depuis qu’il était monté dans ce wagon de seconde classe, il avait somnolé presque tout le temps, et que durant de longues parties du voyage, il avait carrément dormi, malgré cela – et il en était certain – quand le train s’arrêtait dans une gare, dont le silence et les dimensions lui parvenaient, nettement mêlés aux conversations, aux rires, aux doutes, aux questions qu’ils se posaient ou qu’ils posaient à des voyageurs déjà installés, il était certain qu’à chaque arrêt du train, très peu de gens étaient montés à bord.
Peut-être que c’est un peu plus clair en rajoutant un deuxième « que » et en supprimant le point-virgule. Sinon, je ne vois pas bien comment faire pour simplifier…
Soudain, il pensait que ce train, ce train international, ou qu'il croyait international, n’allait peut-être pas au-delà de la frontière, car bien qu’il eût l’impression – ou plutôt qu’il fût certain – que depuis qu’il était monté dans ce wagon de seconde classe, il avait somnolé presque tout le temps, et que durant de longues parties du voyage, il avait carrément dormi, malgré cela – et il en était certain – quand le train s’arrêtait dans une gare, dont le silence et les dimensions lui parvenaient, nettement mêlés aux conversations, aux rires, aux doutes, aux questions qu’ils se posaient ou qu’ils posaient à des voyageurs déjà installés, il était certain qu’à chaque arrêt du train, très peu de gens étaient montés à bord.
Un dernier doute sur la répétition de « certain ». Si volontaire, tu laisses… sinon, tu changes.
Soudain, il pensait que ce train, ce train international, ou qu'il croyait international, n’allait peut-être pas au-delà de la frontière, car bien qu’il eût l’impression – ou plutôt qu’il fût certain – que depuis qu’il était monté dans ce wagon de seconde classe, il avait somnolé presque tout le temps, et que durant de longues parties du voyage, il avait carrément dormi, malgré cela – et il en était certain – quand le train s’arrêtait dans une gare, dont le silence et les dimensions lui parvenaient, nettement mêlés aux conversations, aux rires, aux doutes, aux questions qu’ils se posaient ou qu’ils posaient à des voyageurs déjà installés, il était certain qu’à chaque arrêt du train, très peu de gens étaient montés à bord.
Soudain, il pensait que ce train, ce train international, ou qu'il croyait international, n’allait peut-être pas au-delà de la frontière, car bien qu’il eût l’impression – ou plutôt qu’il fût certain – que depuis qu’il était monté dans ce wagon de seconde classe, il avait somnolé presque tout le temps, et que durant de longues parties du voyage, il avait carrément dormi, malgré cela – et il en était certain – quand le train s’arrêtait dans une gare, dont le silence et les dimensions lui parvenaient, nettement mêlés aux conversations, aux rires, aux doutes, aux questions qu’ils se posaient ou qu’ils posaient à des voyageurs déjà installés, il était certain qu’à chaque arrêt du train, très peu de gens étaient montés à bord.
Soudain, il pensait que ce train, ce train international, ou qu'il croyait international, n’allait peut-être pas au-delà de la frontière, car bien qu’il eût l’impression – ou plutôt qu’il fût certain – que depuis qu’il était monté dans ce wagon de seconde classe, il avait somnolé presque tout le temps, et que durant de longues parties du voyage, il avait carrément dormi, malgré cela – et il en était certain – quand le train s’arrêtait dans une gare, dont le silence et les dimensions lui parvenaient, nettement mêlés aux conversations, aux rires, aux doutes, aux questions qu’ils se posaient ou qu’ils posaient à des voyageurs déjà installés, il était certain qu’à chaque arrêt du train, très peu de gens étaient montés à bord.
OK.
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