Al principio habían sido unos cuantos granos, de pólvora escurriendo de sus manos o un poco de flema o saliva con sangre, nada de peligrosa ni amenazadora, que fluía de sus labios en forma, imperceptible cuando hacía un poco de frío, cuando tenía algunos accesos de tos y, por lo tanto, se sentía desamparado.-
Traduction temporaire :
Au début, ça n'avait guère été que de rares grains de poudre qui glissaient de ses mains, ou des glaires, ou de la salive mêlée de sang, nullement dangereuse ni menaçante, qui s'écoulaient de ses lèvres, de façon imperceptible, quand il faisait un peu froid, quand il était secoué par des accès de toux ; en conséquence de quoi il se sentait encore plus délaissé.
Au début, ça n'avait guère été que de rares grains de poudre qui glissaient de ses mains, ou des glaires, ou de la salive mêlée de sang, nullement dangereuse ni menaçante, qui s'écoulaient de ses lèvres, de façon imperceptible, quand il faisait un peu froid, quand il était secoué par des accès de toux ; en conséquence de quoi il se sentait encore plus délaissé.
12 commentaires:
Al principio habían sido unos cuantos granos de pólvora escurriendo de sus manos o un poco de flema o saliva con sangre, nada de peligrosa ni amenazadora, que fluía de sus labios en forma imperceptible cuando hacía un poco de frío, cuando tenía algunos accesos de tos y, por lo tanto, se sentía más desamparado.- [il faut rajouter más et enlever deux virgules : après "granos" et "forma".]
Au début, il y avait eu de rares grains de poudre qui gouttaient de ses mains ou quelques crachats ou de la salive avec du sang, en rien dangereux ni menaçants, qui s'écoulaient de ses lèvres, de façon imperceptible quand il faisait un peu froid, quand il souffrait d'accès de toux et, par conséquent, il se sentait davantage délaissé.
Au début, il y avait eu de [passe par « ça n'avait guère été que »] rares grains de poudre qui gouttaient [le verbe est mal choisi pour « grains de poudre »] de ses mains ou quelques crachats [« glaire »] ou de la salive avec du sang, en rien [« nullement » ?] dangereux ni menaçants, qui s'écoulaient de ses lèvres, de façon imperceptible [virgule] quand il faisait un peu froid, quand il souffrait [avec « avoir » ou « être secoués »] d'accès de toux et, par conséquent [cela est-il en ligne directe avec les « quand » ? Impression bizarre de rupture… Qu'est-ce qui va avec quoi ?], il se sentait davantage délaissé.
Au début, ça n'avait guère été que de rares grains de poudre qui tombaient de ses mains ou quelques glaires ou de la salive avec du sang, nullement dangereuses ni menaçantes, qui s'écoulaient de ses lèvres, de façon imperceptible, quand il faisait un peu froid, quand il était secoué par des accès de toux ; il se sentait donc plus délaissé encore.
Au début, ça n'avait guère été que de rares grains [tu crois qu'on dit « grains » ? Je ne dis pas non, je te demande juste si tu as vérifié ou si c'est juste une trad littérale passive…] de poudre qui tombaient [ou « glisser » ?] de ses mains ou quelques [« des »] glaires ou de la salive avec [« mêlée de » ?] du sang, nullement dangereuses ni menaçantes [pour le genre ; féminin ou masculin ?], qui s'écoulaient de ses lèvres, de façon imperceptible, quand il faisait un peu froid, quand il était secoué par des accès de toux ; [« en conséquence de quoi » à la place de ton « donc » ?] il se sentait donc plus délaissé encore.
Au début, ça n'avait guère été que de rares grains [oui, on dit grains de poudre et on parle de granulométrie d'une poudre] de poudre qui glissaient de ses mains ou des glaires ou de la salive mêlée de sang, nullement dangereuse ni menaçante [pour le genre, j'hésite car c'est au féminin singulier dans le texte ; si le sujet est "saliva", on peut laisser le féminin singulier mais si c'est "pólvora", on peut mettre le masculin au pluriel qui reprend tout : "grains", "glaires" et "salive"], qui s'écoulaient de ses lèvres, de façon imperceptible, quand il faisait un peu froid, quand il était secoué par des accès de toux ; en conséquence de quoi il se sentait plus délaissé encore.
Au début, ça n'avait guère été que de rares grains de poudre qui glissaient de ses mains, ou des glaires, ou de la salive mêlée de sang, nullement dangereuse ni menaçante [pour le genre, j'hésite car c'est au féminin singulier dans le texte ; si le sujet est "saliva", on peut laisser le féminin singulier mais si c'est "pólvora", on peut mettre le masculin au pluriel qui reprend tout : "grains", "glaires" et "salive" / C'EST À TOI DE TRANCHER, MA CHÈRE, C'EST TA TRAD ;-) LE CAS ÉCHÉANT, DEMANDE CONSEIL À ELENA… UN ŒIL EXTÉRIEUR AVISÉ N'EST JAMAIS DE TROP], qui s'écoulaient de ses lèvres, de façon imperceptible, quand il faisait un peu froid, quand il était secoué par des accès de toux ; en conséquence de quoi il se sentait plus délaissé encore.
Au début, ça n'avait guère été que de rares grains de poudre qui glissaient de ses mains, ou des glaires, ou de la salive mêlée de sang, nullement dangereux ni menaçant, qui s'écoulaient de ses lèvres, de façon imperceptible, quand il faisait un peu froid, quand il était secoué par des accès de toux ; en conséquence de quoi il se sentait encore plus délaissé.
Au début, ça n'avait guère été que de rares grains de poudre qui glissaient de ses mains, ou des glaires, ou de la salive mêlée de sang, nullement dangereux ni menaçant [au singulier ? Du coup, tu le fait aller avec quoi ?], qui s'écoulaient de ses lèvres, de façon imperceptible, quand il faisait un peu froid, quand il était secoué par des accès de toux ; en conséquence de quoi il se sentait encore plus délaissé.
Au début, ça n'avait guère été que de rares grains de poudre qui glissaient de ses mains, ou des glaires, ou de la salive mêlée de sang, nullement dangereux ni menaçant [dans le texte espagnol, le sujet semble être "sangre" comme Elena me l'a indiqué ; le pluriel conviendrait peut-être mieux ici mais je respecte la version originale, non ? ], qui s'écoulaient de ses lèvres, de façon imperceptible, quand il faisait un peu froid, quand il était secoué par des accès de toux ; en conséquence de quoi il se sentait encore plus délaissé.
Au début, ça n'avait guère été que de rares grains de poudre qui glissaient de ses mains, ou des glaires, ou de la salive mêlée de sang, nullement dangereux ni menaçant [moi, je dirais que c'est la salive ; mais je te laisse trancher], qui s'écoulaient de ses lèvres, de façon imperceptible, quand il faisait un peu froid, quand il était secoué par des accès de toux ; en conséquence de quoi il se sentait encore plus délaissé.
Au début, ça n'avait guère été que de rares grains de poudre qui glissaient de ses mains, ou des glaires, ou de la salive mêlée de sang, nullement dangereuse ni menaçante, qui s'écoulaient de ses lèvres, de façon imperceptible, quand il faisait un peu froid, quand il était secoué par des accès de toux ; en conséquence de quoi il se sentait encore plus délaissé.
OK.
Enregistrer un commentaire