¿ESTUDIAS O TRABAJAS?
No traer dinero es como andar sin aretes: te la pasas sobándote las orejas a falta de su presencia; te acostumbras tanto a ellos que pasan a formar parte de ti misma, y ya no sabes que hacer cuando no los traes puestos.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
11 commentaires:
« Tu étudies ou tu travailles ? »
Ne pas avoir de l’argent c’est comme ne pas porter de boucles d’oreilles : vous passez votre temps à vous tripoter les oreilles en leur absence ; vous vous habituez tellement à elles qu’elles deviennent une part de vous-même, et vous ne savez plus quoi faire quand vous ne les portez pas.
« Tu étudies [non, on ne dirait pas comme ça] ou tu travailles ? »
Ne pas avoir [FS ]de l’argent [simplifie : DE L'ARGENT] [virgule avant ces « c'est » !!!!!!!! exemple : la vérité, c'est que… OK, cette fois ??????] c’est comme ne pas porter de boucles d’oreilles : vous passez [généralise avec « on » ; du coup, tu reprendras la suite] votre temps à vous tripoter les oreilles en leur absence [mal dit] ; vous vous habituez tellement à elles qu’elles deviennent une part [mal dit] de vous-même, et vous ne savez plus quoi faire quand vous ne les portez pas.
Reprends avec le « on », pour que je me rende bien compte de tout… Et, donc, attention à ces virgules avant « c'est » – il faut que ce soit quelque chose de définitivement acquis.
« Tu fais des études ou tu travailles ? »
Ne pas avoir d'argent sur soi, c’est comme ne pas porter de boucles d’oreilles : on passe notre temps à se tripoter les oreilles ne les ayant pas; on s'habitue tellement à elles qu’elles deviennent une partie de nous, et on ne sait plus quoi faire quand on ne les porte pas.
« Tu fais des études ou tu travailles ? »
Ne pas avoir d'argent sur soi, c’est comme ne pas porter de boucles d’oreilles : on passe notre [« SON »] temps à se tripoter les oreilles ne les ayant pas [ça ne va pas… mais c'est vrai que c'est pas facile] [espace avant les points-virgules !!!!!]; on s'habitue [avec l'adjectif, ce sera mieux] tellement à elles [virgule] qu’elles deviennent une partie de nous, et on ne sait plus quoi faire quand on ne les porte pas.
« Tu fais des études ou tu travailles ? »
Ne pas avoir d'argent sur soi, c’est comme ne pas porter de boucles d’oreilles : on passe son temps à se tripoter les oreilles quand on ne les porte pas ; on a tellement l'habitude d'elles, qu’elles deviennent une partie de nous, et on ne sait plus quoi faire quand on ne les porte pas.
« Tu fais des études ou tu travailles ? »
Ne pas avoir d'argent sur soi, c’est comme ne pas porter de boucles d’oreilles : on passe son temps à se tripoter les oreilles quand on ne les porte pas [« ses oreilles nues » ?] ; on a tellement l'habitude d'elles [avec un adjectif ; cf commentaire précédent], qu’elles deviennent une partie de nous, et on ne sait plus quoi faire quand on ne les porte pas.
« Tu fais des études ou tu travailles ? »
Ne pas avoir d'argent sur soi, c’est comme ne pas porter de boucles d’oreilles : on passe son temps à se tripoter ses oreilles nues ; on est tellement habituées à elles, qu’elles deviennent une partie de nous, et on ne sait plus quoi faire quand on ne les porte pas.
Rétroalimentation ?
« Tu fais des études ou tu travailles ? »
Ne pas avoir d'argent sur soi, c’est comme ne pas porter de boucles d’oreilles : on passe son temps à se [du coup, supprime « se »] tripoter ses oreilles nues ; on est tellement habituées à elles [supprime et mets un « y »], qu’elles deviennent une partie de nous, et on ne sait plus quoi faire quand on ne les porte pas.
« Tu fais des études ou tu travailles ? »
Ne pas avoir d'argent sur soi, c’est comme ne pas porter de boucles d’oreilles : on passe son temps à tripoter ses oreilles nues ; on y est tellement habituées, qu’elles deviennent une partie de nous, et on ne sait plus quoi faire quand on ne les porte pas.
« Tu fais des études ou tu travailles ? »
Ne pas avoir d'argent sur soi, c’est comme ne pas porter de boucles d’oreilles : on passe son temps à tripoter ses oreilles nues ; on y est tellement habituées, qu’elles deviennent une partie de nous, et on ne sait plus quoi faire quand on ne les porte pas.
OK.
Enregistrer un commentaire