samedi 12 janvier 2013

Projet Céline 3 – phrase 4

El dueño de la bar­bería se ajustó sus anteo­jos para obser­var mejor al recién lle­gado y pensó un instante si debía con­de­scen­der a aten­derlo, pero la mala racha que atrav­es­aba su salón le impedía darse el lujo de rec­hazar un cliente y con res­i­gnación le pidió al sujeto que se quitara la cha­queta y la dejara en la per­cha para empezar la faena.

Traduction temporaire :
Le propriétaire du salon de coiffure ajusta ses lunettes pour mieux observer le nouveau venu et se demanda un instant s’il devait accepter de s’occuper de lui ; mais la mauvaise passe que traversait son commerce l’empêchait de se payer le luxe de refuser un client. Avec résignation, il demanda à l’individu d’ôter sa veste et de l’accrocher au portemanteau pour qu’il puisse se mettre à l'œuvre.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Le propriétaire de la barberie ajusta ses lunettes pour mieux observer le nouveau venu et se demanda un instant s’il devait consentir à s’occuper de lui, mais la mauvaise passe que son salon traversait l’empêchait de s’offrir le luxe de refuser un client et, avec résignation, il demanda à l’individu d’ôter sa veste et de l’accrocher au portemanteau pour qu’il puisse commencer sa tâche.

Tradabordo a dit…

Le propriétaire [ou « patron » ? Je te laisse trancher] de la barberie [bof] ajusta ses lunettes pour mieux observer le nouveau venu et se demanda [virgule ?] un instant [virgule ? Comme tu veux] s’il devait consentir [FS] à s’occuper de lui, [point-virgule ?] mais la mauvaise passe que son salon traversait [ou en inversant] l’empêchait de s’offrir [ou « se payer » ?] le luxe de refuser un client et, [point à la place ?] avec résignation, il demanda à l’individu d’ôter sa veste et de l’accrocher au portemanteau pour qu’il puisse commencer sa tâche [ou avec « se mettre à l'œuvre » ?].

Unknown a dit…

Le propriétaire du salon de coiffure ajusta ses lunettes pour mieux observer le nouveau venu et se demanda un instant s’il devait accepter de s’occuper de lui ; mais la mauvaise passe que traversait son commerce l’empêchait de se payer le luxe de refuser un client. Avec résignation, il demanda à l’individu d’ôter sa veste et de l’accrocher au portemanteau pour qu’il puisse se mettre à l'œuvre.

Tradabordo a dit…

Le propriétaire du salon de coiffure ajusta ses lunettes pour mieux observer le nouveau venu et se demanda un instant s’il devait accepter de s’occuper de lui ; mais la mauvaise passe que traversait son commerce l’empêchait de se payer le luxe de refuser un client. Avec résignation, il demanda à l’individu d’ôter sa veste et de l’accrocher au portemanteau pour qu’il puisse se mettre à l'œuvre.

OK.