lundi 14 janvier 2013

Projet Céline 3 – phrase 6

Recibió la cha­queta de paño oscuro, la colgó en la per­cha,  invitó a su cliente a sen­tarse, lo cubrió con un blanco peinador que extrajo de la gaveta de un armario oloroso a lavanda y sin inqui­etarse porque el sujeto le tenía clavada desde el prin­ci­pio una mirada intensa y pen­e­trante como un estoque se puso a preparar el jabón con dili­gen­cia,  revolviendo la pasta con la brocha en una palan­gana de agua tibia hasta hacer sufi­ciente espuma.

Traduction temporaire :
Il lui prit sa veste en tissu foncé, l’accrocha au portemanteau, invita son client à s’asseoir, l’enveloppa dans un peignoir blanc tout juste sorti du tiroir d’une armoire qui sentait la lavande ; et, sans s’inquiéter en effet de ce que l’individu lui lançait depuis le début un regard aussi intense et pénétrant qu’un estoc, il se mit à préparer le savon avec diligence, remuant la pâte à l’aide d’un blaireau dans un bol d’eau tiède, jusqu’à ce que cela fasse suffisamment de mousse.

7 commentaires:

Unknown a dit…

Il prit la veste en tissu foncé, l’accrocha au portemanteau, invita son client à s’asseoir, le couvrit d’un peignoir blanc qu’il avait sorti du tiroir d’une armoire qui sentait la lavande et, sans s’inquiéter de ce que l’individu lui lançait depuis le début un regard intense et pénétrant comme un estoc, il se mit à préparer le savon avec diligence, remuant la pâte avec le blaireau dans un bol d’eau tiède jusqu’à ce que cela fasse suffisamment de mousse. 

Unknown a dit…

Il prit la veste en tissu foncé, l’accrocha au portemanteau, invita son client à s’asseoir, le couvrit d’un peignoir blanc qu’il avait sorti du tiroir d’une armoire qui sentait la lavande et, sans s’inquiéter de ce que l’individu lui lançait depuis le début un regard intense et pénétrant comme un estoc, il se mit à préparer le savon avec diligence, remuant la pâte avec le blaireau dans un bol d’eau tiède jusqu’à ce que cela fasse suffisamment de mousse.

Tradabordo a dit…

Recibió la cha­queta de paño oscuro, la colgó en la per­cha, invitó a su cliente a sen­tarse, lo cubrió con un blanco peinador que extrajo de la gaveta de un armario oloroso a lavanda y sin inqui­etarse porque el sujeto le tenía clavada desde el prin­ci­pio una mirada intensa y pen­e­trante como un estoque se puso a preparar el jabón con dili­gen­cia, revolviendo la pasta con la brocha en una palan­gana de agua tibia hasta hacer sufi­ciente espuma.

Il prit la [ou c'est « lui prit sa » ?] veste en tissu foncé, l’accrocha au portemanteau, invita son client à s’asseoir, le couvrit [ou avec « envelopper » ?] d’ [ou « avec » ? J'hésite] un peignoir blanc qu’il avait sorti du tiroir d’une armoire qui sentait la lavande [point-virgule ?] et, sans s’inquiéter [cheville pour faire le rebond avec ce qui précède : « en effet » ? À toi de voir] de ce que l’individu lui lançait depuis le début un regard intense et pénétrant comme [ça n'est pas « aussi que » ?] un estoc, il se mit à préparer le savon avec diligence, remuant la pâte avec le blaireau dans un bol d’eau tiède [virgule avant ces « jusqu'à » – retiens-le] jusqu’à ce que cela fasse suffisamment de mousse.

Unknown a dit…

Il lui prit sa veste en tissu foncé, l’accrocha au portemanteau, invita son client à s’asseoir, l’enveloppa dans un peignoir blanc qu’il avait sorti du tiroir d’une armoire qui sentait la lavande ; et, sans s’inquiéter en effet de ce que l’individu lui lançait depuis le début un regard aussi intense et pénétrant qu’un estoc, il se mit à préparer le savon avec diligence, remuant la pâte avec le blaireau dans un bol d’eau tiède, jusqu’à ce que cela fasse suffisamment de mousse.

Tradabordo a dit…

Il lui prit sa veste en tissu [ou « drap » ?] foncé, l’accrocha au portemanteau, invita son client à s’asseoir, l’enveloppa dans un peignoir blanc qu’il avait sorti du tiroir d’une armoire qui sentait [« qu'il » + « qui »] la lavande ; et, sans s’inquiéter en effet de ce que l’individu lui lançait depuis le début un regard aussi intense et pénétrant qu’un estoc, il se mit à préparer le savon avec diligence, remuant la pâte avec [avec + avec] le blaireau dans un bol d’eau tiède, jusqu’à ce que cela fasse suffisamment de mousse.

Unknown a dit…

Il lui prit sa veste en tissu foncé, l’accrocha au portemanteau, invita son client à s’asseoir, l’enveloppa dans un peignoir blanc tout juste sorti du tiroir d’une armoire qui sentait la lavande ; et, sans s’inquiéter en effet de ce que l’individu lui lançait depuis le début un regard aussi intense et pénétrant qu’un estoc, il se mit à préparer le savon avec diligence, remuant la pâte à l’aide d’un blaireau dans un bol d’eau tiède, jusqu’à ce que cela fasse suffisamment de mousse.

Tradabordo a dit…

Il lui prit sa veste en tissu foncé, l’accrocha au portemanteau, invita son client à s’asseoir, l’enveloppa dans un peignoir blanc tout juste sorti du tiroir d’une armoire qui sentait la lavande ; et, sans s’inquiéter en effet de ce que l’individu lui lançait depuis le début un regard aussi intense et pénétrant qu’un estoc, il se mit à préparer le savon avec diligence, remuant la pâte à l’aide d’un blaireau dans un bol d’eau tiède, jusqu’à ce que cela fasse suffisamment de mousse.

OK.