vendredi 4 janvier 2013

Projet Sonita 5 – phrase 16

El caso es que el pobre señor tuvo que irse de México, porque aquí en Tijuana ya casi se lo comían vivo con los chismes, y ya no conseguía hacer ningún negocio; un tiempo estuvo probando con embutidos y carnes frías dizque de España; pero todos le daban carrilla con que eran del sótano de su casa, hasta que terminó vendiendo orquídeas en los cabarets de la avenida Revolución y en los restaurantes elegantes, mientras lograba venderla; pero con eso de que estaba maldita por lo de los perfumes derramados y las brujerías, ya nadie quería comprársela.

Traduction temporaire :
Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici,  à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne. Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient simplement de son sous-sol ; si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, du moins aussi longtemps que cela lui a été possible ; mais avec cette histoire d'après laquelle les orchidées étaient maudites à cause de ses parfums qui avaient été renversés et des sorcelleries qu'on lui attribuait, plus personne ne voulait les lui acheter.

43 commentaires:

Sonita a dit…

Quoi qu’il en soit, le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, on le mangeait quasiment vivant avec les rumeurs et il ne réussissait plus à faire aucune affaire ; pendant un temps il a essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides qui venaient, soi-disant, d’Espagne. Mais tout le monde disait que ces produits étaient issus de son sous-sol et, au bout du compte, il finit par vendre des orchidées dans les cabarets de l’avenue Revolución et dans les restaurants élégants, tant qu’il réussit à la vendre ; mais avec cette histoire comme quoi l’orchidée était maudite à cause des parfums renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait la lui acheter.

Tradabordo a dit…

El caso es que el pobre señor tuvo que irse de México, porque aquí en Tijuana ya casi se lo comían vivo con los chismes, y ya no conseguía hacer ningún negocio;

Quoi qu’il en soit, le pauvre homme [on l'a déjà avant, non ? Vérifie et, le cas échéant, change] dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, on le mangeait quasiment vivant avec les rumeurs [la trad littérale est amusante, mais ne va pas du tout – il faut que tu t'en éloignes, en ne te préoccupant que du sens] et il ne réussissait plus à faire aucune affaire [mal dit… Manque de naturel] ;

Sonita a dit…

Nous avons "brave monsieur" et "il", donc on peut garder "pauvre homme", je crois...
Aussi, comme j'ai un peu modifié la fin, je propose de remplacer mon "Quoi qu'il en soit" par un "Toujours est-il" pour éviter une presque répétition

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait pratiquement harceler, et il ne réussissait plus à vendre quoi que ce soit ;

pendant un temps il a essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides qui venaient, soi-disant, d’Espagne. Mais tout le monde disait que ces produits étaient issus de son sous-sol et, au bout du compte, il finit par vendre des orchidées dans les cabarets de l’avenue Revolución et dans les restaurants élégants, tant qu’il réussit à la vendre ; mais avec cette histoire comme quoi l’orchidée était maudite à cause des parfums renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait la lui acheter.

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait pratiquement harceler [ah bah non… Là, tu as non seulement raccourci mais gommer le style / il faut que tu trouves quelque chose qui ressembles et qu'on dirait spontanément en français], et il ne réussissait plus à vendre quoi que ce soit [avec « ses affaires » peut-être] ;

Sonita a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru, et il ne réussissait plus à vendre quoi que ce soit dans ses affaires ;

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru [jusque-là, OK – c'est bien], et il ne réussissait plus à vendre quoi que ce soit dans ses affaires [non, laisse tomber « vendre » / ce sont les affaires que tu dois commenter] ;

Sonita a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru, et il ne réussissait plus à avoir aucune affaire ;

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru, et il ne réussissait plus à avoir aucune affaire [non au pluriel… en disant que ça ne marche pas] ;

Sonita a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru, et aucune de ses affaires ne marchait pas ;

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru, et aucune de ses affaires ne marchait pas ;

Je te propose :

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ;

OK ?

Sonita a dit…

OK.

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; pendant un temps il a essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides qui venaient, soi-disant, d’Espagne. Mais tout le monde disait que ces produits étaient issus de son sous-sol et, au bout du compte, il finit par vendre des orchidées dans les cabarets de l’avenue Revolución et dans les restaurants élégants, tant qu’il réussit à la vendre ; mais avec cette histoire comme quoi l’orchidée était maudite à cause des parfums renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait la lui acheter.

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; pendant un temps il a essaya [coquille ; corrige]

de vendre de la charcuterie et des viandes froides qui venaient, soi-disant, d’Espagne. Mais tout le monde disait que ces produits étaient issus de son sous-sol et, au bout du compte, il finit par vendre des orchidées dans les cabarets de l’avenue Revolución et dans les restaurants élégants, tant qu’il réussit à la vendre ; mais avec cette histoire comme quoi l’orchidée était maudite à cause des parfums renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait la lui acheter.

Sonita a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; pendant un temps il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides qui venaient, soi-disant, d’Espagne. Mais tout le monde disait que ces produits étaient issus de son sous-sol et, au bout du compte, il finit par vendre des orchidées dans les cabarets de l’avenue Revolución et dans les restaurants élégants, tant qu’il réussit à la vendre ; mais avec cette histoire comme quoi l’orchidée était maudite à cause des parfums renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait la lui acheter.

Tradabordo a dit…

un tiempo estuvo probando con embutidos y carnes frías dizque de España;
pendant [pas besoin de « pendant »] un temps [virgule] il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides qui venaient [avec « en provenance » + cela supposera un petit changement de syntaxe], soi-disant, d’Espagne.

Sonita a dit…

un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides en provenance d'Espagne, soi-disant.
Mais tout le monde disait que ces produits étaient issus de son sous-sol et, au bout du compte, il finit par vendre des orchidées dans les cabarets de l’avenue Revolución et dans les restaurants élégants, tant qu’il réussit à la vendre ; mais avec cette histoire comme quoi l’orchidée était maudite à cause des parfums renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait la lui acheter.

Tradabordo a dit…

un tiempo estuvo probando con embutidos y carnes frías dizque de España;
un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides en provenance d'Espagne, soi-disant [non, avance-le ;-)].

Sonita a dit…

un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde disait que ces produits étaient issus de son sous-sol et, au bout du compte, il finit par vendre des orchidées dans les cabarets de l’avenue Revolución et dans les restaurants élégants, tant qu’il réussit à la vendre ; mais avec cette histoire comme quoi l’orchidée était maudite à cause des parfums renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait la lui acheter.

Tradabordo a dit…

un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.

OK… Tu colleras l'ensemble de ce qui est validé.

pero todos le daban carrilla con que eran del sótano de su casa, hasta que terminó vendiendo orquídeas en los cabarets de la avenida Revolución y en los restaurantes elegantes, mientras lograba venderla;
Mais tout le monde disait [c'est une expression en V.O. ; il serait bon d'en mettre une aussi en français]

Sonita a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le chariait disant que ces produits étaient issus de son sous-sol et, au bout du compte, il finit par vendre des orchidées dans les cabarets de l’avenue Revolución et dans les restaurants élégants, tant qu’il réussit à la vendre ; mais avec cette histoire comme quoi l’orchidée était maudite à cause des parfums renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait la lui acheter.

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le chariait [orthographe] [« en »] disant que ces produits étaient issus [simplifie] de son sous-sol et, au bout du compte [« ; si bien qu'à l'arrivée »], il finit par [« il se retrouva à »] vendre des orchidées dans les cabarets de l’avenue [laisse en V.O, mais avec une majuscule] Revolución et dans les restaurants élégants [ou « chics » ?], tant qu’il réussit à la vendre [peu clair] ;

Fais déjà ça.

mais avec cette histoire comme quoi l’orchidée était maudite à cause des parfums renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait la lui acheter.

Sonita a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient de son sous-sol et, si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, aussi longtemps qu'il réussit à vendre son orchidée ;

***
À cause de la suite, je me vois obligée de garder le singulier même s'il me semble bizarre...

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient [« simplement »] de son sous-sol et, [non : « ; » à la place de « et, », sinon, c'est illogique et incorrect / Relis bien… surtout quand je te donne la solution] si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, [cheville « du moins »] aussi longtemps qu'il réussit à vendre son orchidée [neutralise en supprimant… et en ne gardant que l'idée / au bout d'un moment, ça s'arrête] ;

Sonita a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient simplement de son sous-sol, si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, du moins aussi longtemps qu'il réussit à le faire ;

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient simplement de son sous-sol ; si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, du moins aussi longtemps qu'il réussit à le faire [une solution sans « faire » / « marcher », tu ne peux pas parce qu'on l'a utilisé plus haut, mais c'est l'idée] ;

Sonita a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient simplement de son sous-sol ; si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, du moins aussi longtemps que cela lui a été possible ;

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient simplement de son sous-sol ; si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, du moins aussi longtemps que cela lui a été possible ;

OK jusque-là.

Tradabordo a dit…

; pero con eso de que estaba maldita por lo de los perfumes derramados y las brujerías, ya nadie quería comprársela.

mais avec cette histoire comme quoi [très populaire] l’orchidée était maudite à cause des parfums renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait la lui acheter.

Sonita a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient simplement de son sous-sol ; si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, du moins aussi longtemps que cela lui a été possible ; mais avec cette histoire qui prétendait que l’orchidée était maudite à cause des parfums renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait la lui acheter.

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient simplement de son sous-sol ; si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, du moins aussi longtemps que cela lui a été possible ; mais avec cette histoire qui prétendait [non car l'histoire n'est pas une personne / je te laisse chercher encore un peu ;-)] que l’orchidée était maudite à cause des parfums renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait la lui acheter.

Sonita a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient simplement de son sous-sol ; si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, du moins aussi longtemps que cela lui a été possible ; mais avec cette histoire prétendant que l’orchidée était maudite à cause des parfums renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait la lui acheter.

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient simplement de son sous-sol ; si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, du moins aussi longtemps que cela lui a été possible ; mais avec cette histoire prétendant [non car pas une personne… Un peu d'aide, mais pas encore la solution car il faut quand même que tu cherches / en gros, il te faut « selon laquelle », mais évidemment une formule synonyme puisqu'on l'a déjà] que l’orchidée était maudite à cause des parfums renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait la lui acheter.

Sonita a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient simplement de son sous-sol ; si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, du moins aussi longtemps que cela lui a été possible ; mais avec cette histoire d'après laquelle l’orchidée était maudite à cause des parfums renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait la lui acheter.

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient simplement de son sous-sol ; si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, du moins aussi longtemps que cela lui a été possible ; mais avec cette histoire d'après laquelle l’orchidée [on devrait le mettre au pluriel dans la mesure où c'est moins une généralité ici que lié aux circonstances de la vie du type, non ?] était maudite à cause des parfums renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait la lui acheter.

Sonita a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient simplement de son sous-sol ; si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, du moins aussi longtemps que cela lui a été possible ; mais avec cette histoire d'après laquelle les orchidées étaient maudites à cause des parfums renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait les lui acheter.

***
OK pour le pluriel.

Sonita a dit…

On valide ? :)

Anonyme a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient simplement de son sous-sol ; si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, du moins aussi longtemps que cela lui a été possible ; mais avec cette histoire d'après laquelle les orchidées étaient maudites à cause des parfums renversés [il faut expliciter pour qu'on comprenne bien l'allusion à ce qui précède ; « à ses parfums qui avaient été renversés » ou quelque chose comme ça] et des sorcelleries, plus personne ne voulait les lui acheter.

Sonita a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient simplement de son sous-sol ; si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, du moins aussi longtemps que cela lui a été possible ; mais avec cette histoire d'après laquelle les orchidées étaient maudites à cause des parfums qui avaient été renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait les lui acheter.

***
Je ne vois pas trop le besoin d'expliciter car nous en avons l'explication avant, lorsque la Police l'a attrapé elle a renversé ses cuves.

Tradabordo a dit…

C'est bien un commentaire venant de moi ! ;-)

Sonita a dit…

Je ne comprends pas trop le besoin d'expliciter l'histoire des parfums renversés puisque on l'a déjà expliqué auparavant : lorsque la Police a attrapé le type, elle a renversé ses cuves de parfums. Donc, normalement, le lecteur devrait facilement s'y retrouver, non ?

***
Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient simplement de son sous-sol ; si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, du moins aussi longtemps que cela lui a été possible ; mais avec cette histoire d'après laquelle les orchidées étaient maudites à cause de ses parfums qui avaient été renversés et des sorcelleries, plus personne ne voulait les lui acheter.

Sonita a dit…

Suite ?
:)

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient simplement de son sous-sol ; si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, du moins aussi longtemps que cela lui a été possible ; mais avec cette histoire d'après laquelle les orchidées étaient maudites à cause de ses parfums qui avaient été renversés et des sorcelleries [cheville : « qu'on lui attribuait » ?], plus personne ne voulait les lui acheter.

Sonita a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient simplement de son sous-sol ; si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, du moins aussi longtemps que cela lui a été possible ; mais avec cette histoire d'après laquelle les orchidées étaient maudites à cause de ses parfums qui avaient été renversés et des sorcelleries qu'on lui attribuait, plus personne ne voulait les lui acheter.

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que le pauvre homme dut quitter le Mexique parce qu’ici, à Tijuana, il se faisait quasiment dévorer tout cru plus aucune de ses affaires ne marchaient ; un temps, il essaya de vendre de la charcuterie et des viandes froides, soi-disant en provenance d'Espagne.
Mais tout le monde le charriait en disant que ces produits venaient simplement de son sous-sol ; si bien qu'à l'arrivée, il se retrouva à vendre des orchidées dans les cabarets de l’Avenida Revolución et dans les restaurants chics, du moins aussi longtemps que cela lui a été possible ; mais avec cette histoire d'après laquelle les orchidées étaient maudites à cause de ses parfums qui avaient été renversés et des sorcelleries qu'on lui attribuait, plus personne ne voulait les lui acheter.

OOOOOOk…