Si je m'en tiens à ce que dit notre calendrier du second semestre, je ne vous revois pas avant le 22 janvier, c'est-à-dire dans un mois (oui, oui… ça va être long ! Pour moi, en tout cas, pas de doute). Comme il est impensable de ne pas faire de traduction collectivement d'ici là, je vous propose que nous reconduisions la formule adoptée en novembre… à savoir les devoirs de vacances. Avec une double précision. La plus importante d'abord : il va de soi que vous n'êtes pas tenus de faire toutes les versions proposées. Allons ! J'insiste bien sur ce point. Il ne s'agit pas de vous "mettre la pression", comme on dit dans les vestiaires. Vous traduisez autant que vous pouvez. Je conçois que certains textes inspirent davantage que d'autres ou qu'en période de banquets familiaux qui n'en finissent plus, on ait d'autres projets en tête que la traduction, même quand on est passionné. Vous pouvez en prendre 1, 2, 3, 4, 5… C'est à vous de voir. Par ailleurs, je vous propose la chose suivante: pendant les vacances de Noël, j'ai demandé aux étudiants de CAPES de nous rejoindre sur le blog et que l'un d'entre eux fasse quotidiennement la version et nous l'envoie ensuite pour le blog. De nouveau, cela se fait sur la base du volontariat. Il se peut donc que nous n'attrapions pas grand-chose dans nos filets. Si d'aventure la pêche était bonne… j'aimerais beaucoup que vous vous chargiez à tour de rôle de la correction. Pas quelque chose de trop scolaire (surtout pas de notes !). Il faudrait relever les erreurs, faire des commentaires utiles pour des gens préparant un concours, donner des conseils, etc. De leur côté, je leur ai dit que les textes seraient anonymes s'ils le souhaitaient. Donc pas de complexes et d'entraves… ni pour vous ni pour eux.
Notre aventure commune commence demain… et je suis curieuse de voir ce que cela va donner. Je ne doute pas que l'envie sera là, mais dépasseront-ils le cap de la timidité… pas certain…
Notre aventure commune commence demain… et je suis curieuse de voir ce que cela va donner. Je ne doute pas que l'envie sera là, mais dépasseront-ils le cap de la timidité… pas certain…
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