Outre que vous pouvez donner votre avis sur la proposition de Nathalie (Alina Reyes nom de baptême de promotion 2008-2009) par le biais des commentaires (si vous n'y arrivez pas, faites-les moi parvenir par mail et je transmettrai en votre nom), je vous propose un sondage. Sachez que cela ne vous empêche pas de faire d'autres propositions. N'hésitez pas… personne, a fortiori Nathalie, ne prendra ombrage de ce que vous ayez des idées différentes.
4 commentaires:
Sans compter que l'Alina Reyes qui écrit d'excellents romans érotiques a fréquenté l'université Michel de Montaigne Bordeaux 3, il y a quelque temps de cela...
Anne-Marie
De la part de Jacqueline pour Nathalie :
« Chère Nathalie,
tu ne m'en voudras pas de ne pas être tout à fait d'accord avec ta proposition : il me semble, même si j'ai été sensible à tes arguments, que le nom d'un personnage de fiction n'est pas celui qui convient le mieux à une formation qui démarre, qui est bien ancrée dans le réel et qui est fortement observée de l'extérieur. Un personnage "de carne y hueso" me conviendrait mieux. Toutefois,
1) c'est infiniment mieux que "shiva", qui avait pour seul mérite d'amorcer la pompe, si je puis dire, et
2) je n'ai pour l'instant pas d'autre proposition à faire ; je ne voterai donc qu'au dernier moment. »
A l'inverse de Jacqueline, j'aime beaucoup l'idée d'un nom de personnage de fiction, d'ailleurs c'est très tendance. Mais comme l'a souligné Anne-Marie, ce nom est déjà le pseudonyme d'une auteure française. Il me semble que, du coup, ce choix ne cadre pas bien. Même si, étant donné le contexte, il y a peu de chance pour que nos lecteurs passent à côté de la référence, je crois qu’un nom qui a déjà été utilisé, de surcroît par une auteure bordelaise, mérite de se reposer un peu. De plus, lorsque l’on saisit dans google « Alina Reyes » on tombe sur un blog dédiée à l’auteure. Les personnes ne connaissant pas l’œuvre de Cortázar risquent d’être bien étonnées de ce choix. Eh non, je n’ai pas de proposition à faire, je suis juste venue pour critiquer. (Ah bravo!) Laëtitia
Il est vrai qu'en jetant un œil rapide dans Google, j'ai presque exclusivement trouvé des pages – au moins les 40 premières références, après j'ai arrêté, jugeant le test plus que concluant… – sur l'auteur en question. Il faut creuser un peu pour tomber sur le personnage de Cortázar… Paradoxalement, c'est à travers l'autre, la fausse, que l'on tombe généralement sur l'autre, la vraie. Et c'est donc spontanément à l'"Alina Reyes française" que la promo sera assimilée… Où l'on peut déplorer que l'"Alina Reyes argentine" (oui, n'est-ce pas déjà agaçant de devoir préciser ?) disparaisse derrière une forme d'usurpation d'idendité, qui, si l'on y réfléchit bien, a tout d'une bien étrange traduction-appropriation-réécriture. Ne croyez pas, je ne cherche pas à influencer le vote… mais j'ai été sensible à l'argument de Laëtitia.
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