C'est Jacqueline qui régale, aujourd'hui :
Toujours à propos du chocolat (cf. fiche KaKi 5) :
La légende de Quetzalcoatl
La légende raconte que Quetzalcoatl, le dieu bienveillant offrit aux hommes l’arbre de cacao, qui donnerait force et vertus bénéfiques à ceux qui en consommeraient. Ce dieu aztèque fut chassé du Paradis et, en partant, il promit de revenir « por donde sale el sol ».
Par ici la monnaie
Les Aztèques utilisaient les cabosses du cacaoyer comme monnaie. Des falsificateurs sont alors apparus qui remplissaient les coquilles vides du cacao avec de la boue. On appelait ces fausses monnaies « cachachichiua » et leur utilisation était sévèrement réprimandée.
La « tasse trembleuse »
Le contenant adéquat très utilisé dans les premiers temps où on consommait en Europe le chocolat était une tasse en porcelaine, en argent et même en or, qui portait le nom de jícara ou pocillo. La sous-tasse correspondante s’appelait mancerina, en l’honneur de Pedro Alvarez de Toledo y Leiva, Marquis de Mancera, vice-roi du Pérou au XVIIè (qui l’avait dessinée avec une galerie en son milieu dans laquelle venait se loger la tasse pour éviter que celle-ci ne se renverse). En effet en Nouvelle Espagne, le chocolat du matin se prenait dans la chambre de la maîtresse de maison, qui recevait, elle-même étant assise dans son lit. Le mot mancerina a évolué avec le temps et s’est transformé en marcelina, qui est comme chacun sait l’ensemble tasse et soucoupe utilisée pour prendre le chocolat.
Chocolats de carnaval
Grâce au fameux masque utilisé au Carnaval de Turin appelé Gianduja, du nom de Gioan d’la douja-Jean de la Chope,-personnage haut en couleurs du XVIIIè -, on a créé des bonbons en chocolat éponymes très connus.
La légende de Quetzalcoatl
La légende raconte que Quetzalcoatl, le dieu bienveillant offrit aux hommes l’arbre de cacao, qui donnerait force et vertus bénéfiques à ceux qui en consommeraient. Ce dieu aztèque fut chassé du Paradis et, en partant, il promit de revenir « por donde sale el sol ».
Par ici la monnaie
Les Aztèques utilisaient les cabosses du cacaoyer comme monnaie. Des falsificateurs sont alors apparus qui remplissaient les coquilles vides du cacao avec de la boue. On appelait ces fausses monnaies « cachachichiua » et leur utilisation était sévèrement réprimandée.
La « tasse trembleuse »
Le contenant adéquat très utilisé dans les premiers temps où on consommait en Europe le chocolat était une tasse en porcelaine, en argent et même en or, qui portait le nom de jícara ou pocillo. La sous-tasse correspondante s’appelait mancerina, en l’honneur de Pedro Alvarez de Toledo y Leiva, Marquis de Mancera, vice-roi du Pérou au XVIIè (qui l’avait dessinée avec une galerie en son milieu dans laquelle venait se loger la tasse pour éviter que celle-ci ne se renverse). En effet en Nouvelle Espagne, le chocolat du matin se prenait dans la chambre de la maîtresse de maison, qui recevait, elle-même étant assise dans son lit. Le mot mancerina a évolué avec le temps et s’est transformé en marcelina, qui est comme chacun sait l’ensemble tasse et soucoupe utilisée pour prendre le chocolat.
Chocolats de carnaval
Grâce au fameux masque utilisé au Carnaval de Turin appelé Gianduja, du nom de Gioan d’la douja-Jean de la Chope,-personnage haut en couleurs du XVIIIè -, on a créé des bonbons en chocolat éponymes très connus.
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