Et si, pour poursuivre le post de Nathalie, quelqu'un nous faisait une petite liste des prix littéraires espagnols – avec une brève notice explicative pour chacun… Sans doute est-ce moins compliqué que les cartes…
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Le PRIX PLANETA est l’un prix littéraires espagnols les plus prestigieux et l’un des plus convoités.
Comme son nom l’indique, il est décerné par les Editions PLANETA qui font partie du puissant Groupe Editorial du même nom.
Il est également appelé Premio LARA, du nom de son créateur, José Manuel LARA HERNÁNDEZ qui le décerna pour la première fois en 1952.
Le Prix Planeta est considéré comme l’équivalent de notre Prix Goncourt français et récompense chaque année un roman inédit de langue espagnole.
Derrière le Prix Nobel, c’est l’un des prix les mieux dotés au monde puisqu’il est récompensé par la coquette somme de 601 000 euros !
Ce prix est décerné chaque année le 15 octobre, jour de la Sainte Thérèse, prénom de l’épouse de son fondateur (María Teresa Bosch).
Son jury est composé de 7 membres comprenant de hautes personnalités du monde littéraire espagnol.
Depuis 1974, le finaliste est également récompensé d’un prix de 125.000 euros.
José Manuel LARA HERNÁNDEZ
Né en 1914 à El Pedroso, dans la province de Séville, il était fils d’un médecin de campagne. Il participa à la guerre civile espagnole aux côtés des Nationalistes. Après la guerre, il partit s’installer à Barcelone où il rencontra et épousa María Teresa Bosch. Lecteur peu assidu selon ses propres dires, il fut cependant un habile marchand de livres qui sut faire prospérer la maison d’édition PLANETA qu’il fonda en 1949.
Décédé en 2003 à Barcelone, il a laissé derrière lui l’un des Groupes éditoriaux espagnols les plus importants, le Groupe PLANETA comprenant, entre autres, les Editions Planeta et Seix-Barral.
Les gagnants du PRIX PLANETA décernés de 1952 à 2008 :
1952 : Juan José MIRA (Espagne), En la noche no hay caminos.
1953 : Santiago LORÉN, (Espagne) Una casa con gotera.
1954 : Ana María MATUTE (Espagne), Pequeño teatro.
1955 : Antonio PRIETO (Espagne), Tres pisadas de hombre.
1956 : Carmen KURTZ (Espagne), El desconocido.
1957 : Emilio ROMERO (Espagne), La paz empieza nunca.
1958 : Fernando BERMÚDEZ DE CASTRO (Espagne), Pasos sin huellas.
1959 : Andrés BOSCH (Espagne), La noche.
1960 : Tomás SALVADOR (Espagne), El atentado.
1961 : Torcuato LUCA DE TENA (Espagne), La mujer de otro.
1962 : Ángel VÁZQUEZ MOLINA (Espagne), Se enciende y apaga la luz.
1963 : Luis ROMERO (Espagne), El cacique.
1964 : Concha ALÓS (Espagne), Las hogueras.
1965 : Rodrigo RUBIO (Espagne), Equipaje de amor para la tierra.
1966 : Marta PORTAL (Espagne), A tientas y a ciegas.
1967 : Ángel María de LERA (Espagne), Las últimas banderas.
1968 : Manuel FERRAND (Espagne) Con la noche a cuestas.
1969 : Ramón J SENDER (Espagne), En la vida de Ignacio Morel.
1970 : Marcos AGUINIS (Argentine), La cruz invertida.
1971 : José María GIRONELLA (Espagne), Condenados a vivir.
1972 : Jesús ZÁRATE MORENO (Espagne), La cárcel.
1973 : Carlos ROJAS (Espagne), Azaña.
1974 : Xavier BENGUEREL (Espagne), Icaria, Icaria…
1975 : Mercedes SALISACHS (Espagne), La gangrena.
1976 : Jesús TORBADO (Espagne), En el día de hoy.
1977 : Jorge SEMPRÚN (Espagne), Autobiografía de Federico Sánchez.
1978 : Juan MARSÉ (Espagne), La muchacha de las bragas de oro.
1979 : Manuel VÁZQUEZ MONTALBÁN (Espagne), Los mares del sur.
1980 : Antonio LARRETA (Uruguay), Volavérunt.
1981 : Cristobal ZARAGOZA (Espagne), Y Dios en la última playa.
1982 : Jesús FERNÁNDEZ SANTOS (Espagne), Jaque a la dama.
1983 : José Luis OLAIZOLA (Espagne), La guerra del general Escoba.r
1984 : Francisco GONZÁLEZ LEDESMA (Espagne), Crónica sentimental en rojo.
1985 : Juan Antonio VALLEJO-NÁGERA (Espagne), Yo, el rey.
1986 : Tenrenci MOIX (Espagne), No digas que es un sueño.
1987 : Juan ESLAVA GALÁN (Espagne), En busca del Unicornio
1988 : Gonzalo TORRENTE BALLESTER (Espagne), Filómeno, a mi pesar.
1989 : Soledad PUÉRTOLAS (Espagne), Queda la noche.
1990 : Antonio GALA (Espagne), El manuscrito carmesí.
1991 : Antonio MÚÑOZ MOLINA (Espagne), El jinete polaco.
1992 : Fernando SÁNCHEZ DRAGÓ (Espagne), La prueba del laberinto.
1993 : Mario VARGAS LLOSA (Pérou), Lituma de los Andes.
1994 : Camilo José CELA (Espagne), La cruz de San Andrés.
1995 : Fernando GONZÁLEZ DELGADO (Espagne), La mirada del otro
1996 : Fernando SCHWARTZ (Espagne), El desencuentro.
1997 : Juan Manuel de PRADA (Espagne), La tempestad.
1998 : Carmen POSADAS (Espagne), Pequeñas infamías.
1999 : María Laura ESPIDO FREIRE (Espagne), Melocotones helados.
2000 : Maruja TORRES (Espagne), Mientras vivimos.
2001 : Rosa REGÁS (Espagne), La canción de la Dorotea.
2002 : Alfredo BRYCE ECHENIQUE (Pérou), El huerto de mi amada.
2003 : Antonio SKÁRMETA (Chili), El baile de la victoria.
2004 : Lucía ETXEBARRÍA (Espagne), Un milagro en equilibrio.
2005 : María de la PAU JANER (Espagne), Pasiones romanas.
2006 : Álvaro POMBO (Espagne), La Fortuna de Matilda Turpin.
2007 : Juan José MILLÁS (Espagne), El mundo.
2008 : Fernando SAVATER (Espagne), La hermandad de la buena suerte.
Parmi tous ces titres, voici la liste de ceux qui ont été traduits :
• 1977 : Jorge SEMPRUN, Autobiographie de Federico Sanchez, Editions du SEUIL, Points, 1997
Traduction : Claude et Carmen DURAND
• 1979 : Manuel VÁZQUEZ MONTALBÁN, Les Mers du sud / Marquise, si vos rivages..., Editions LE SYCOMORE, 1980 et Editions 10/18, 1990
Traduction : Michèle GAZIER
• 1989 : Soledad PUÉRTOLAS, Reste la nuit, Editions DENOEL, 1992
Traduction : Marie-Claude DANA
• 1990 : Antonio GALA, Mémoires écarlates, Editions JC LATTES, 1998
Traduction : Dominique Lepreux
• 1991 : Antonio MUÑOZ MOLINA, Le Royaume des voix, Editions ACTES SUD, 1994
Traduction : Claude BLETON
• 1993 : Mario VARGAS LLOSA, Lituma dans les Andes, Editions GALLIMARD et Poche FOLIO, 1997
Traduction : Albert BENSOUSSAN
• 1997 : Juan Manuel de PRADA, La tempête, Editions du SEUIL, Points, 2002
Traduction : Gabriel IACULLI
• 1998 : Carmen POSADAS, Petites infamies, Editions du SEUIL, 2000.
Traduction : François MASPERO
• 1999 : María Laura ESPIDO FREIRE, Pêches glacées, Éditions ACTES SUD
Traduction : Dominique LEPREUX, 2002.
• 2000 : Maruja TORRES, Tant que nous vivons, Editions METAILIE, 2003
Traduction : Vincent OZANAM
• 2002 : Alfredo BRYCE ECHENIQUE, Le Verger de mon aimée, Editions METAILIE, 2006 - Traduction : Jean-Marie SAINT-LU
• 2003 : Antonio SKÁRMETA, Le Ballet de la victoire, Editions GRASSET, 2006 & LGF Livre de POCHE, 2008
Traduction : Alice SEELOW
• 2004 : Lucía EXTEBARRIA, Un miracle en équilibre, Editions 10/18, 2007
Traduction : Nicolas VÉRON.
Parmi tous ces titres, voici la liste de ceux qui n'ont pas encore été traduits (sauf erreur de notre part) :
• 2005 : María de la PAU JANER (Espagne), Pasiones romanas.
• 2006 : Álvaro POMBO (Espagne), La Fortuna de Matilda Turpin.
• 2007 : Juan José MILLÁS (Espagne), El mundo.
• 2008 : Fernando SAVATER (Espagne), La hermandad de la buena suerte.
El PREMIO PLANETA
par Brigitte
par Brigitte
Le PRIX PLANETA est l’un prix littéraires espagnols les plus prestigieux et l’un des plus convoités.
Comme son nom l’indique, il est décerné par les Editions PLANETA qui font partie du puissant Groupe Editorial du même nom.
Il est également appelé Premio LARA, du nom de son créateur, José Manuel LARA HERNÁNDEZ qui le décerna pour la première fois en 1952.
Le Prix Planeta est considéré comme l’équivalent de notre Prix Goncourt français et récompense chaque année un roman inédit de langue espagnole.
Derrière le Prix Nobel, c’est l’un des prix les mieux dotés au monde puisqu’il est récompensé par la coquette somme de 601 000 euros !
Ce prix est décerné chaque année le 15 octobre, jour de la Sainte Thérèse, prénom de l’épouse de son fondateur (María Teresa Bosch).
Son jury est composé de 7 membres comprenant de hautes personnalités du monde littéraire espagnol.
Depuis 1974, le finaliste est également récompensé d’un prix de 125.000 euros.
José Manuel LARA HERNÁNDEZ
Né en 1914 à El Pedroso, dans la province de Séville, il était fils d’un médecin de campagne. Il participa à la guerre civile espagnole aux côtés des Nationalistes. Après la guerre, il partit s’installer à Barcelone où il rencontra et épousa María Teresa Bosch. Lecteur peu assidu selon ses propres dires, il fut cependant un habile marchand de livres qui sut faire prospérer la maison d’édition PLANETA qu’il fonda en 1949.
Décédé en 2003 à Barcelone, il a laissé derrière lui l’un des Groupes éditoriaux espagnols les plus importants, le Groupe PLANETA comprenant, entre autres, les Editions Planeta et Seix-Barral.
Les gagnants du PRIX PLANETA décernés de 1952 à 2008 :
1952 : Juan José MIRA (Espagne), En la noche no hay caminos.
1953 : Santiago LORÉN, (Espagne) Una casa con gotera.
1954 : Ana María MATUTE (Espagne), Pequeño teatro.
1955 : Antonio PRIETO (Espagne), Tres pisadas de hombre.
1956 : Carmen KURTZ (Espagne), El desconocido.
1957 : Emilio ROMERO (Espagne), La paz empieza nunca.
1958 : Fernando BERMÚDEZ DE CASTRO (Espagne), Pasos sin huellas.
1959 : Andrés BOSCH (Espagne), La noche.
1960 : Tomás SALVADOR (Espagne), El atentado.
1961 : Torcuato LUCA DE TENA (Espagne), La mujer de otro.
1962 : Ángel VÁZQUEZ MOLINA (Espagne), Se enciende y apaga la luz.
1963 : Luis ROMERO (Espagne), El cacique.
1964 : Concha ALÓS (Espagne), Las hogueras.
1965 : Rodrigo RUBIO (Espagne), Equipaje de amor para la tierra.
1966 : Marta PORTAL (Espagne), A tientas y a ciegas.
1967 : Ángel María de LERA (Espagne), Las últimas banderas.
1968 : Manuel FERRAND (Espagne) Con la noche a cuestas.
1969 : Ramón J SENDER (Espagne), En la vida de Ignacio Morel.
1970 : Marcos AGUINIS (Argentine), La cruz invertida.
1971 : José María GIRONELLA (Espagne), Condenados a vivir.
1972 : Jesús ZÁRATE MORENO (Espagne), La cárcel.
1973 : Carlos ROJAS (Espagne), Azaña.
1974 : Xavier BENGUEREL (Espagne), Icaria, Icaria…
1975 : Mercedes SALISACHS (Espagne), La gangrena.
1976 : Jesús TORBADO (Espagne), En el día de hoy.
1977 : Jorge SEMPRÚN (Espagne), Autobiografía de Federico Sánchez.
1978 : Juan MARSÉ (Espagne), La muchacha de las bragas de oro.
1979 : Manuel VÁZQUEZ MONTALBÁN (Espagne), Los mares del sur.
1980 : Antonio LARRETA (Uruguay), Volavérunt.
1981 : Cristobal ZARAGOZA (Espagne), Y Dios en la última playa.
1982 : Jesús FERNÁNDEZ SANTOS (Espagne), Jaque a la dama.
1983 : José Luis OLAIZOLA (Espagne), La guerra del general Escoba.r
1984 : Francisco GONZÁLEZ LEDESMA (Espagne), Crónica sentimental en rojo.
1985 : Juan Antonio VALLEJO-NÁGERA (Espagne), Yo, el rey.
1986 : Tenrenci MOIX (Espagne), No digas que es un sueño.
1987 : Juan ESLAVA GALÁN (Espagne), En busca del Unicornio
1988 : Gonzalo TORRENTE BALLESTER (Espagne), Filómeno, a mi pesar.
1989 : Soledad PUÉRTOLAS (Espagne), Queda la noche.
1990 : Antonio GALA (Espagne), El manuscrito carmesí.
1991 : Antonio MÚÑOZ MOLINA (Espagne), El jinete polaco.
1992 : Fernando SÁNCHEZ DRAGÓ (Espagne), La prueba del laberinto.
1993 : Mario VARGAS LLOSA (Pérou), Lituma de los Andes.
1994 : Camilo José CELA (Espagne), La cruz de San Andrés.
1995 : Fernando GONZÁLEZ DELGADO (Espagne), La mirada del otro
1996 : Fernando SCHWARTZ (Espagne), El desencuentro.
1997 : Juan Manuel de PRADA (Espagne), La tempestad.
1998 : Carmen POSADAS (Espagne), Pequeñas infamías.
1999 : María Laura ESPIDO FREIRE (Espagne), Melocotones helados.
2000 : Maruja TORRES (Espagne), Mientras vivimos.
2001 : Rosa REGÁS (Espagne), La canción de la Dorotea.
2002 : Alfredo BRYCE ECHENIQUE (Pérou), El huerto de mi amada.
2003 : Antonio SKÁRMETA (Chili), El baile de la victoria.
2004 : Lucía ETXEBARRÍA (Espagne), Un milagro en equilibrio.
2005 : María de la PAU JANER (Espagne), Pasiones romanas.
2006 : Álvaro POMBO (Espagne), La Fortuna de Matilda Turpin.
2007 : Juan José MILLÁS (Espagne), El mundo.
2008 : Fernando SAVATER (Espagne), La hermandad de la buena suerte.
Parmi tous ces titres, voici la liste de ceux qui ont été traduits :
• 1977 : Jorge SEMPRUN, Autobiographie de Federico Sanchez, Editions du SEUIL, Points, 1997
Traduction : Claude et Carmen DURAND
• 1979 : Manuel VÁZQUEZ MONTALBÁN, Les Mers du sud / Marquise, si vos rivages..., Editions LE SYCOMORE, 1980 et Editions 10/18, 1990
Traduction : Michèle GAZIER
• 1989 : Soledad PUÉRTOLAS, Reste la nuit, Editions DENOEL, 1992
Traduction : Marie-Claude DANA
• 1990 : Antonio GALA, Mémoires écarlates, Editions JC LATTES, 1998
Traduction : Dominique Lepreux
• 1991 : Antonio MUÑOZ MOLINA, Le Royaume des voix, Editions ACTES SUD, 1994
Traduction : Claude BLETON
• 1993 : Mario VARGAS LLOSA, Lituma dans les Andes, Editions GALLIMARD et Poche FOLIO, 1997
Traduction : Albert BENSOUSSAN
• 1997 : Juan Manuel de PRADA, La tempête, Editions du SEUIL, Points, 2002
Traduction : Gabriel IACULLI
• 1998 : Carmen POSADAS, Petites infamies, Editions du SEUIL, 2000.
Traduction : François MASPERO
• 1999 : María Laura ESPIDO FREIRE, Pêches glacées, Éditions ACTES SUD
Traduction : Dominique LEPREUX, 2002.
• 2000 : Maruja TORRES, Tant que nous vivons, Editions METAILIE, 2003
Traduction : Vincent OZANAM
• 2002 : Alfredo BRYCE ECHENIQUE, Le Verger de mon aimée, Editions METAILIE, 2006 - Traduction : Jean-Marie SAINT-LU
• 2003 : Antonio SKÁRMETA, Le Ballet de la victoire, Editions GRASSET, 2006 & LGF Livre de POCHE, 2008
Traduction : Alice SEELOW
• 2004 : Lucía EXTEBARRIA, Un miracle en équilibre, Editions 10/18, 2007
Traduction : Nicolas VÉRON.
Parmi tous ces titres, voici la liste de ceux qui n'ont pas encore été traduits (sauf erreur de notre part) :
• 2005 : María de la PAU JANER (Espagne), Pasiones romanas.
• 2006 : Álvaro POMBO (Espagne), La Fortuna de Matilda Turpin.
• 2007 : Juan José MILLÁS (Espagne), El mundo.
• 2008 : Fernando SAVATER (Espagne), La hermandad de la buena suerte.
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La Catalana de Lletres
par Blandine
La Catalana de Lletres
par Blandine
La Catalana de Lletres est un prix littéraire récompensant des œuvres poétiques en langue catalane. Le concours a été fondé par la radio catalane Catalunya Ràdio et la maison d'édition Cossetània Edicions en 2003.
Les consignes sont claires : les auteurs ont le droit présenter cinq poèmes maximum. Chaque poème doit tenir sur une feuille imprimée de format A4 et doit être inédit. Par ailleurs, les originaux doivent être présentés sous une forme lisible et les pseudonymes ne sont pas autorisés.
Chaque semaine un poème est sélectionné par un jury d’auteurs catalans et diffusé à la radio pour entrer dans la phase finale du concours.
Le prix du concours consiste en l’édition d’une anthologie d’environ soixante-dix pages qui réunit le vainqueur ainsi que les meilleurs poèmes qui ont fait partie de la phase finale. Le livre est publié par les éditions Cossetània. En outre, le jury se réserve le droit de recommander la publication d’un livre de poésie de l’auteur vainqueur.
La Catalana de Lletres a récompensé des poètes comme Oscar Palazón Ferré, Teresa Serramià i Samsó, Joan Albert de la Peña Guasch et Irene Tarrés Canimas, mais aussi des auteurs provenant d’autres pays, comme, par exemple, l’autrichien Klaus Ebner ou l’allemande Maridès Soler.
Les consignes sont claires : les auteurs ont le droit présenter cinq poèmes maximum. Chaque poème doit tenir sur une feuille imprimée de format A4 et doit être inédit. Par ailleurs, les originaux doivent être présentés sous une forme lisible et les pseudonymes ne sont pas autorisés.
Chaque semaine un poème est sélectionné par un jury d’auteurs catalans et diffusé à la radio pour entrer dans la phase finale du concours.
Le prix du concours consiste en l’édition d’une anthologie d’environ soixante-dix pages qui réunit le vainqueur ainsi que les meilleurs poèmes qui ont fait partie de la phase finale. Le livre est publié par les éditions Cossetània. En outre, le jury se réserve le droit de recommander la publication d’un livre de poésie de l’auteur vainqueur.
La Catalana de Lletres a récompensé des poètes comme Oscar Palazón Ferré, Teresa Serramià i Samsó, Joan Albert de la Peña Guasch et Irene Tarrés Canimas, mais aussi des auteurs provenant d’autres pays, comme, par exemple, l’autrichien Klaus Ebner ou l’allemande Maridès Soler.
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El premio Nadal
par Brigitte
El premio Nadal
par Brigitte
El PREMIO NADAL
Le prix NADAL ou prix Eugenio NADAL est le plus ancien des prix littéraires espagnols puisqu’il fut créé en 1944 par la Revue DESTINO à Barcelone.
Il est décerné à la meilleure œuvre inédite de langue espagnole choisie par les Editions Destino.
Depuis les années 90, après le rachat des Editions DESTINO par le grand groupe éditorial PLANETA, le prix NADAL est quelque peu tombé en « disgrâce ». Attribué par les éditeurs, ce prix est parfois considéré comme un prix « commercial » dans le monde littéraire espagnol.
Force est de constater, cependant, que beaucoup de grands noms de la littérature y figurent, sans compter les nombreux finalistes arrivés en seconde place qui ont eut parfois davantage de succès et de lecteurs que les gagnants eux mêmes !
Le prix est doté d’une récompense de 18.000 euros qui peut sembler désuète en comparaison du Prix Planeta…
Depuis 1944, tous les ans à la date symbolique du 6 janvier, jour de l’Epiphanie, « Noche de Reyes », le Prix NADAL est remis au cours d’une cérémonie qui se déroule dans les salons du prestigieux Hôtel Ritz de Barcelone depuis 1958.
Eugenio NADAL GAYA :
Le prix NADAL fut crée en 1944 en hommage à Eugenio NADAL GAYA, catedrático de littérature et rédacteur en chef de la Revue DESTINO, décédé prématurément à l’âge de 28 ans cette même année.
Liste des gagnants du PREMIO NADAL de 1944 à 2008 :
À noter que seuls 3 gagnants sont originaires de pays d’Amérique latine !
1944 : Carmen LAFORET (Espagne), Nada.
1945 : José Félix TAPIA (Espagne), La luna ha entrado en casa.
1946 : José María GIRONELLA (Espagne), Un hombre.
1947 : Miguel DELIBES (Espagne), La sombra del ciprés es alargada.
1948 : Sebastián Juan ARBÓ (Espagne), Sobre las piedras grises.
1949 : José SUÁREZ CARREÑO (Espagne), Las últimas horas.
1950 : Elena QUIROGA (Espagne), Viento del norte.
1951 : Luis ROMERO (Espagne), La noria.
1952 : Dolores MEDIO (Espagne), Nosotros, los Rivero.
1953 : Luisa FORRELLAD (Espagne), Siempre en capilla.
1954 : Francisco José ALCÁNTARA (Espagne), La muerte le sienta bien a Villalobos.
1955 : Rafael SÁNCHEZ FERLOSIO (Espagne), El jarama.
1956 : José Luis MARTÍN DESCALZO (Espagne), La frontera de Dios.
1957 : Carmen MARTÍN GAÍTE (Espagne), Entre visillos.
1958 : José VIDAL CADELLANS (Espagne), No era de los nuestros.
1959 : Ana María MATUTE (Espagne), Primera memoria.
1960 : Ramiro PINILLA (Espagne), Ciegas hormigas.
1961 : Juan Antonio PAYNO (Espagne), El curso.
1962 : José María MENDIOLA (Espagne), Muerte por fusilamiento.
1963 : Manuel MEJÍA VALLEJO (Colombie), El día señalado.
1964 : Alfonso MARTÍN GARRIDO (Espagne), El miedo y la esperanza.
1965 : Eduardo CABALLERO CALDERÓN (Colombie), El buen salvaje.
1966 : Vicente SOTO (Espagne), La zancada.
1967 : José María SANJUÁN (Espagne), Réquiem por todos nosotros.
1968 : Álvaro CUNQUEIRO (Espagne), Un hombre que se parecía a Orestes.
1969 : Francisco GARCÍA PAVÓN (Espagne), Las hermanas coloradas.
1970 : Jesús FERNÁNDEZ SANTOS (Espagne), Libro de la memoria de las cosas.
1971 : José María REQUENA (Espagne), El cuajarón.
1972 : José María CARRASCAL (Espagne), Groovy.
1973 : José Antonio GARCÍA BLÁZQUEZ (Espagne), El rito.
1974 : Luis GASULLA (Espagne), Culminación de Montoya.
1975 : Francisco UMBRAL (Espagne), Las ninfas.
1976 : Raúl GUERRA GARRIDO (Espagne), Lectura insólita de « El Capital ».
1977 : José ASENJO SEDANO (Espagne), Conversación sobre la guerra.
1978 : Germán SÁNCHEZ ESPESO (Espagne), Narciso.
1979 : Carlos ROJAS (Espagne), El ingenioso hidalgo y poeta Federico García Lorca asciende a los infiernos.
1980 : Juan Ramón ZARAGOZA (Espagne), Concerto grosso.
1981 : Carmen GÓMEZ OJEA (Espagne), Cantiga de agüero.
1982 : Fernando ARRABAL (Espagne), La torre herida por el rayo.
1983 : Salvador GARCÍA AGUILAR (Espagne), Regocijo en el hombre.
1984 : José Luis de TOMÁS (Espagne), La otra orilla de la droga.
1985 : Pau FANER (Espagne), Flor de sal.
1986 : Manuel VICENT (Espagne), Balada de Caín.
1987 : Juan José SAER (Argentine), La ocasión.
1988 : Juan Pedro APARICIO (Espagne) Retratos de ambigú.
1989 : Non attribué.
1990 : Juan José MILLÁS (Espagne), La soledad era esto.
1991 : Alfredo CONDE (Espagne), Los otros días.
1992 : Alejandro GÁNDARA (Espagne), Ciegas esperanzas.
1993 : Rafael ARGULLOL (Espagne), La razón del mal.
1994 : Rosa REGÁS (Espagne), Azul.
1995 : Ignacio CARRIÓN (Espagne), Cruzar el Danubio.
1996 : Pedro MAETSRE (Espagne), Matando dinosaurios con tirachinas.
1997 : Carlos CAÑEQUE (Espagne), Quién.
1998 : Lucía EXTEBARRÍA (Espagne), Beatriz y los cuerpos celestes.
1999 : Gustavo MARTÍN GARZÓ (Espagne), Las historias de Marta y Fernando.
2000 : Lorenzo SILVA (Espagne), El alquimista impaciente.
2001 : Fernando MARÍAS (Espagne), El niño de los coroneles.
2002 : Ángela VALLVEY (Espagne), Los estados carenciales.
2003 : Andrés TRAPIELLO (Espagne), Los amigos del crimen perfecto.
2004 : Antonio SOLER (Espagne), El camino de los ingleses.
2005 : Pedro ZARRALUKI (Espagne), Un encargo difícil.
2006 : Eduardo LAGO (Espagne), Llámame Brooklyn.
2007 : Felipe BENÍTEZ REYES (Espagne), Mercado de espejismos.
2008 : Francisco CASAVELLA (Espagne), Lo que sé de los vampiros.
2009 : Maruja TORRES (Espagne), Esperadme en el cielo.
La liste de ceux qui ont déjà été traduits :
• 1944 : Carmen LAFORET, Nada, Editions BARTILLAT, 2004
Traduction : Marie Madeleine PEIGNOT, Mathilde POMES, María GUZMAN
• 1955 : Rafael SÁNCHEZ FERLOSIO, Les Eaux du Jarama, Editions BARTILLAT, 2007
• 1959 : Ana Maria MATUTE, Le Temps, Editions GALLIMARD Collection Imaginaire, 2009
Traduction : Jean Francis REILLE
Traduction : Jean Francis REILLE, révisée par André GABASTOU
• 1998 : Lucía ETXEBARRIA, Beatriz et les corps célestes, Editions 10/18 Domaine étranger 2002 / Editions DENOEL, Et d’ailleurs, 2001
Traduction : Alexandra CARRASCO
• 2000 : Lorenzo SILVA, L’Alchimiste impatient, Editions JC LATTES, 2002
Traduction Dominique LEPREUX
• 2001 : Fernando MARÍAS, L’Enfant des colonels, Editions CENOMANE, 2009
Traduction : Raoul GOMEZ
• 2002 : Angela VALLVEY, les Equilibres aléatoires, Editions 10/18, 2005
Traduction : Dominique LEPREUX
• 2003 : Andrés TRAPIELLO, Les Amis du crime parfait, Editions de La Table Ronde, à paraître en octobre 2009
Traduction : Caroline LEPAGE
Le prix NADAL ou prix Eugenio NADAL est le plus ancien des prix littéraires espagnols puisqu’il fut créé en 1944 par la Revue DESTINO à Barcelone.
Il est décerné à la meilleure œuvre inédite de langue espagnole choisie par les Editions Destino.
Depuis les années 90, après le rachat des Editions DESTINO par le grand groupe éditorial PLANETA, le prix NADAL est quelque peu tombé en « disgrâce ». Attribué par les éditeurs, ce prix est parfois considéré comme un prix « commercial » dans le monde littéraire espagnol.
Force est de constater, cependant, que beaucoup de grands noms de la littérature y figurent, sans compter les nombreux finalistes arrivés en seconde place qui ont eut parfois davantage de succès et de lecteurs que les gagnants eux mêmes !
Le prix est doté d’une récompense de 18.000 euros qui peut sembler désuète en comparaison du Prix Planeta…
Depuis 1944, tous les ans à la date symbolique du 6 janvier, jour de l’Epiphanie, « Noche de Reyes », le Prix NADAL est remis au cours d’une cérémonie qui se déroule dans les salons du prestigieux Hôtel Ritz de Barcelone depuis 1958.
Eugenio NADAL GAYA :
Le prix NADAL fut crée en 1944 en hommage à Eugenio NADAL GAYA, catedrático de littérature et rédacteur en chef de la Revue DESTINO, décédé prématurément à l’âge de 28 ans cette même année.
Liste des gagnants du PREMIO NADAL de 1944 à 2008 :
À noter que seuls 3 gagnants sont originaires de pays d’Amérique latine !
1944 : Carmen LAFORET (Espagne), Nada.
1945 : José Félix TAPIA (Espagne), La luna ha entrado en casa.
1946 : José María GIRONELLA (Espagne), Un hombre.
1947 : Miguel DELIBES (Espagne), La sombra del ciprés es alargada.
1948 : Sebastián Juan ARBÓ (Espagne), Sobre las piedras grises.
1949 : José SUÁREZ CARREÑO (Espagne), Las últimas horas.
1950 : Elena QUIROGA (Espagne), Viento del norte.
1951 : Luis ROMERO (Espagne), La noria.
1952 : Dolores MEDIO (Espagne), Nosotros, los Rivero.
1953 : Luisa FORRELLAD (Espagne), Siempre en capilla.
1954 : Francisco José ALCÁNTARA (Espagne), La muerte le sienta bien a Villalobos.
1955 : Rafael SÁNCHEZ FERLOSIO (Espagne), El jarama.
1956 : José Luis MARTÍN DESCALZO (Espagne), La frontera de Dios.
1957 : Carmen MARTÍN GAÍTE (Espagne), Entre visillos.
1958 : José VIDAL CADELLANS (Espagne), No era de los nuestros.
1959 : Ana María MATUTE (Espagne), Primera memoria.
1960 : Ramiro PINILLA (Espagne), Ciegas hormigas.
1961 : Juan Antonio PAYNO (Espagne), El curso.
1962 : José María MENDIOLA (Espagne), Muerte por fusilamiento.
1963 : Manuel MEJÍA VALLEJO (Colombie), El día señalado.
1964 : Alfonso MARTÍN GARRIDO (Espagne), El miedo y la esperanza.
1965 : Eduardo CABALLERO CALDERÓN (Colombie), El buen salvaje.
1966 : Vicente SOTO (Espagne), La zancada.
1967 : José María SANJUÁN (Espagne), Réquiem por todos nosotros.
1968 : Álvaro CUNQUEIRO (Espagne), Un hombre que se parecía a Orestes.
1969 : Francisco GARCÍA PAVÓN (Espagne), Las hermanas coloradas.
1970 : Jesús FERNÁNDEZ SANTOS (Espagne), Libro de la memoria de las cosas.
1971 : José María REQUENA (Espagne), El cuajarón.
1972 : José María CARRASCAL (Espagne), Groovy.
1973 : José Antonio GARCÍA BLÁZQUEZ (Espagne), El rito.
1974 : Luis GASULLA (Espagne), Culminación de Montoya.
1975 : Francisco UMBRAL (Espagne), Las ninfas.
1976 : Raúl GUERRA GARRIDO (Espagne), Lectura insólita de « El Capital ».
1977 : José ASENJO SEDANO (Espagne), Conversación sobre la guerra.
1978 : Germán SÁNCHEZ ESPESO (Espagne), Narciso.
1979 : Carlos ROJAS (Espagne), El ingenioso hidalgo y poeta Federico García Lorca asciende a los infiernos.
1980 : Juan Ramón ZARAGOZA (Espagne), Concerto grosso.
1981 : Carmen GÓMEZ OJEA (Espagne), Cantiga de agüero.
1982 : Fernando ARRABAL (Espagne), La torre herida por el rayo.
1983 : Salvador GARCÍA AGUILAR (Espagne), Regocijo en el hombre.
1984 : José Luis de TOMÁS (Espagne), La otra orilla de la droga.
1985 : Pau FANER (Espagne), Flor de sal.
1986 : Manuel VICENT (Espagne), Balada de Caín.
1987 : Juan José SAER (Argentine), La ocasión.
1988 : Juan Pedro APARICIO (Espagne) Retratos de ambigú.
1989 : Non attribué.
1990 : Juan José MILLÁS (Espagne), La soledad era esto.
1991 : Alfredo CONDE (Espagne), Los otros días.
1992 : Alejandro GÁNDARA (Espagne), Ciegas esperanzas.
1993 : Rafael ARGULLOL (Espagne), La razón del mal.
1994 : Rosa REGÁS (Espagne), Azul.
1995 : Ignacio CARRIÓN (Espagne), Cruzar el Danubio.
1996 : Pedro MAETSRE (Espagne), Matando dinosaurios con tirachinas.
1997 : Carlos CAÑEQUE (Espagne), Quién.
1998 : Lucía EXTEBARRÍA (Espagne), Beatriz y los cuerpos celestes.
1999 : Gustavo MARTÍN GARZÓ (Espagne), Las historias de Marta y Fernando.
2000 : Lorenzo SILVA (Espagne), El alquimista impaciente.
2001 : Fernando MARÍAS (Espagne), El niño de los coroneles.
2002 : Ángela VALLVEY (Espagne), Los estados carenciales.
2003 : Andrés TRAPIELLO (Espagne), Los amigos del crimen perfecto.
2004 : Antonio SOLER (Espagne), El camino de los ingleses.
2005 : Pedro ZARRALUKI (Espagne), Un encargo difícil.
2006 : Eduardo LAGO (Espagne), Llámame Brooklyn.
2007 : Felipe BENÍTEZ REYES (Espagne), Mercado de espejismos.
2008 : Francisco CASAVELLA (Espagne), Lo que sé de los vampiros.
2009 : Maruja TORRES (Espagne), Esperadme en el cielo.
La liste de ceux qui ont déjà été traduits :
• 1944 : Carmen LAFORET, Nada, Editions BARTILLAT, 2004
Traduction : Marie Madeleine PEIGNOT, Mathilde POMES, María GUZMAN
• 1955 : Rafael SÁNCHEZ FERLOSIO, Les Eaux du Jarama, Editions BARTILLAT, 2007
• 1959 : Ana Maria MATUTE, Le Temps, Editions GALLIMARD Collection Imaginaire, 2009
Traduction : Jean Francis REILLE
Traduction : Jean Francis REILLE, révisée par André GABASTOU
• 1998 : Lucía ETXEBARRIA, Beatriz et les corps célestes, Editions 10/18 Domaine étranger 2002 / Editions DENOEL, Et d’ailleurs, 2001
Traduction : Alexandra CARRASCO
• 2000 : Lorenzo SILVA, L’Alchimiste impatient, Editions JC LATTES, 2002
Traduction Dominique LEPREUX
• 2001 : Fernando MARÍAS, L’Enfant des colonels, Editions CENOMANE, 2009
Traduction : Raoul GOMEZ
• 2002 : Angela VALLVEY, les Equilibres aléatoires, Editions 10/18, 2005
Traduction : Dominique LEPREUX
• 2003 : Andrés TRAPIELLO, Les Amis du crime parfait, Editions de La Table Ronde, à paraître en octobre 2009
Traduction : Caroline LEPAGE
9 commentaires:
La liste des Prix littéraires espagnols étant longue, je veux bien me charger du PREMIO PLANETA et du PREMIO NADAL (en deux posts différents) mais il faudra être patiente, si tu le veux bien, ma Chère Caroline !
Est-ce quelqu'un peut compléter la liste de Brigitte… en nous disant ce qui a été traduit et ce qui ne l'a pas été. Car, finalement, c'est cela qui nous intéresse… Reste-t-il du travail pour nous dans ce beau palmarès ?
Oui, et puis pendant que nous y sommes [vous me connaissez, je n'en ai jamais assez… ;)))))], ce serait bien aussi de mettre la nationalité de l'auteur. Ça n'est évidemment pas qu'une lubie, mais en tant qu'américaniste, je pense intéressant de montrer la proportion de latino-américains dans ces palmarès… et peut-être constaterons-nous qu'ils sont plus primés à certaines périodes qu'à d'autres…
Je me charge de compléter la liste des Prix PLANETA, d'y ajouter la nationalité des auteurs ainsi que la traduction française (si elle existe)avec son/sa traducteur/trice.
Mais dans ce cas, est-il possible que quelqu'un se charge du PREMIO NADAL car cela fait un énorme travail de recherche et ...euh...je ne suis pas étudiante "à plein temps" !!!
Tu as raison, Brigitte, quelqu'un d'autre peut s'occuper du Nadal…
Finalement, je ferai aussi le PREMIO NADAL mais soyez patient(e)s Chaque chose en son temps !
Bonjour et bonne année!! Je m'appelle Clémentia et je fais des études de traduction en Belgique! Je viens de découvrir votre site! J'ai vu que vous mencionniez le livre "El desencuentro" de Fernando Schwartz comme n'étant pas traduit!! Est-ce tjs le cas ? Connaissez-vous d'autres sites qui donnent ce genre de renseignements?Merci pour votre site et pour votre réponse! A bientôt
Clémentia : Le mieux est de regarder sur le site de la BNF… (ou Électre quand on y a accès) ou, dans le cas où cela est possible, de contacter l'éditeur original pour demander si le titre en question a été traduit ou est en cours de traduction.
Merci Blandine.
Òscar Palazón
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