« Cela vous gêne-t-il qu'un auteur n'ait pas toujours le même traducteur ? »
Sur 44 voix, nous obtenons :
Oui = 22 voix (50%)
Non = 22 voix (50%)
Je rappelle que ce sondage est issu de la rencontre d'il y a quelques semaines avec Alice Déon (éditions de La Table Ronde), pour qui un auteur n'appartient pas à un traducteur et réciproquement. Il y avait eu dans la salle une levée de boucliers et nombre d'étudiants (les anglicistes en particulier ; les hispanistes, je le sais, n'avaient rien dit, mais n'en pensaient pas moins… n'est-ce pas ?) avaient au contraire défendu l'idée qu'il était gênant, voire déplaisant, de lire un auteur traduit tantôt par l'un tantôt par l'autre… L'argument qu'un lien spécial était tissé entre auteur et traducteur avait été avancé et défendu avec véhémence. Personnellement, j'étais assez d'accord avec eux, rappelant cet aveu implicite de quantité de traducteurs lorsqu'ils mentionnent "leurs" auteurs. Or au bout du compte, ce sondage nous le prouve, cela ne semble pas poser tant de problèmes que cela. 50/50… On pourra toujours arguer que s'inquiétant déjà peu de savoir qui traduit quoi, le lecteur lambda est logiquement indifférent à la question de savoir qui traduit quoi après qui.
Poursuivons tout de même l'enquête avec une autre interrogation, adjacente.
Sur 44 voix, nous obtenons :
Oui = 22 voix (50%)
Non = 22 voix (50%)
Je rappelle que ce sondage est issu de la rencontre d'il y a quelques semaines avec Alice Déon (éditions de La Table Ronde), pour qui un auteur n'appartient pas à un traducteur et réciproquement. Il y avait eu dans la salle une levée de boucliers et nombre d'étudiants (les anglicistes en particulier ; les hispanistes, je le sais, n'avaient rien dit, mais n'en pensaient pas moins… n'est-ce pas ?) avaient au contraire défendu l'idée qu'il était gênant, voire déplaisant, de lire un auteur traduit tantôt par l'un tantôt par l'autre… L'argument qu'un lien spécial était tissé entre auteur et traducteur avait été avancé et défendu avec véhémence. Personnellement, j'étais assez d'accord avec eux, rappelant cet aveu implicite de quantité de traducteurs lorsqu'ils mentionnent "leurs" auteurs. Or au bout du compte, ce sondage nous le prouve, cela ne semble pas poser tant de problèmes que cela. 50/50… On pourra toujours arguer que s'inquiétant déjà peu de savoir qui traduit quoi, le lecteur lambda est logiquement indifférent à la question de savoir qui traduit quoi après qui.
Poursuivons tout de même l'enquête avec une autre interrogation, adjacente.
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