Benjamin Caze, ancien imprimeur, travaille actuellement pour le groupe GS (spécialisé dans la photographie, la communication, le marketing direct, la fabrication et la production, la réalisation d’e-mailings et de sites internet) en tant que fabricant et consultant. Il est également intervenant pour l’IAE de Lille (École Universitaire de Managment), et professeur pour l’Iscom (Institut Supérieur de Communication). Il est toujours étroitement lié au monde de l’imprimerie et a gentiment accepté de répondre à mes questions.
1. Comment êtes-vous devenu imprimeur ?
Je suis tombé dedans petit… mon papa était imprimeur et est devenu prof en arts graphiques.
À la suite d’un bac en économie, j’ai hésité entre la fac des sports et le milieu de l’édition pour avoir fait plusieurs visites avec mon père.
2. Pour quelle entreprise travailliez-vous ? En quoi consistaient vos tâches ?
J’ai travaillé chez Sicat Duprez (imprimeur – cartonnier) en tant que conducteur machine, chez Decoster (rotatives) comme conducteur, et chez Douriez Bataille comme responsable de production.
3. Quelles sont les différentes techniques d’impression que vous connaissez ? Quelles sont celles que vous utilisiez dans votre entreprise ?
Impression offset feuille – offset roto – hélio – sérigraphique – numérique – flexo – tampographie (de moins en moins utilisé). Dans les imprimeries pour lesquelles j’ai travaillé, on utilisait l’impression offset feuille et roto.
4. Quels types de documents imprimiez-vous ? Quels sont ceux qui revenaient le plus souvent ?
J’imprimais du packaging, des catalogues, dépliants, flyers. Et aujourd’hui je traite tous les supports, papiers, textiles, pvc, bâches…
5. Quel est le nombre en moyenne d’exemplaires tirés par livre ? Ou par brochure, dépliant ?
En impression offset feuille, entre 2 ou 3.000 exemplaires minimum à +/- 50.000 exemplaires maximum (en fonction du format et de la pagination)
En impression offset roto, à partir de 10 à 15.000 exemplaires jusque +/- 700.000 exemplaires (toujours en fonction du format et de la pagination).
Au-delà c’est de l’hélio…
6. Les commandes venaient-elles de particuliers ou d’entreprises ? Rencontriez-vous vos clients ?
Elles venaient des entreprises, pas de particuliers…
Oui, je rencontrais les clients lors des BAT machines…
7. Aujourd’hui, vous avez évolué, pouvez-vous m’expliquer votre métier actuel ?
Je suis issu du monde de l’imprimerie et des arts graphiques (bts en productique graphique), l’avantage que j’apporte aux sociétés, c’est cette expérience et la technique afin d’optimiser et d’éviter les erreurs pour les agences de communication, les sociétés de vpc, et autres clients…
Donc je réponds au brief pour les créations afin de mettre sur pied leur projet, je négocie en France comme à l’étranger des projets régulièrement de plusieurs dizaines voir centaines de milliers d’euros, donc pas possible de rater un catalogue, qui est souvent la vitrine de la société. De trouver des solutions, des nouveaux concepts… fabricant et à la fois consultant…
1. Comment êtes-vous devenu imprimeur ?
Je suis tombé dedans petit… mon papa était imprimeur et est devenu prof en arts graphiques.
À la suite d’un bac en économie, j’ai hésité entre la fac des sports et le milieu de l’édition pour avoir fait plusieurs visites avec mon père.
2. Pour quelle entreprise travailliez-vous ? En quoi consistaient vos tâches ?
J’ai travaillé chez Sicat Duprez (imprimeur – cartonnier) en tant que conducteur machine, chez Decoster (rotatives) comme conducteur, et chez Douriez Bataille comme responsable de production.
3. Quelles sont les différentes techniques d’impression que vous connaissez ? Quelles sont celles que vous utilisiez dans votre entreprise ?
Impression offset feuille – offset roto – hélio – sérigraphique – numérique – flexo – tampographie (de moins en moins utilisé). Dans les imprimeries pour lesquelles j’ai travaillé, on utilisait l’impression offset feuille et roto.
4. Quels types de documents imprimiez-vous ? Quels sont ceux qui revenaient le plus souvent ?
J’imprimais du packaging, des catalogues, dépliants, flyers. Et aujourd’hui je traite tous les supports, papiers, textiles, pvc, bâches…
5. Quel est le nombre en moyenne d’exemplaires tirés par livre ? Ou par brochure, dépliant ?
En impression offset feuille, entre 2 ou 3.000 exemplaires minimum à +/- 50.000 exemplaires maximum (en fonction du format et de la pagination)
En impression offset roto, à partir de 10 à 15.000 exemplaires jusque +/- 700.000 exemplaires (toujours en fonction du format et de la pagination).
Au-delà c’est de l’hélio…
6. Les commandes venaient-elles de particuliers ou d’entreprises ? Rencontriez-vous vos clients ?
Elles venaient des entreprises, pas de particuliers…
Oui, je rencontrais les clients lors des BAT machines…
7. Aujourd’hui, vous avez évolué, pouvez-vous m’expliquer votre métier actuel ?
Je suis issu du monde de l’imprimerie et des arts graphiques (bts en productique graphique), l’avantage que j’apporte aux sociétés, c’est cette expérience et la technique afin d’optimiser et d’éviter les erreurs pour les agences de communication, les sociétés de vpc, et autres clients…
Donc je réponds au brief pour les créations afin de mettre sur pied leur projet, je négocie en France comme à l’étranger des projets régulièrement de plusieurs dizaines voir centaines de milliers d’euros, donc pas possible de rater un catalogue, qui est souvent la vitrine de la société. De trouver des solutions, des nouveaux concepts… fabricant et à la fois consultant…
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