par Christine Lebrasseur
Le sujet pour Alexis était : MOUE DUBITATIVE… Voici le résultat :
Alors là, je m’avoue vaincu, je ne sais plus à quel saint me vouer. J’ai tout tenté, tout imaginé mais cela se termine toujours en eau de boudin : pas de bisou. C’est la Saint-Valentin, merde ! Elle pourrait faire un effort. Je demande quand même pas la lune, juste un bisou. Un bisou de rien du tout ! Pourtant, je pensais avoir marqué des points avec mon bouquet de massettes. Au moins, ça a le mérite d'être original, mais elle n’a pas aimé et j’ai eu droit, en guise de réponse, à une méprisante moue dubitative. J’ai tenté une approche par l’humour avec quelques citations choisies, par mes soins, dans de grands films, idem, rien y fait : moue dubitative. Je lui ai sorti le grand jeu, attention, je me suis mis sur mon trente-et-un, j’ai mis de l’ordre dans mes cheveux, un peu plus de noir sur mes yeux, résultat : ça l’a fait rire et après elle a fait la moue. C’est bon quoi, cette fille elle s’prend pour qui ? Sylvie Vartan ? Au départ, son petit haussement d’épaule, ses deux lèvres qui s’avancent, j’ai pris ça pour une attitude un peu désinvolte, une invitation à l’approche sensuelle de nos deux bouches. Que nenni, c’était une moue. Rien de plus. J’lui dis « je suis glabre » paf, no kiss. J’lui dis « j’suis gracile aussi», niet, pas d’öpücük. J’lui glisse à l’oreille un doux « j’suis turgide d’amour pour toi », bam, elle renâcle toujours autant à m’embrasser. La gent féminine est décidément bien étrange. Pourquoi autant de mystères ? Maintenant, du coup, c'est moi qui suis dubitatif. Serait-ce par hasard mon haleine post-banane qui la dérange à ce point ?
Alors là, je m’avoue vaincu, je ne sais plus à quel saint me vouer. J’ai tout tenté, tout imaginé mais cela se termine toujours en eau de boudin : pas de bisou. C’est la Saint-Valentin, merde ! Elle pourrait faire un effort. Je demande quand même pas la lune, juste un bisou. Un bisou de rien du tout ! Pourtant, je pensais avoir marqué des points avec mon bouquet de massettes. Au moins, ça a le mérite d'être original, mais elle n’a pas aimé et j’ai eu droit, en guise de réponse, à une méprisante moue dubitative. J’ai tenté une approche par l’humour avec quelques citations choisies, par mes soins, dans de grands films, idem, rien y fait : moue dubitative. Je lui ai sorti le grand jeu, attention, je me suis mis sur mon trente-et-un, j’ai mis de l’ordre dans mes cheveux, un peu plus de noir sur mes yeux, résultat : ça l’a fait rire et après elle a fait la moue. C’est bon quoi, cette fille elle s’prend pour qui ? Sylvie Vartan ? Au départ, son petit haussement d’épaule, ses deux lèvres qui s’avancent, j’ai pris ça pour une attitude un peu désinvolte, une invitation à l’approche sensuelle de nos deux bouches. Que nenni, c’était une moue. Rien de plus. J’lui dis « je suis glabre » paf, no kiss. J’lui dis « j’suis gracile aussi», niet, pas d’öpücük. J’lui glisse à l’oreille un doux « j’suis turgide d’amour pour toi », bam, elle renâcle toujours autant à m’embrasser. La gent féminine est décidément bien étrange. Pourquoi autant de mystères ? Maintenant, du coup, c'est moi qui suis dubitatif. Serait-ce par hasard mon haleine post-banane qui la dérange à ce point ?
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