Me lo dijeron desde un principio. Ni un mérito propio supieron reconocerme, más bien todo lo contrario.
Traduction temporaire :
On me l’a dit d’emblée. On n’a pas su m’accorder le moindre mérite, bien au contraire.
On me l’a dit d’emblée. On n’a pas su m’accorder le moindre mérite, bien au contraire.
6 commentaires:
On me l’a dit d’emblée. On ne m’a même pas accordé le moindre mérite, bien au contraire.
On me l’a dit d’emblée. On ne m’a même pas accordé le moindre [je me demande si ça ne fait pas beaucoup « même » + « pas » + « moindre » ; regarde et dis-moi] mérite, bien au contraire.
On me l’a dit d’emblée. On n’a pas su m’accorder le moindre mérite, bien au contraire.
Oui, j'ai eu du mal à jauger... J'avais gardé cette autre proposition dans un coin.
Me lo dijeron desde un principio. Ni un mérito propio supieron reconocerme, más bien todo lo contrario.
On me l’a dit d’emblée. On n’a pas su m’accorder le moindre mérite, bien au contraire.
Comme tu es bien dans la logique du texte, tu sauras certainement répondre à ma question : au fait, c'est « on » ou « ils » ? OK pour le reste.
C'est le même indéfini, le "todos", que dans la phrase précédente: "Confieso que me salvé gracias a esa virtud, como aprendí a llamarla aunque todos la llamaban feo vicios...".
Puis elle précise ensuite, à l'intérieur de cet indéfini("les rancuniers" un peu plus loin par exemple). Donc je garderais le "on". De plus, le contenu étant déjà féministe, mettre "ils" l'accentuerait trop, je pense, et enlèverait de la subtilité au texte.
OK.
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